RSS SyndicationTwitterFacebook
Rechercher

LA FIN DU CAPITAL - Pour une société d’émancipation humaine

Le capitalisme fait subir aux peuples sa crise mondiale. Mais derrière les terribles épreuves de ses ruses alternatives pour en sortir et malgré l’échec douloureux des pseudo-socialismes laissant place à un entredeux mondes, se construit pas à pas une nouvelle conscience sociale qui apprend, dans la révolte parfois désespérée ou la révolution, à combattre la corruption et les dérives mafieuses d’un système profondément gangrené. Les deux conflits mondiaux au nom de l’Empire et de la Barbarie, l’interventionnisme militaire au nom des soi-disant périls ethnonationaux , l’accaparement par les grandes puissances internationales des terres des pays tiers et de leurs ressources énergétiques, minières, forestières, agricoles, la montée des néofascismes, la chronicité et la profondeur de la crise généralisée, tout cela amène l’auteur (à l’encontre des experts qui professent que le « libre marché » est indépassable) à faire l’hypothèse de la fin du capital et de l’imminence d’une nouvelle phase historique. À partir de cette probabilité signifiante, il approfondit la matrice écomuniste dans le prolongement de la pensée marxienne, tout en recherchant le meilleur moyen d’ouvrir la voie à une société d’émancipation humaine.

http://www.editions-harmattan.fr/index.asp?navig=catalogue&obj=livre&no=44105

URL de cet article 27338
   
Même Thème
Sélection naturelle. Un roman capitaliste.
Alexandre Grondeau
John, Yan et Jean ont des quotidiens et des parcours professionnels très différents, mais ils arrivent tous les trois à un moment clef de leur vie. John est un avocat d’affaires sur le point de devenir associé monde dans un grand cabinet. Yan, un petit dealer toujours dans les embrouilles et les galères. Jean, enfin, est un retraité qui vient d’apprendre que ses jours sont comptés. Malgré leurs différences, ces trois antihéros se débattent dans les contradictions de la société de (…)
Agrandir | voir bibliographie

 

« La politique étrangère américaine est ignoble car non seulement les États-Unis viennent dans votre pays et tuent tous vos proches, mais ce qui est pire, je trouve, c’est qu’ils reviennent vingt ans plus tard et font un film pour montrer que tuer vos proches a rendu leurs soldats tristes. »

Frankie Boyle, humoriste écossais

© Copy Left Le Grand Soir - Diffusion autorisée et même encouragée. Merci de mentionner les sources.
L'opinion des auteurs que nous publions ne reflète pas nécessairement celle du Grand Soir

Contacts | Qui sommes-nous ? | Administrateurs : Viktor Dedaj | Maxime Vivas | Bernard Gensane
Le saviez-vous ? Le Grand Soir a vu le jour en 2002.