"La vie échappe aux formules et aux systèmes que notre raison s’efforce de lui imposer ; elle s’avère trop complexe, trop pleine de potentialités infinies pour se laisser tyranniser par l’intellect arbitraire de l’homme... Toute la difficulté vient de ce qu’à la base de notre vie et de notre existence, il y a quelque chose que l’intellect ne pourra jamais soumettre à son contrôle : l’Absolu, l’infini.
Sri Aurobindo
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Par son effet "compression" sur le mollet, la chaussette procure une sensation de bien être rapide et durable, et est le complément indispensable des autres techniques de récupération en prolongeant leurs effets bénéfiques. Bas sport
Nous sommes dans une bataille entre singes et humains, entre humains et inhumains. Nous sommes une incarnation sous forme animale d’un dieu bien caché en nous, que nous cherchons ailleurs. C’est là la guerre de toutes les guerres. Et l’inutilité du conflit… Car c’est à la base, notre conflit intérieur. Mais en fin de compte, tous les conflits intérieurs mènent au résultat des conflits actuels.
Sri Aurobindo avait compris qu’il règne en nous un dieu et une bête. Et, parfois, un mélange assez étonnant des deux, puisque la bête a le pouvoir d’aller puiser dans la force divine pour diaboliser son être.
C’est comme ça…
Et ça l’est encore davantage, puisque le 20e siècle fut le siècle des armes extrêmes, autant celles de l’esprit que des machines de guerres créées pour anéantir les races, les différences, toujours au profit du profit. L’Homme est une brute « sombre et primitive ».
Nous voilà dans le primitivisme exacerbé. Le culte de la bête armée de ses neurones n’a jamais autant écrabouillé les âmes. Au point où nous en sommes, l’Histoire de l’humanité pourrait être représentée par un escabeau qui aurait atteint le sommet dans son « art » de tripatouiller, de violer, de déchirer, à grands crocs sophistiqués, les masses humaines.
C’est l’histoire du gars qui a créé la « pelouse parfaite » devant sa demeure. En tuant tout ce qui était différent de la pelouse.
Il faut des milliers de litres pour soustraire une once d’or. Mais il faut également des milliers de litres de sang humain pour aller chercher l’or là où il est. Mais là ou il est, sont ceux qui vivent de l’eau, et non de l’or. De sorte que nous voilà tous fondus dans la marmite du mondialisme, cette créature boursoufflée d’orgueil. Comme des grosse joues d’enfants…
Le « singe appliqué » est au bord du gouffre. Mais le « singe appliqué » persiste et signe sont chant.
L’énigme de la vie ne sera jamais résolue. La « raison » de l’existence non plus, puisqu’en partant, nous cultivons la bête qui règne sur les simples et les âmes laineuses dont on tire la tonte et la tonte et la tonte.
J’aime bien le mot anglais : « limitless ». Sans limites… Aucune. Sinon que la soulerie des meneurs de claques et de clappements dans grandes assemblées.
L’animalité humaine est indubitablement ancrée en chacun de nous. Jadis nous nous en remettions - et encore nous le faisons - aux « mains de Dieu ». Voilà que nous nous laissons notre vie aux mains de tueurs psychopathes enivrés, naïfs, épluchant la Terre comme une pomme avec… les outils de nos mains, notre argent, nos sueurs et notre sang que nous répandons avec « honneur ». Avec « honneur ».
Patriot Act.
Toutes les formes de sciences du 20e siècle nous ont menés - non pas à l’éclaircissement, mais à une confusion plus grande.
On a inventé le mensonge virtuel de par l’argent virtuel par un gros tapis de formules des économistes.
La richesse illusoire, et la misère sous le tapis, car tout est sous tapis. C’est le grand règne des hypocrites. Marchants du Temple rond… La Terre. La plus belle église du « monde ».
Nous souffrons tous - du moins pour la plupart - d’une cataracte de l’existence. Les enfants voient des moutons dans les nuages. Les adultes élisent des chiens déguisés en moutons comme dans les bandes dessinées.
Clément Adler nommerait cela « un complexe d’infériorité psychosocial ». Chaque vote fait de nous un sculpteur d’une statue d’or… Une putain qui couche avec des brasseurs d’or…
La planète est un lupanar investi…
Vendons nos corps.
La sortie
On cultive la boue, on fomente des coups, et cela à tous les étages de la vie.
La vie ressemble à un bas tricoté en cinq fibres différentes :
45 % polyester, 23 % laine, 22 % acrylique, 6 % coton et 4 % spandex.
La course vers la sortie, c’est le pourcentage de la « fibre investie » qui fait le confort.
Présentement, nous sommes en face d’une paire de bas « État ». Le citoyen étant un peu « spandex » et n’occupant que 4% du pouvoir.
Le réel pouvoir est le polyester, représenté par le tricot mondialiste des banksters et des hommes d’affaires.
23% de laine : le minimum de moutons complètement rasés.
L’acrylique c’est le synthétisme des dirigeants.
En vérité, en vérité, je vous le dis, nous marchons sur nos bas croyant courir avec des souliers.
Il faudra plus que des économistes pour trouver la formule qui nous permettra de trouver un peu de bonheur ici-bas.
Le monde reviendra sain le jour où chacun se mettra au tricot plutôt que de se laisser manger la laine sur le dos par des machines à tondre et à nous tricoter un monde insoutenable.
P.S. : Personnellement, la seule chose qui m’attire dans l’achat de vêtements, ce sont les bas. On nous a tournés à l’envers : quand les pieds sont au chaud, le cerveau va bien. Je vous invite donc à consulter mon article Bah ! . La simplicité volontaire, c’est le pied… Pas l’apparence.
Quand vous aurez compris, vous ne pleurnicherez pas en enterrant un politicien véreux ou un type de Wall-Street. Non.
L’avenir appartient à ceux qui aimeront les bas. Mais méfions nous des amours trop ardents : il pourrait apparaître un spécialiste des bas, directo from Harvard, qui vous fera une cérémonie d’enterrement de vos bas à des prix exorbitants. Un spécialiste, c’est un idiot de couloir, mais consacré avec sceau (sot) d’État.
Un diplômé.
Gaëtan Pelletier
12 janvier 2012
La Vidure