« L’usage de la force, et nous en avions les moyens, aurait conduit à la catastrophe, »
Le dernier président du Conseil d’État de la République démocratique allemande (RDA) évoque la chute du mur, le rôle de Gorbatchev, ses relations avec Kohi, ses propres erreurs, le socialisme.
Egon Krenz vit avec sa famille près de Rostock. Notre rendez-vous a eu lieu à Berlin, dans un endroit discret, il doit prendre des précautions, n’étant pas à l’abri d’une provocation.
La presse de droite allemande le salit, l’insulte souvent.