Le texte qui suit constitue la préface et le chapitre introductif du livre de Jaime Semprun intitulé Précis de récupération, illustré de nombreux exemples tirés de l’histoire récente, paru aux éditions Champ libre en janvier 1976.
"La période post-crise verra (et on le voit déjà) le secteur musical se concentrer encore plus sur les stars ultras médiatisées. Les artistes des deuxième et troisième cercles connaîtront une sévère précarité, avec une baisse non négligeable de la valeur de leurs cachets, sans compter qu’un grand nombre d’entre eux seront exclus du régime de l’intermittence du spectacle. Le moment peut-être pour eux d’enfin réfléchir à un autre mode de production. "
Le film d’Emmanuel Mouret, tiré d’une nouvelle insérée dans Jacques le Fataliste de Diderot, n’engage apparemment pas de grands débats. C’est même le consensus des critiques qui est fastidieux, en particulier sur la subtilité et l’élégance des dialogues, écrits dans une langue XVIIIe, et sur le jeu parfait des acteurs.
En 1939, en France, la radio touchait un public de masse (5 millions de postes récepteurs pour environ 40 millions d’habitants). Il était naturel que l’occupant nazi, les collaborateurs, mais aussi les résistants de Londres s’intéressent à ce nouveau moyen de communication et à ce qu’il véhiculait en priorité : information, propagande et divertissement.
« Emma Coats, ancienne scénariste du studio, a décrypté le code de Pixar, créant du même coup un modèle de pitch ’irrésistible’. Selon elle, tous les films de Pixar partagent le même ADN narratif, une structure qui fait intervenir les 6 phrases suivantes :
Tsui Hark a depuis longtemps ses fans, qui encensent ses films aux spectaculaires effets spéciaux, comme dans les deux Détective Dee, sortis en France en 2010 et 2014. Mais voilà que les admirateurs du "génie de Hong Kong" font la moue : "on ne sent plus ici l’approche chaotique du monde et du langage cinématographique qui font de Tsui Hark un authentique révolutionnaire du 7e art" (la "révolution" par le chaos, si tristement actuelle, est-ce vraiment l’idéal d’Abusdeciné ?). Pourquoi donc ?
Alex de la Iglesia est plus populaire en Espagne qu’Almodovar. Il y a deux ans, il s’était fourvoyé dans le genre sérieux, essayant d’appliquer son humour à l’Histoire, celle de la Guerre civile, mais n’aboutissant qu’à renvoyer dos à dos républicains et franquistes.
Pour écrire un tel livre, il fallait être philosophe, auteur-compositeur, musicien, féru de chanson française. You name him, comme disent les Grands-Bretons, et vous dévorez cet ouvrage très original qui prend le pari (et le gagne) d’associer des extraits de chansons populaires françaises à des développements philosophiques des plus grands penseurs de l’histoire de l’humanité.
Place aux images dans la critique des médias. L’importance des médias — et de leur critique par conséquent — dans le fonctionnement démocratique ne sera pas démontrée ici. Mais parfois “montrée” plutôt que “démontrée”. C’est de cette façon qu’opèrent les gens d’image : montrer, sensibiliser, travailler les signes et les imaginaires. Cette approche — ni plus ni moins importante que d’autres — reste très marginale dans le courant (lui-même très marginal) de la “critique des médias”.
Bonjour à vous, voici le manifeste du mouvement artistique : RevoltEmotion.