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"De l’ordre dans la salle, SVP". "Alors ! Je disais que..."

« Connaître les opinions des autres, c’est bien. Exprimer les siennes, c’est mieux ».

Où, comment « les petites idées constituent la fondation d’un grand projet ».

D’abord, je peux déclarer que ceci est une initiative personnelle et que LGS, (contrairement à Théophraste), ne me récompense en aucune manière de mes contributions. (La satisfaction personnelle me suffit, moi).

On a de la chance d’avoir LGS et de pouvoir s’exprimer sans crainte, sous l’abri de l’anonymat (et du ridicule), dans l’impunité totale. Alors profitons-en, car avec les temps qui courent, qui sait ?...

Il est inévitable que certains, politiquement « blasés » ou désenchantés, pourraient accuser LGS de se répéter, prêcher aux convertis, de rabâcher. Mais c’est parce que nous nous trouvons toujours face aux mêmes maux et obstacles, qui demandent les mêmes solutions et remèdes. LGS n’est pas un concours « d’originalité » ou de « vérité absolue » (quoique.. ?), car depuis le temps, tout a été dit et écrit par d’autres aussi, sinon plus malins que nous. Mais puisque le silence n’est pas une option, il est donc utile de réaffirmer, confirmer, valider et même de répéter, l’état des choses et des idées.

Libre a chacun de déterminer leurs rôles et contributions respectifs dans la démarche qui est « la prise de conscience » et « d’agir consciemment ». Que la colère et frustration, si légitime, doit toujours viser qui de droit (surtout la « droite réactionnaire », capitaliste, mais pas seulement).

A tous ceux, lecteurs assidus ou occasionnels, qui attendent dans l’embuscade, pour « descendre en flammes », critiquer, ridiculiser où simplement ignorer le temps et l’effort de certaines contributions, je leur demande un peu de bienveillance, du respect et considération. Qu’une guerre des tranchées ; « je dis, tu dis, il dit », n’est pas pour un débat très constructif ou dialectique.

Quoi qu’il en soit, parce que LGS se vante d’être un forum « alternatif », et dans l’intérêt de tous, le débat d’idées ne peut être réservé toujours aux mêmes. Il faut encourager les lecteurs à partager leurs opinions, idées, expériences, colères et frustrations, par leurs contributions personnelles au journal. Car, apparemment, vous avez tous des choses pertinentes à dire, (dans le cadre du critère et choix éditorial du journal, évidemment).

Nul est trop malin, que de tout savoir. Ca ne peut vous faire que du bien, tout en vous défoulant. Ca marche pour moi.

Donc, à la prochaine, avec un plaisir anticipé de vous lire (RSPV).

ADSkippy

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DETTE INDIGNE ! QUI SONT LES COUPABLES ? QUELLES SONT LES SOLUTIONS ?
Jean-Jacques CHAVIGNE, Gérard FILOCHE
« Euro-obligations », « règle d’or », « gouvernance européenne », « fédéralisme budgétaire »… la crise de la dette qui ébranle la France et l’Europe donne lieu à une inflation sans précédent de termes économico-financiers dans les médias et dans les discours des dirigeants politiques. Pour les citoyens, ce vocabulaire, souvent obscur, dissimule une seule et même réalité : un gigantesque mouvement de transfert des dettes privées (en particulier celles des banques) vers les dettes publiques (…)
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"L’un des grands arguments de la guerre israélienne de l’information consiste à demander pourquoi le monde entier s’émeut davantage du sort des Palestiniens que de celui des Tchétchènes ou des Algériens - insinuant par-là que la raison en serait un fonds incurable d’antisémitisme. Au-delà de ce qu’il y a d’odieux dans cette manière de nous ordonner de regarder ailleurs, on peut assez facilement répondre à cette question. On s’en émeut davantage (et ce n’est qu’un supplément d’indignation très relatif, d’ailleurs) parce que, avant que les Etats-Unis n’envahissent l’Irak, c’était le dernier conflit colonial de la planète - même si ce colonisateur-là a pour caractéristique particulière d’avoir sa métropole à un jet de pierre des territoires occupés -, et qu’il y a quelque chose d’insupportable dans le fait de voir des êtres humains subir encore l’arrogance coloniale. Parce que la Palestine est le front principal de cette guerre que l’Occident désoeuvré a choisi de déclarer au monde musulman pour ne pas s’ennuyer quand les Rouges n’ont plus voulu jouer. Parce que l’impunité dont jouit depuis des décennies l’occupant israélien, l’instrumentalisation du génocide pour oblitérer inexorablement les spoliations et les injustices subies par les Palestiniens, l’impression persistante qu’ils en sont victimes en tant qu’Arabes, nourrit un sentiment minant d’injustice."

Mona Chollet

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