Depuis l'élection d'Emmanuel Macron à la présidence de la République française en 2017, l'économie française a connu des hauts et des bas. Cet article se concentrera sur les aspects négatifs de l'économie française sous la présidence Macron, en citant des sources pour étayer les arguments présentés.
Dans l'assassinat de Nemstov, certains y voient à la fois directement la main de l'occident et le signe de sa décrépitude rapide, sinon même de sa fin prochaine... Lorsque l'on parle de "déclin" des impérialismes, il faut se rappeler qu'au cours des années 60-70, une vague de révoltes et de luttes de libération nationale sans précédent a secoué le monde impérialiste, vague dont la guerre du Vietnam fut le temps fort et quasi emblématique. C'est en réalité à ce moment que l'impérialisme fut le plus affaibli par la résistance des peuples ! C'est là que se situe l'origine de sa crise systémique, avec la liquidation des accords financiers de Bretton Woods, qui avaient été le ciment de ses nouveaux fondements, à l'issue de la 2ème guerre mondiale. Depuis lors, devenue chronique, cette crise systémique n'a cessé de s’approfondir, par cycles successifs. Pourquoi le système impérialiste ne s'est pas effondré à ce moment précis, où le rapport de forces lui était manifestement le plus défavorable ?
Le 18 mars 2015, la Banque centrale européenne (BCE) veut inaugurer son nouveau siège à Francfort. La somme vertigineuse d’ 1,3 milliards d’euros a été dépensée pour construire ces tours jumelles de 185 mètres de haut qui ressemblent à une forteresse, entourée de clôtures et de douves.
Après lecture de ce texte, vous connaîtrez les causes profondes de la crise économique systémique du capitalisme et les raisons pour lesquelles cette crise ne peut être résorbée, ni le capitalisme réformé. Vous saurez pourquoi il n'y a que peu de choix, soit nous poursuivons cette marche forcée vers la crise, la guerre et la barbarie ; soit, nous nous dirigeons vers la seule alternative, l'économie planifiée et la paix.
Alors que l’Espagne vit une crise humanitaire sans précédent, le mouvement social subit une répression constante d’un régime qui a peur du changement et protège ses intérêts. Le bipartisme qui s’alterne au pouvoir depuis la fin de la dictature est fort affaibli par une succession de luttes sociales victorieuses et l’irruption de nouvelles initiatives populaires qui mettent en pratique de nouvelles façons de faire de la politique. A n’en pas douter, l’Espagne entre dans une nouvelle phase de mobilisation qui augure de possibles changements politiques importants.