Ce n’est un secret pour personne que Washington, centre du pouvoir de l’empire, s’intéresse particulièrement à l’État du Vatican, centre du pouvoir religieux et politique des catholiques dans le monde.
Le pape François est sommé de se justifier après les attaques des néoconservateurs états-uniens.
Dans Evangelii Gaudium (la joie de l’Évangile), diffusé mardi 26 novembre, premier texte officiel publié de sa main depuis son élection sur le trône de Pierre, l’évêque de Rome offre une ligne de conduite tous azimuts, façon feuille de route.
Une scandaleuse affaire de déni met en lumière la relation problématique des Catholiques – et du Pape François – avec l’Histoire
Incroyable, mais vrai, le pape François, comme chef d’État du Vatican, vient de recevoir le candidat défait à la dernière élection présidentielle au Venezuela, Henrique Capriles, l’homme de Washington pour déstabiliser le Venezuela.
Comment une Inquisition moderne, avec l’aide du pape François, réprima le mouvement de protection des pauvres.
La semaine dernière, une multinationale de la foi et du capital financier a choisi son nouveau PDG. Le directoire de l’Institut des oeuvres religieuses (IOR) - nom de code pour identifier la banque du Vatican et ses 44 000 comptes secrets classés « toxiques » - était vacant depuis 9 mois suite au limogeage de son dernier directeur, remercié par l’ex-Pape Benoît XVI, en disgrâce pour incompétence. « L’institution, épinglée sur la liste noire des paradis fiscaux mafieux, n’avait plus de tête pour gérer ses 6 milliards d’euros pas davantage traçables qu’un bifteck chevalin ».