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Le gouvernement bolivarien condamne l’attaque israélienne contre le peuple syrien

Traduction pour le site "La Voix Bolivarienne".

République Bolivarienne du Venezuela Ministère Populaire des Affaires Etrangères

Le gouvernement bolivarien condamne l’attaque israélienne contre le peuple syrien

Communiqué

Le Président de la République Bolivarienne du Venezuela, Nicolas Maduro Moros, au nom du gouvernement bolivarien et du peuple vénézuélien, condamne énergiquement l’attaque militaire israélienne effectuée dimanche matin dans la localité de Yemraya contre le peuple et le gouvernement syrien, causant au moins 4 morts et plus de soixante dix blessés, civiles et militaires. Le gouvernement bolivarien présente ses condoléances aux familles des victimes et au peuple et gouvernement frère de la République Arabe de Syrie.

Cette nouvelle agression s’ajoute à celles perpétrées les 03 mai et 30 janvier derniers, durant lesquelles des avions de guerre israéliens ont violé le territoire syrien et l’espace aérien libanais, actions qui représentent clairement des actes de guerre qui incluent la violation de l’espace aérien de deux nations, la violation des traités internationaux, le bombardement et la destruction de secteurs résidentiels, scientifiques et militaires, ainsi que la mort de citoyens syriens.

Le gouvernement de la République bolivarienne du Venezuela exprime sa préoccupation quand aux conséquences de ces attaques pour la paix et la stabilité du Moyen Orient ; si ces attaques venaient à se reproduire elles pourraient entrainer la région dans une crise avec de terrible conséquences, menaçant la paix et la sécurité internationale. Ces agressions démontrent l’implication directe de l’Etat israélien dans le confit syrien et ses liens avec les groupes armés, qui jour à jour portent atteinte à la pais et la sécurité du peuple syrien.

Le gouvernement de la République bolivarienne du Venezuela réaffirme son compromis avec tous les efforts qui permettent au peuple syrien de retrouver le chemin de la paix grâce au dialogue politique et la négociation, toujours dans le respect de son autodétermination, indépendance et intégrité territoriale, sans interférences de pays tiers qui ont un intérêt à déstabiliser et soumettre la résistance de l’héroïque peuple syrien.

Caracas, le 05 mai 2013.

Traduction non officielle.

Source (texte officiel) :

http://www.mppre.gob.ve/index.php?option=com_content&view=article&id=28057:gobierno-bolivariano-condena-ataque-israelita-contra-el-pueblo-sirio&catid=3:comunicados&Itemid=108

»» http://venezuela.revolublog.com/le-...
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Depuis 1974 en France, à l’époque du serpent monétaire européen, l’État - et c’est pareil dans les autres pays européens - s’est interdit à lui-même d’emprunter auprès de sa banque centrale et il s’est donc lui-même privé de la création monétaire. Donc, l’État (c’est-à -dire nous tous !) s’oblige à emprunter auprès d’acteurs privés, à qui il doit donc payer des intérêts, et cela rend évidemment tout beaucoup plus cher.

On ne l’a dit pas clairement : on a dit qu’il y avait désormais interdiction d’emprunter à la Banque centrale, ce qui n’est pas honnête, pas clair, et ne permet pas aux gens de comprendre. Si l’article 104, disait « Les États ne peuvent plus créer la monnaie, maintenant ils doivent l’emprunter auprès des acteurs privés en leur payant un intérêt ruineux qui rend tous les investissements publics hors de prix mais qui fait aussi le grand bonheur des riches rentiers », il y aurait eu une révolution.

Ce hold-up scandaleux coûte à la France environ 80 milliards par an et nous ruine année après année. Ce sujet devrait être au coeur de tout. Au lieu de cela, personne n’en parle.

Etienne Chouard

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