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Des phares dans la nuit du Coronavirus ?

Plus le temps passe, moins on comprend ce qui se passe. Chaque intervention des génies qui nous gouvernent épaissit le mystère. Les millions de Français enfermés chez eux depuis des semaines, n’arrivent pas à savoir à quelle sauce ils vont être mangés. Ils écoutent patiemment les interminables discours auto-satisfaits de Jupiter et ses satellites et, chaque fois, ils en savent un peu moins. Tout ce qu’ils voient, c’est que les certitudes de tous ces grands seigneurs s’effritent avec le temps.

Après nous avoir affirmé avec une assurance inouïe tout et son contraire pendant des semaines, désormais ils ne nous affirment plus rien du tout. Le déconfinement aura lieu le 11 mai, ou pas... Les écoles rouvriront, ou pas... Le port des masques sera obligatoire, ou pas... Les salariés seront protégés, ou pas... Les transports seront sûrs, ou pas... Il ne leur reste que quelques réflexes automatiques au service de leur seul et unique but visible : enrichir les riches et appauvrir les pauvres, même aux dépens des enfants, comme s’en alarme Franquette Popineau, secrétaire générale du SNUipp-FSU, premier syndicat du primaire : « On ne comprend plus rien : on a un discours de prudence sur tout, sauf sur l’école. Pourquoi faut-il se dépêcher de rouvrir les classes de maternelle et primaire, alors que ce sont des lieux de grande promiscuité ? ».

Et donc, l’école va rouvrir en format garderie pour que les salariés soient obligés de retourner travailler sous peine de voir leurs revenus diminuer avec la fin du chômage partiel et de l’arrêt de travail pour garde d’enfants ; la France continue d’être le seul pays au monde à interdire la chloroquine ; et les profits des multinationales seront sauvés à coup d’argent public et sans aucune contrepartie. Cet argent (le nôtre) ira, comme de bien entendu, grossir les fortunes faramineuses accumulées dans les paradis fiscaux. Le président des riches imite, comme toujours, son mentor, les Etats-Unis.

Le site trotskiste WSWS.org ne manque pas de s’en indigner : « Les milliardaires américains ont, depuis la mi-mars, augmenté leur richesse de $282 milliards. La fortune collective de ces 614 individus, qui s’élève à $3 200 milliards, a été soutenue et renforcée par la hausse continue de la valeur des actions à Wall Street, qui a encore fortement augmenté lundi », Et comment se fait-il que les actions aient grimpé de la sorte alors que l’économie étasunienne est frappée de plein fouet et que 10% de sa population active est au chômage (sans indemnités évidemment) ? « La solution de l’énigme tient en trois lettres : “ Fed.” La Fed – c’est-à-dire la Réserve fédérale américaine – a clairement indiqué qu’elle ferait tout ce qui est en son pouvoir pour soutenir Wall Street. En conséquence, les marchés continuent de grimper. »

Voilà, comme toujours, on satisfait les milliardaires, en renflouant le CAC 40 et en remettant les travailleurs au boulot, et on satisfait Big Pharma en interdisant le seul médicament sûr et bon marché utilisé par tous les autres pays et dont notre armée elle-même a commandé un stock de sécurité, et pour le reste, c’est fini, plus rien. A l’arrogante prétention à tout maîtriser, tout contrôler, tout faire et tout défaire au gré du bon vouloir du souverain, a succédé l’impérieuse nécessité de ne rien faire, je veux dire de « faire confiance » aux élus locaux. C’est qu’à force de vouloir décider de tout, envers et contre tout et n’importe comment, le souverain et sa suite se sont mis dans de mauvais draps. Les condamnations judiciaires commencent à pleuvoir sur le gouvernement comme les amendes sur le bon peuple (un juste retour des choses, me direz-vous !) et chacun de leurs mouvements ne fait qu’aggraver leur situation. Il leur faut de toute urgence passer la main et échapper du mieux possible aux responsabilités.

Et donc, ils basculent dans l’extrême inverse, selon leur habitude. Désormais, chacun peut faire ce qu’il veut. Les salariés s’arrangent avec leurs employeurs, les enseignants avec leurs proviseurs et leurs élèves, les enfants avec leurs parents. Pour le matériel sanitaire et tout le reste, c’est aux maires, aux chefs d’entreprise, aux associations, de fournir le nécessaire, eux qui précédemment n’avaient rien le droit de faire. Notez que le gouvernement ne va pas rester inactif, il va colorier la carte de France en rouge, jaune et vert, en fonction du nombre de cas de coronavirus. Une tâche si complexe qu’elle a nécessité une heure trente d’explications du premier ministre, le 27 avril, devant l’Assemblée clairsemée pour cause de coronavirus.

Une telle volonté de partager le pouvoir, de faire confiance à toutes les composantes de la nation, de s’en remettre au peuple (pas au point de rouvrir les parcs, les forêts, les bars et les restaurants, toutefois), aurait dû toucher les Français. Mais non, ce peuple réfractaire et irresponsable refuse de faire confiance aux « autorités » de toutes natures qui le baladent depuis si longtemps, comme nous le confirme The Conversation : « La confiance placée en France dans les sources d’information sur la situation sanitaire passe ainsi de 91 % lorsqu’il s’agit des médecins à 68 % lorsqu’il s’agit des experts scientifiques qui conseillent le gouvernement puis à 42 % lorsqu’il s’agit du seul gouvernement. Les comparaisons sont assez impitoyables sur ce dernier point car la confiance dans le gouvernement est de 67 % en Allemagne et de 71 % au Royaume-Uni. »

C’est que nous n’aimons pas les mensonges, les faux-fuyants, les retournements de veste opportunistes, le flou artistique. Nous n’aimons pas avancer à tâtons dans le brouillard. Cela ressuscite chez nous des angoisses millénaires que nous croyions éradiquées : le spectre des grandes épidémies, de la déchéance et de la mort, cette mort que nous avions remisée dans les Ehpad. Comme dit Alastair Crooke dans un article intitulé Danse macabre et peur de l’abîme : nous tombons tous : « Nous pensions avoir le contrôle. Aujourd’hui, les « médecins de la peste » nous dictent leur conduite, apparemment au hasard. La peur biologique de la mort, et la peur de glisser dans un abîme sans espoir, embrassent dans une danse macabre les désespérés qui vivent marginalisés, dans le trou noir de la société, dans les quartiers les plus anarchiques de nos grandes villes. »

A propos de ces médecins, National Geographic nous explique que « Pendant la pandémie de peste noire au XVIIe siècle les médecins de la peste portaient des masques à bec, des gants en cuir et de longs manteaux pour tenter de repousser la maladie ... Ils remplissaient leurs masques de thériaque, célèbre contrepoison hérité de la Rome antique composé de plus de 55 herbes médicinales, de poudre de peau de vipères, de cannelle, de myrrhe et de miel ».

Le costume des médecins a changé et on a remplacé les herbes par des produits chimiques qui enrichissent la plus puissante industrie du monde (avec l’industrie de guerre). Mais les autorités politiques et scientifiques françaises semblent pratiquement aussi démunies devant le coronavirus, que celles du XVIIe siècle devant la peste. Nous voyons bien que les élites paniquent et que les seuls à garder leur sang-froid et à faire face avec courage, ce sont les gens de terrain, les riens. Nous ne devons notre salut qu’à leur dévouement et à la faible létalité du virus, car il est aussi devenu clair, malgré les efforts désespérés des médias dominants pour nous le cacher, que le long et répressif confinement qu’on nous a fait subir n’était pas la bonne solution. L’exemple des pays qui n’en ont pas usé du tout, comme la Suède, ou beaucoup plus modérément comme l’Allemagne, le Portugal, le Maroc, le Vietnam, le démontre amplement. Nous avons découvert, avec stupéfaction et confusion, que des pays beaucoup plus pauvres que nous s’en sortaient bien mieux que nous. Il est vrai que ces pays ont appliqué tout de suite le triptyque gagnant : dépister, isoler, soigner, que nos technocrates viennent de découvrir et nous promettent pour le 11 mai. Il semblerait, en fait, que le remède, décidé et imposé par notre maître absolu, ait été pire que le mal.

On ne peut pas se fier aux chiffres de la mortalité égrenés chaque soir à la TV par le croque-mort qui nous sert de directeur de la santé. On ne sait s’ils sont augmentés pour justifier le confinement, ou diminués pour justifier le gouvernement, ou simplement impossibles à établir en l’absence de tests. Mais une chose est sure, l’économie est en perdition. On ne sait pas encore combien il y aura de faillites car tout est suspendu et il est impossible de faire de déclaration de cessation de paiement en ce moment, mais on sait d’ores et déjà que ça va être catastrophique pour les petits entrepreneurs que les gros pourront racheter pour une poignée de cacahuètes, et pour les salariés qui vont se retrouver au chômage dans une grande précarité, du fait que ce gouvernement vient de quasiment supprimer les indemnités. On sait que le confinement a augmenté les violences intrafamiliales ainsi que le mal être d’un peuple qui est déjà un des plus gros consommateurs d’anxiolitiques. Sans compter les menaces qui pèsent sur nos libertés.

Nous pensions que dans une pareille situation, l’État, malgré son biais avéré en faveur des riches, jouerait quand même son rôle de protecteur. Mais pas du tout, et même bien au contraire. Notre bien-aimé président s’est, certes, présenté comme le Père de la Nation, mais chacune de ses décisions nous a paru aller à l’encontre du bien-être de la population et même du bon sens. Lui et ses ministres ont parlé et parlé mais cela n’a fait que rendre la situation plus opaque. D’autant plus qu’enfermés chez nous, et privés de contacts, nous ne pouvions pas en discuter avec nos compagnons de lutte. Notez qu’il faut parfois accepter de ne plus rien comprendre à rien, d’avoir perdu tous ses repères et d’avoir l’esprit vide. Je crois que c’est ce que Pascal voulait dire en écrivant : « Tout le malheur des hommes vient d’une seule chose, qui est de ne savoir pas demeurer en repos, dans une chambre. » C’est souvent dans ces moments où on a l’impression de ne plus être capable de penser que jaillit la lumière.

C’est peut-être d’ailleurs ce qui est arrivé à Olivier Passet. Il nous livre, en effet, une analyse particulièrement brillante, qui explique notre désarroi et remet les pendules à l’heure. Voilà : nous devrions vivre dans un État producteur de biens sociaux, mais notre « État est devenu une immense tirelire assurantielle adossée à une sphère privée déresponsabilisée. C’est cela le soi-disant moins d’États. Une sphère privée sous tutelle financière qui n’en finit pas de faire des sorties de route et d’accumuler une énorme dette environnementale. Des États désarmés pour gérer le bien commun, qui récupèrent en revanche tous les risques en dernier ressort dont se sont déchargés ceux qui sont rémunérés pour les porter (les détenteurs de capitaux) ... Nous vivons l’apothéose de l’État assurantiel et démissionnaire du champ de la production de biens communs. Une sorte de flexisécurité généralisée, poussée à son point culminant. La suite de l’histoire est pourtant écrite d’avance. Les États vont sortir discrédités de la gestion de cette crise, devant rendre des comptes sur les stocks de masques ou de respirateurs qui se sont évaporés, étant devenus aussi surendettés pour pouvoir reprendre la main sur la question sociale ou écologique. Et d’ailleurs, si l’État producteur de bien commun était de retour, nous le serions déjà. Ce n’est pas seulement les milliards qu’il aurait mobilisés ou les masques importés de Chine, mais les hommes. Sa réponse ne serait pas seulement financière, mais réelle. Nos entreprises seraient réquisitionnées pour produire l’indispensable. La Poste serait en première ligne pour livrer les marchandises de magasins qui continueraient leur activité, etc. Sa réponse serait déjà aussi productive que financière. »

Inutile d’insister davantage, tout est dit. L’État, que nous avons, agit comme un pouvoir colonial et c’est tout. Bien sûr nous ne le découvrons pas, mais nous pensions qu’en période de crise, au moins...

Maintenant penchons-nous sur le virus lui-même. Car je le répète, nous avons besoin de comprendre, ou au moins de pouvoir nous raccrocher à quelques indices, quelques données précises, pour ne pas devenir fou. Là aussi les questions se multiplient et nous sommes perdus entre le manque d’explications officielles (une des particularités de ce pouvoir est qu’il nous dit soit des mensonges, soit rien du tout) et la quantité d’informations ou plutôt de spéculations toutes plus extraordinaires les unes que les autres qu’on trouve sur Internet. Mais comme nous n’avons qu’Internet pour nous informer, il faut bien s’atteler à la tâcher et essayer de s’y retrouver, au risque d’être traité de complotiste par les chiens de garde médiatiques qui, eux n’hésitent pas en en faire du complotisme. Rappelez-vous l’affaire Skripal dont certains affirment qu’elle a été montée de toutes pièces, pour pouvoir imposer des sanctions à la Russie.

Voilà les trois infos les plus fascinantes, que j’ai trouvées. Il me semble, qu’en plus, elles peuvent dissiper un peu le brouillard qui s’est abattu sur nous, par les pistes de réflexion qu’elles suggèrent. Dans les trois cas, les faits sont incontestables et ne sont pas contestés. Quant à l’interprétation, je vous la laisse.

 La fondation Rockefeller avait décrit le scénario exact de cette pandémie dans un rapport de mai 2010 intitulé « Scenarios pour le futur de la technologie et du développement international ». Le journaliste d’investigation, Harry Vox, cite le paragraphe « Etapes de confinement » (page 18) de ce rapport, dans une vidéo de 2014 qui vient de ressortir sur Internet. Selon Harry Fox, son objet était de lancer un avertissement aux Etats-Unis : pour ne pas sombrer dans le chaos à la faveur d’une pandémie qui dévasterait leur économie, les Etats-Unis devaient prendre exemple sur « le capitalisme autoritaire » de la Chine. La pandémie imaginée par la fondation permettait par ailleurs aux États d’instaurer des mesures extrêmes « allant du port obligatoire de masques faciaux, aux contrôles de température corporelle aux entrées d’espace publics comme les gares et supermarchés » et, bien sûr, de maintenir et d’amplifier « après la pandémie, ce contrôle et cette surveillance plus autoritaires ». Il s’agit, selon le journaliste, de « construire un système où chaque fois qu’on bouge on doit passer par eux » et le journaliste de prédire «  : Ils veulent avoir plus de contrôle et nous allons avoir des couvre-feux et des quarantaines ».

 Dans un article de Vigilant Citizen traduit par le Saker francophone, on découvre que cette même fondation Rockefeller soutient avec les Nations-Unies et la fondation de Bill Gates, « le concept de "certificat numérique " pour stocker des informations médicales (y compris les vaccins reçus) et pour donner accès à des droits ou des services, qui s’inscrit dans le cadre d’un projet de grande envergure propulsé par un groupe puissant appelé ID2020 ». D’après le site, ID2020 est déjà en train de tester l’introduction d’identifiants numériques sur des nourrissons au Bangladesh. Bill Gates lui-même a parlé de ce certificat numérique à un utilisateur de Reddit. Cela n’a pas manqué de susciter nombre de commentaires inquiets. Le plus remarqué a été celui de Latexsanta, qui cite deux versets de l’Apocalypse (13 : 17-18) : « Et que personne ne pût acheter ni vendre, sans avoir la marque, le nom de la bête ou le nombre de son nom. C’est ici la sagesse. Que celui qui a de l’intelligence calcule le nombre de la bête. Car c’est un nombre d’homme, et son nombre est six cent soixante-six ». L’article se conclut ainsi : « Cette réponse courte (et inattendue) [de Bill Gates] a ouvert une gigantesque boîte de Pandore à propos de ce qui pourrait nous attendre dans un avenir proche : l’inévitable campagne de vaccination de masse en vue d’éradiquer le COVID-19 serait l’occasion parfaite d’introduire une carte d’identité numérique mondiale ... l’introduction d’un tel système rencontrera très probablement une forte résistance, qui ne se limitera pas aux croyants.

A propos, avez-vous remarqué que Dieu et les prophètes, ou du moins leur parole, font un retour remarquable dans les articles et commentaires en ces temps d’épidémie ?

 Le 9 avril, ABC News révèle que fin novembre, une unité spéciale de renseignement médical de l’agence de renseignement de défense étasunienne avait distribué un rapport indiquant qu’une épidémie de maladie incontrôlée se produisait dans la région de Wuhan en Chine, au haut commandement étasunien, pour qu’il prenne des mesures pour protéger les forces américaines basées en Asie. Un porte-parole du Pentagone avait alors nié l’existence de ce rapport. Mais quelques jours plus tard, la télévision israélienne a révélé qu’en novembre, les services de renseignement américains avaient en effet remis un tel rapport sur l’épidémie de Wuhan à leurs alliés de l’OTAN et d’Israël. L’ex-diplomate indien, M.K. Bhadrakumar conclut l’article qu’il consacre à l’origine du virus par ces mots d’avertissement : « Trump aura un sérieux problème s’il s’avère que la grand-mère, le grand-père et l’arrière-grand-père du Covid-19 sont en fait domiciliés aux États-Unis ».

On comprend mieux pourquoi les Etats Unis se sont dépêché d’accuser la Chine d’avoir « par erreur » diffusé un virus concocté dans le laboratoire (sino -français !!!) de Wuhan. Les pays occidentaux sont coutumiers de ces inversions accusatoires.

Finalement, lorsqu’on dissipe un peu le brouillard qui entoure le coronavirus, on s’aperçoit que, malgré les apparences, l’oligarchie mondialiste, dont nos dirigeants ne sont que les porte-valises, n’est pas le moins du monde ébranlée. En fait, elle était bel et bien prête, non pas à sauver les peuples, mais à utiliser le virus, comme tout ce qui se produit sur terre, accidentellement ou pas, pour nous exploiter mieux et davantage. Pareille à elle-même, elle poursuit, « quoiqu’il en coûte », son rêve de prendre le contrôle absolu d’un peuple d’esclaves.

En face, ce peuple se défend comme il peut, à commencer par les travailleurs. La page FB, C’est la grève, liste les grèves en cours ou à venir. Il y en a beaucoup. Beaucoup de monde est en colère. Tous partagent le même objectif : en finir avec un système qui détruit l’environnement et l’humain. Mais cela n’est pas un projet de société. On dit que la bourgeoisie a mis quatre siècles à imposer la propriété privée des moyens de production, et qu’elle était instaurée dans les faits, bien avant de l’être dans la loi. La bourgeoisie savait exactement ce qu’elle voulait, c’est pourquoi elle l’a obtenu. A mon sens, il nous faudra avoir une idée plus précise et mieux partagée de la société dans laquelle nous voulons vivre, si nous voulons en changer.

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