@Renard, vous qui apparemment êtes de ceux qui voient Mélenchon partout.
Petite liste non-exhaustive
Si, votre liste est exhaustive, elle est même gonflée à l’air. Au gaz hilarant même.
Les gens comme vous parlent bien davantage de l’admiration de JLM pour Mitterrand que JLM lui-même. Tonton n’était pas un personnage ragoûtant mais il n’en fait pas une icône. Vous oui. Qu’il évoque bien plus Jaurès ou Robespierre ne vous fait ni chaud ni froid évidemment, mais il faut bien trouver de quoi nourrir votre rancoeur.
Il a été au PS pendant 30 ans... et il l’a quitté. Mieux vaut tard que jamais. Certains trahissent leurs idéaux sans sourciller et sans changer de fauteuil pour un zéro de plus sur leur fiche de paie.
Il a voté oui au traité de Maastricht... ah ben enfin, voilà ce qu’on peut appeler une casserole... et encore, pas si l’on s’attache à la vraie signification d’une casserole qui est la compromission... à cette époque-là, l’Europe représentait encore un idéal pour beaucoup j’imagine, enfin sauf pour vous qui semblez être au-dessus de tout soupçon et de toute erreur de parcours...
« La République, c’est moi ! » Franchement Renard, à quoi vous sert-il de sortir ce genre d’argument fallacieux ? Ou alors c’est que lire le GS ne vous fait pas réfléchir un brin... nul besoin de perdre son temps à vous refaire une explication de texte pour la énième fois, on ne fait pas boire un âne qui n’a pas soif.
JLM a exclu la ligne souverainiste de la FI... mais oui... à ce que je sais, ont été exclus une bande de bras cassés avec des obsessions fleurant celles de l’extrême-droite et quelques-uns et unes dont les dents rayaient le parquet. Moi, je dis bravo.
Bref, votre buffet sonne creux.
Maître Renard, vous détestez à ce point Mélenchon que même la lecture d’un média alternatif comme le GS ne parvient à relativiser votre point de vue et que vous vous faites l’écho mot pour mot des mêmes antiennes que les médias de masse qui assomment le peuple. Comme eux, il vous faut racler les fonds de tiroir à vous en arracher les ongles pour alimenter une argumentation chétive.