Bonjour.
Le document JPMorgan, réclame des états autoritaires.
Ceci expliquant cela
« « Que l’on soit Indépendantiste ou non, on ne peut que constater une dérive autoritaire, anti-démocratique du gouvernement espagnol, on ne peut que dénoncer une atteinte fondamentale aux droits humains que la Convention Européenne pour la Protection des Droits Humains et des Libertés Fondamentales de 1950 (CEDH) est censée défendre. » »
Le milieu conservateur et le milieu des affaires se confondent et sont dans la continuité de l’Histoire.
Comme il est souligné dans le document Crime contre l’humanité, l’ultime retour des barbares, par Fethi Gharbi.
« « Depuis les années quarante la guerre ne semble plus avoir pour objet la domination du vaincu mais son extermination. Les horreurs commises par Hitler et par Truman ainsi que les massacres en Algérie, au Vietnam, à Sabra et Chatila, au Rwanda, à Gaza pour ne citer que ceux-là, ne sont que la conséquence directe de ce long processus de déshumanisation qui atteint aujourd’hui sa phase terminale. L’oxymore du « chaos constructeur » est d’une limpidité aveuglante. Pour les néo-conservateurs la guerre devient ainsi synonyme d’éradication. C’est cette logique qui oriente les stratèges américains dans les guerres qu’ils mènent depuis le début des années 90 contre le monde arabe. » »
Un passage qui amène de nombreuses questions.
Maintenant nous assistons à ce qui est appelé la guerre de basse intensité (embargo, économie, propagande, détournement....,printemps Arabe_ ?_) qui a pour effet secondaire ou central la confusion dans les esprits des populations et exacerbent les divisions (politiques, les diasporas idéologiques _ ?_ , le clientélisme économique, croyance,.....) au sein des sociétés.
C’est le bordel, les invectives, qui peuvent mener au vrai chaos. Dernièrement l’emploi du mot apostrophe !
L’impossibilité de sortir de la réaction, pour la gauche, est le réel problème.
Qu’est-ce qui maintient la gauche dans cet état de fait ?
Est-ce la bonne question ?
En tout cas, la gauche souffre d’un mal ou de maux dont il faut diagnostiquer la cause et ses effets collatéraux sur la gauche.