Ce qui me dérange chez les gilets jaunes, c’est qu’à une époque où la marseillaise incarne bien plus l’état bourgeois, guerrier et répressif que ses citoyens, ils sont plus prompt à chanter la marseillaise que l’internationale. De plus, chaque révolution a eu ses chansons, j’attends toujours celles des gilets jaunes.
Un autre point me frappe dans cette histoire, c’est que nulle part nous n’entendons la voix des migrants, immigrés et autres réfugiés, ce qui permettrait de faire le lien avec la politique impérialiste et guerrière de la France et de revendiquer à la place une politique internationaliste.