Le Ministère des affaires étrangères de l’État plurinational de Bolivie alerte la communauté internationale sur les récents évènements qui mettent en lumière la gestation d’un coup d’État provoqué par des groupes civils radicaux.
Cette lettre de Cesare Battisti a 10 ans. Il l’avait écrite dans la prison de Papuda, à São Sebastião le 18 fevrier et transmise le 20 février 2009 à son comité de soutien français animé par Fred Vargas qui souhaita qu’elle soit diffusée. Elle a été lue en séance plénière au Sénat brésilien, par le sénateur José Nery. Elle a circulé à travers tout le Brésil et l’Italie.
En France, elle a été publiée par Le Grand Soir (mais pas par les journaux qui font l’opinion et qui savent et qui répètent, à lire les médias et politiciens hystériques italiens, que Battisti est un « terroriste »).
Nous publierons dès que nous en aurons la traduction en français la requête en bonne et due forme adressée par Cesare Battisti aux autorité boliviennes pour demander l’asile politique. Il semblerait qu’il y indiquait l’endroit où l’on pouvait le joindre et... où on l’a cueilli avant de le mettre précipitamment dans un avion italien, au mépris des lois de la république bolivienne.
LGS
L’histoire retiendra l’exclamation (sincère ou pas) de Barak Obama, le 17 décembre 2014, pour justifier le changement de politique sur la « question cubaine » : « Nous sommes tous Américains » ; mais il semble que pour la Maison Blanche le Venezuela le soit moins que les autres.
Potosi (Bolivie).
« Si le Che nous a choisis pour continuer sa révolution, c’était bien pour quelque chose », m’a dit à La Paz, un bolivien très fier.
Les véhicules sont nombreux, trop. Ceux du service public, en particulier. On ne comprend pas pourquoi il n’y a pas plus de collisions. Les piétons doivent calculer pour passer d’un trottoir à un autre sans se faire renverser. Mais ça a l’air de ne déranger personne. Seulement nous, qui ne sommes pas d’ici. Quelqu’un a dit une fois que cette ville était “la Shangai latino-américaine”.
Les élections du 12 octobre prochain devraient voir sans surprise la réélection du président sortant, Evo Morales Ayma, avec une large avance sur son opposant principal, l'homme d'affaires Samuel Doria Medina, le Capriles bolivien, soutenu par l'élite conservatrice et les Etats-Unis. Pourtant, rien ne prédestinait cet éleveur de coca à un tel destin...
Le 12 août, par un article écrit pour Le Grand Soir
(www.legrandsoir.info/le-sommet-de-cochabamba-bolivia-s-est-termine-par-un-rassemblement-d-un-million-de-personnes.html), Jean Ortiz nous rendait compte du sommet de Cochabamba et de son intervention où il se démarquait des positions du pouvoir français et de son geste d’hostilité envers le président bolivien dont l’avion ne put survoler le territoire français.
Jean Ortiz revient ici sur ce sommet et sur l’incident.
LGS
(De Cochabamba, pour Le Grand Soir).
Le sommet anti-impérialiste fait un triomphe à Evo Morales.
Dans l’ambiance festive du rassemblement, il a été proposé que le président de la Bolivie soit désigné leader mondial des mouvements sociaux.
http://internacional.elpais.com/internacional/2013/08/03/actualidad/1375491529_096143.html
La République Bolivarienne du Venezuela, dans l’exercice de la présidence pro tempore du Marché Commun du Sud (MERCOSUR) et par mandat de la décision des Etats membres du MERCOSUR de soutenir le président Evo Morales, exprime aux Honorables Gouvernements d’Espagne, de France, d’Italie et du Portugal, sa désapprobation la plus ferme ainsi que son indignation, face au traitement injustifiable, fondé sur des préjugés, auquel a été soumis l’avion du Président de l’Etat Plurinational de Bolivie, Evo Morales Ayma, lorsque les permis de survol et d’atterrissage dans leurs territoires ont été refusés, alors qu’ils avaient été autorisés auparavant et dûment établis dans le plan de vol.