A Maxime Vivas, oui à chacun son style et son chantier, mille excuses, je devais m’adresser à Viktor Dedaj, mais le post était parti et depuis je me mordais les doigts ; mais ce n’était qu’une préparation, puisque maintenant je me fais taper dessus avec rigueur.
A la vue de vos fausses fausses pudeurs, je me demande maintenant si le titre du dernier article que je vous ai proposé ne va pas vous les casser, celles dont je n’ose parler.