4 mai 2014
Continuité
Pierre LEVY
Le suspense aura été modérément insoutenable. Le 29 avril, moyennant quelques aménagements cosmétiques, l’Assemblée nationale a finalement adoubé ledit « plan de stabilité » triennal que chaque pays est dans l’obligation de transmettre annuellement à Bruxelles.
Les honorables parlementaires étaient du reste simplement consultés ; il appartiendra en revanche à la Commission puis au Conseil européens de corriger la copie, d’ici fin juin.
Des députés de l’opposition n’ont pas caché qu’ils (…)










