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Macron le curé du capital, nous parle au journal de 20h depuis l’ORTF...

L’appel de la bourgeoisie à la guerre contre le peuple de France.

Nous avons tous vu les opportunistes...

Nous avons tous vu les irresponsables politiques dont le seul projet est de bousculer la république cherchant le désordre et l’anarchie...

C’est donc désormais, le calme et l’ordre républicains qui doivent régner, nous y mettrons tous les moyens car rien ne se construira de durable tant qu’on aura des craintes pour la paix civile. J’ai donné en ce sens au gouvernement les instructions les plus rigoureuses .

Nous voyons tous que le président de la république ne maîtrise pas le français et l’anomie capitaliste qu’il engendre.

Nous voyons tous que le président défend la république et non la démocratie.

Il en appel à l’anarchie, répondons en anarchiste :

« Les politiques enfin, quelle que soit leur bannière, répugnent invinciblement à l’anarchie, qu’ils prennent pour le désordre ; comme si la démocratie pouvait se réaliser autrement que par la distribution de l’autorité, et que le véritable sens du mot démocratie ne fût pas destitution du gouvernement. » (Proudhon, « Confessions d’un révolutionnaire »)

Salut à toi, le Gilet Jaune qui fut frappé, nassé, gazé le jour de la prise de l’Arc de triomphe, le 1er décembre 2018.

Salut à toi, le Gilet Jaune qui par tes tags et graffitis, cracha sur le symbole républicain triomphant de la domination, hiérarchique, bourgeoise, capitaliste.

Salut à toi, le Gilet Jaune qui protégea des forces répressives républicaines, la tombe du soldat inconnu : leurs victimes.

Tu ne veux pas de représentant, tu veux gérer ta vie, ton temps, redéfinir le travail ou courir à poil entre les arbres des bois ou des forêts...

Alors, salut à toi le Gilets Jaunes, salut à toi, l’anarchiste.

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Désobéissons à l’Union européenne !
Aurélien BERNIER
Délocalisations, destruction méthodique des droits sociaux, incapacité à protéger l’environnement, refus de la démocratie... Après l’adoption du traité de Lisbonne en 2008, on pouvait croire que l’Union européenne avait atteint le fond du trou libéral. Erreur ! Depuis la crise financière, elle creuse ! Même l’idéal de solidarité entre États vole aujourd’hui en éclat. Une vague d’austérité sans précédent déferle sur l’Europe, qui place elle-même ses peuples sous la tutelle des marchés (…)
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Viktor Dedaj

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