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Chasepeake : La vie des étoiles de merde

La force déployée par le système aquifère (hydraulique) pour ouvrir un bivalve peut atteindre 12,75 newtons, ce qui peut représenter l’effort nécessaire à un humain pour lever d’une main une masse d’environ 500 kg. Après une demi-heure, le bivalve est fatigué et ses muscles se relâchent. Une fois assez ouvert, l’étoile de mer dévagine son estomac à l’intérieur à l’aide de la contraction de sa paroi corporelle et prédigère l’animal avec des enzymes gastriques provenant du cæca pylorique. Une fois digéré, l’estomac est réinvaginé par la relaxation de la paroi corporelle et la contraction des muscles. Le contenu est ensuite digéré dans les estomacs. Wiki 

C’est joli une étoile de mer. Mais ça peut avaler, en sortant leur estomac, comme en vampirisant leur proie, un épave de requin, de monstres arctique cadavré au fond de la mer.

Il n’y a pas de différence entre une étoile de mer et un hôtel 5 étoiles : 5 étoiles. Ni, non plus, avec la politique vampirisante de tous les G, attablés avec leur bouteille d’eau de plastique.

Si une flopée d’étoiles de mer peuvent avaler un cachalot - et qu’après il ne reste plus rien de la proie- nous devrions pouvoir ingurgiter ces monstres à l’âme plus tiède que les glaçons du bar La Trimouille.

Depuis le "commencement du monde", c’est comme ça. Il n’y a rien de changé. En 1660, quand les britanniques créèrent des villes en Amérique du Nord, des amérindiens, voyant saccager leurs terres pour des plantations de tabac, dirent aux "blancs" : " Mais les animaux fuient la forêt ! De quoi allons nous nous nourrir ?". Le "blanc" ne répondit pas ( ou le roux :-) ) ... Il continua de raser les forêts.

Alors les amérindiens, pacifiques, allèrent dix fois rencontrer les blanc-roux pour leur dire qu’ils voulaient vivre en paix. Le roux-blanc déclama alors les amérindiens ennemis du "progrès" : un prime pour un abat. Comme les coyotes qui mangent les poules.

Les amérindiens Choptanks furent donc déclarés "terroristes avant la lettre".

Et c’est comme ça, aujourd’hui, qu’après des siècles et des siècles, les descendants des grands développeurs sont comme les étoiles de mer : plus vous êtes en état de cadavre , plus ils s’acharnent à vous ronger jusqu’à la moelle. Peau, os, impôts, dettes, armements...

Maintenant, savants, puisant dans tous les petits cerveaux-infantilistes, rêvant d’être une étoile de mer, suçant l’intelligence humaine au profit des CIE sans pays, ils font du pétrole à partir de l’eau. Par le biais des universités...

Ouah !

Gang de schistes !

Si la Terre était un ballon, que vous la dessouffliez, et qu’elle se retrouve à plat, on finira par tomber au bout comme le vieux concept du moyen-âge. En fait, on arrive au bout... Il n’y a plus de nouveau monde à découvrir. Alors, il y a ceux qui existent, moi, nous, vous, citoyens, sucés par les étoiles des G-8 et G-20. Et nous les payons pour nous détruire.

Les "athées" n’ont jamais eu autant de "dieux".

À force de "croire" et de ne rien faire, nos dieux vont détruire ce que la Vie a créé.

Le diable s’est drapé de rouge, bien mielleux, artificiel, blanc-roux, javellisé, trempé dans entourloupette du vote et de la démocratie.

Tout est beau ! Nous n’avons plus faim... Nous allons crever les dents blanches... Mais assoiffés et affamés.

Une auto ne mange pas... En Alberta, elle prend l’eau que nous buvons, les poissons que nous mangeons...

Gaëtan Pelletier

août 2013

La première carte détaillée de la baie de Chesapeake date de 1612 et est établie suite à une expédition d’une douzaine de personnes menée par le capitaine John Smith (alors installé dans la colonie de Jamestown) en 1607 et 1608.

La Baie fut le berceau de l’esclavage aux États-Unis, la disposition des lieux étant favorable aux immenses plantations de tabac de Thomas CulpeperWilliam FairfaxWilliam BerkeleyFrances Berkeley ou George Washington.

***

Dans les années 1970, la baie connaît le triste privilège d’être le premier endroit de la planète déclaré marine dead zone, à savoir où l’hypoxie (manque d’oxygène) des eaux est tel qu’aucune vie ne peut s’y développer. De grandes surfaces d’algues se forment, empêchant la lumière du soleil d’atteindre le fond des eaux. La perte de toute vie végétale a eu un lourd impact sur la faune maritime.

Chesepeake 

P.S. : Chesepeake signifie "bonne zone de pêche".

Que le poisson continue de voter pour toutes les étoiles de mer...

Si vous cliquez pour agrandir la carte de Chasepeake, vous allez mondialiser votre ordi et votre esprit. Chasepeake nous attend... La carte n’est qu’un pixel du "monde" à venir... 

La Vidure

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Un autre capitalisme n’est pas possible
Rémy HERRERA
Le capitalisme est en crise. Il pourrait même s’agir d’une des plus graves crises de l’histoire moderne. Et pourtant, à suivre l’actualité au jour le jour, l’opinion publique peut avoir le sentiment que cette crise est déjà derrière nous. Or, le pire est sans doute encore à venir, malgré les propos rassurants tenus et les aménagements envisagés. En effet, la réactivation annoncée de l’intervention étatique a notamment pour objet la négation de la nature de biens publics à la fois gratuits (…)
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Que ce soit bien clair : nous avons commis des erreurs, évidemment. Et nous en commettrons d’autres. Mais je peux te dire une chose : jamais nous n’abandonnerons le combat pour un monde meilleur, jamais nous ne baisserons la garde devant l’Empire, jamais nous ne sacrifierons le peuple au profit d’une minorité. Tout ce que nous avons fait, nous l’avons fait non seulement pour nous, mais aussi pour l’Amérique latine, l’Afrique, l’Asie, les générations futures. Nous avons fait tout ce que nous avons pu, et parfois plus, sans rien demander en échange. Rien. Jamais. Alors tu peux dire à tes amis "de gauche" en Europe que leurs critiques ne nous concernent pas, ne nous touchent pas, ne nous impressionnent pas. Nous, nous avons fait une révolution. C’est quoi leur légitimité à ces gens-là, tu peux me le dire ? Qu’ils fassent une révolution chez eux pour commencer. Oh, pas forcément une grande, tout le monde n’a pas les mêmes capacités. Disons une petite, juste assez pour pouvoir prétendre qu’ils savent de quoi ils parlent. Et là, lorsque l’ennemi se déchaînera, lorsque le toit leur tombera sur la tête, ils viendront me voir. Je les attendrai avec une bouteille de rhum.

Ibrahim
Cuba, un soir lors d’une conversation inoubliable.

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