C’est justement sur le sujet que j’ecrivais un e- mail jeudi dernier : ,, Qu’ est-ce que on dira de la Grece ? ’’
<< Qu’est- ce qu’ on dira de la Grece ?- ce serait sans doute... une reponse ( oui, oui, ce n’est pas une erreur, au tele- tournoi ,, Vabank " mene par Kazimierz Kaczor, on donnait les reponses a la forme interrogative, par contre les questions y etaient posees a la forme affirmative ) a la question : un pays de la zone euro oscillant au bord de la banqueroute.
Hier ( 9 III ), le premier ministre de ce pays balkanique, de provenance ancienne, a fait etat, pas n’importe ou- a Washington, donc la, ou une voix d’un politique devient le plus audible, que son pays soit cense etre victime des speculations financieres et a invoque les 20 pays les plus riches ( pourquoi ceux- la ? ) au combat contre ce phenomene. Mais en quoi ladite lutte consisterait ?
N’ approchant pas ici des ennuis de nos compatriotes ( les Polonais, en l’occurrence ) en Bielorusssie, ni d’une situation, parfois dure, des prisonniers a Cuba, il faut se demander : qu’ est- ce qu’on craint a La Havane, a Miñsk, a Caracas, a La Paz, etc., lorsqu’on voit une agitation politique ( ou parapolitique ) vivifiee sur son territoire ?
Qu’ on a a faire avec une avant- garde d’une activite economique ou plutot pseudoeconomique, que l’industrie cubaine, bielorusse, venezuelienne, bolivienne, etc. deviendraient des objets de drainage et de speculation, qu’on revendrait ces industries aux marches internationaux, comme par exemple- en se deplacant a la cour interieure ( polonaise )- deux compagnies de chemin de fer marchandent par ce temps-ci- des salles de reparation de locomotrice avec... des cheminots y travaillant !
Peut- etre alors veulent- ils etre sages avant la perte ? Peut- etre croient- ils toujours au ,, Patria o muerte ’’ ?>>