Les médias occidentaux vous ont dit de plaindre les Ouïghours, un groupe ethnique minoritaire chinois de la province du Xinjiang. On vous a demandé de « les soutenir » et de « défendre leurs droits ».
Ils vous ont dit que les Ouïghours sont victimes de discrimination et que la Chine essaie injustement de détruire leur culture.
Ce que vous n’êtes pas censé savoir, c’est que de nombreux événements apparemment sans rapport les uns avec les autres que vous suivez sur vos écrans de télévision ou dans les pages de vos journaux, sont en fait directement liés aux Ouïghours et à leur « Congrès Ouïghour Mondial » (WUC) militant pro-occidental.
Il ne s’agit pas seulement de survivre physiquement à la « pandémie ». Les gens sont privés des autres et de lieux de vie, parfois désespérément. Et lorsqu’ils sont séparés, ils meurent. Nous sommes bombardés de rapports et de chiffres. Nous sommes effrayés par des histoires médicales horribles, par des images choquantes, et puis, simultanément, par des prédictions de chute économique et sociale. Jour et nuit, encore et encore. Mais d’une manière ou d’une autre, si souvent pendant cette soi-disant urgence coronavirus, nous avons tendance à oublier que les gens sont des personnes, pas des chiffres, et que la simple survie est loin de tout.
Ça devient moche, extrêmement moche.
Ça ressemble de plus en plus à une guerre, du moins à une nouvelle guerre « froide » idéologique.
Mais dans l’ombre du COVID-19, elle passe presque inaperçue.
25 mars 2020 Il n’y a pas si longtemps, le Wall Street Journal a insulté la Chine, la qualifiant de « vrai malade de l’Asie ». La Chine a riposté, puis les États-Unis ont contre-attaqué. Les émotions ont été fortes, des journalistes ont été expulsés. Soudain, divers responsables chinois ont exprimé publiquement ce que beaucoup, tant en Chine qu’en Russie, exprimaient depuis des semaines en sous-voix : que c’était peut-être l’establishment militaire américain, qui avait apporté le nouveau type de coronavirus (COVID-19) à Wuhan, afin de nuire à la Chine et de ramener le monde, par des voies détournées complexes, sous le contrôle de l’Occident.
Ils se sont engagés à le faire, et ils l'ont fait – les seigneurs féodaux boliviens, magnats des médias et autres "élites" traîtres - ils ont renversé le gouvernement, brisé l'espoir et interrompu un processus socialiste extrêmement réussi dans ce qui était autrefois un des pays les plus pauvres d'Amérique du Sud.
Beaucoup l’ont déjà remarqué : les États-Unis ne se sentent vraiment, vraiment pas comme le leader mondial, ni même comme un « pays du Premier monde ». Bien sûr, j’écris cela avec sarcasme, car je déteste des expressions comme « Premier monde » et « Tiers monde ». Mais les lecteurs savent ce que je veux dire.
Avant, c’était fait régulièrement et ça marchait : l’Occident identifiait un pays comme son ennemi, lâchait sa propagande professionnelle contre lui, puis administrait une série de sanctions, affamant et tuant des enfants, des personnes âgées et autres groupes vulnérables. Si le pays ne s’effondrait pas en quelques mois ou quelques années seulement, les bombardements commençaient.