Abdelmalek Sellal a dit « On a critiqué Sellal parce qu’il ne parle pas en arabe académique. Moi je dis à ces gens que je m’adresse à tous les Algériens et Algériennes en utilisant un langage qu’ils comprennent. C’est le plus important ».
Kada et Kaddour apprécient les paroles du Docteur Mouloud Hédir, l’expert en commerce, et surtout son expression « Les algériens ne sont pas tous de bras cassés ». Ils demandent à son Excellence de fermer les écoles bergeries, de nommer Panurge comme ministre des animaux et Pantagruel comme ministre de la religion. Après cette nomination, Panurge va visiter Djelfa pour restructurer ses souks et Pantagruel va prohiber la viande congelée pour les riches et appliquer la fatwa chinoise pour les gourmands et les fraudeurs. Comme ça nos enfants vont rigoler et dire au maitre d’école qui s’occupe de l’économie : Le commerce en Algérie se situe entre l’intelligence de Kada et naïveté de Kaddour.
Il me regarde sans dire un mot. Le silence régna dans la voiture un bon moment. Soudain Abdelaziz s’exclama « Ralentis ! Un faux barrage ! Nous sommes chez les "coupeurs de gorges". Je ralentis et je vois une personne armée en tenue afghan qui nous faisait signe pour arrêter. Je m’arrête à quelques dizaines de mètres de cette personne quand deux autres personnes descendirent de la colline. Une cagoulée et armée. L’autre figure découverte et sans arme. Après une longue discussion, elle me demande si mon poste radio fonctionnait. Je lui réponds par un oui très court. Elle me demande de lui faire écouter une chanson. Elle cherchait une cassette de rail. Je lui dis qu’il ne reste plus de rail dans ce pays. Nous sommes dans le monde de monsieur sérieux malgré lui. Le jeune homme sourit et dit « vous êtes vraiment courageux ! ». Je lui réponds « comme tous les algériens ».
Sans l’aide d’un testeur électrique, un jeune électricien de Bordj Bou Arreridj, travaillant chez nos députés, pense que cet éclair a probablement été causé par l’étincelle du court-circuit électrique dans la maille Abdellatif Benachenhou, Chakib Khelil, Hamid Temmar. Il nous dit que cette maille montre la fragilité du réseau et met en relief les rides de la première république. Des rides qui annoncent sa fin dans un délai très court
Chez nous, l'atmosphère est très agréable en ce printemps. La pluie et le beau soleil embellissent la terre des braves. Sans mentir, la couleur verte, le rouge vif de nos coquelicots et le jaune des boutons d'or dans nos compagnes expriment bien un printemps brillant. Les âmes pures de nos martyrs sauvegardent un printemps qui ne peut être contrôlé ni par la France ni par l'empire mirage du Qatar.
Les trois malfaiteurs sont des musulmans qui récitent ce verset " Ne semez pas la corruption sur terre, après que le bon ordre ait été instauré. Implorez le Seigneur par crainte et espoir, car sa miséricorde est toute proche des bienfaiteurs" durant leurs prières.
Dieu merci, notre armée populaire a démontré son expertise à In Amenas. L’armée algérienne a prouvé aux expansionnistes prétentieux que l’Algérie n’est pas une batture sur laquelle les mauvaises vagues françaises se rabattent. Le courage et la témérité de nos gendarmes et nos soldats ont donné une leçon inoubliable aux criminels qui voulaient faire agenouiller les algériens et amoindrir leur courage. L’Algérie des martyrs n’est pas un pâturage non gardé ou un étang abandonné où les malfaiteurs s’aventurent pour chasser les canards sauvages.
Un président n’est jamais responsable quand les gens de science l’orientent intentionnellement vers le chaos ». Dans la même journée, Mr. Haroubia et Mr. Gaïd, spécialiste de traitement des eaux, ont présenté au président Chadli une usine pilote pour le traitement des eaux d’Oued El Harrach…….. Une usine qui n’a jamais fonctionné ! Chadli voulait bien faire mais les gens du show business l’ont induit en erreur.
Pour bien me repérer dans l’espace et le temps, je cite les paroles d’un idéaliste algérien dégringolant du sommet d’un enseignement politique oublié « Quand je vois Bernard Henri Lévy aux côtés des Libyens à Benghazi, je me demande à quoi cela rime.
Le vote est le seul facteur qui mesure l’implication citoyenne dans une société civilisée. Cinquante-huit ans après la fête de la Toussaint de 1954, les Algériens cherchent leur chemin. La majorité est éveillée et éduquée mais le bon chemin semble être loin de sa visibilité.