Le capitalisme ne voit essentiellement qu’à court terme et se métamorphose très rapidement mais à court terme.
C’est vrai si on considère la capacité du capitalisme à "changer son fusil d’épaule" (!)... (actuellement : racisme ciblé anti-arabe, installation de dictatures nazis partout dans le monde dont les médias lui sont acquis, utilisation d’internet, utilisation de l’"écologie", etc...
Mais pour ce qui est de l’essentiel, à savoir le pouvoir, l’argent des banques, le travail des esclaves, l’utilisation par les médias de leur morale dont il n’a que f... faire et qu’il méprise, le capitalisme a des années, voire des siècles, de bonne "formation", familiale et privée !
Sur quelques aspects de "morale" utilisés auprès de ceux qui y croient :
– La "démocratie". Pas celle des Grecs, créateurs du mot, qui en excluait les femmes et les esclaves. Mais celle "à l’occidentale" (comme en Lybie, en Syrie ou en Irak, par exemple).
– La "crise" qui fait faire des économies à tout un chacun, y compris dans les "services publics"
– L’"écologie" qui fait faire des économies (encore !) à tout un chacun pour "protéger la planète"
– Les "droits de l’homme" qui fait ... utiliser les armes coûteuses acquises grâce aux économies précédentes. Pendant que les banquiers, qui ne font "que" prêter de l’argent, se frottent les mains)
– Les armes sont prohibées ayant Ghandi comme référence. Car elles sont réservées à ceux qui savent les manier et sont payés pour.
Il ne s’agit pas d’abandonner toute morale, de croire, par exemple qu’assassiner ou torturer ou bombarder à l’aveugle sont "permis" du moment qu’on "sauve des vies".
Mais de ne pas se laisser avoir par celle que le capital (et ses médias) nous impose - avec succès.