Après l’interruption du processus électoral, car l’armée, avec son service de sécurité le DRS, avait découvert la manoeuvre d’accaparement de la révolte de 1988 - par les financements et autres soutiens aux islamistes - des groupes islamistes armés surgissent le lendemain. C’est la guerre. Des villageois, des familles, des intellectuels, des artistes, des journalistes, des écrivains, des policiers, des postiers, des enseignants sont assassinés ; des écoles et toutes les infrastructures de bases sont détruites ou endommagés. Des dizaines de milliards de dollars de pertes, des dizaines de milliers de morts.
L’armée aidée par la population (organisés en Groupes de légitime défense) les ont traqué jusqu’à leurs extermination. C’est alors que l’on a sorti la propagande que l’armée massacre les civils, puis ce sont les "˜milices du régime’ ensuite le « qui tue qui ».
L’armée et les GLD protégeaient les villageois des massacres terroristes du GIA. C’est le GIA qui détruisait les infrastructures économiques, sociales et éducatives, tuait les civils. Je vis en Algérie et je sais de quoi je parle. Des proches ont été tués, sans raison, par ces groupes. Nous les connaissons. Ils ont été ensuite éliminés. L’armée ici est populaire. Elle est composée de grands patriotes.
Les propagandistes du Fis, dont le chef vit actuellement au Qatar, aidés par la France revancharde n’arrêtent pas, sur leur sites et TV financés par des associations connues de France, de pousser encore les algériens à la révolte. Ils s’emploient à réitérer le même coup de la Libye en Syrie mais aussi en Algérie. Les algériens restent vigilants grâce à leur expérience contre ces hordes de traitres du 21 siècles. Ils les ignorent totalement.
La Syrie doit s’inspirer de l’exemple de l’Algérie. C’est une tactique efficace et radicale.