Une fois n’est pas coutume, (ici…) je proteste ! Ah non ! Si vous nous cassez nos rêves de gosses, ça ne va plus ! Hé, hé !
Bon, c’est vrai que ça ne servait à rien, que ça coutait une fortune, mais ça nous a fait rêver nous les gamins d’alors dans cette guerre froide où il n’y avait pas grand chose qui fasse rêver, si ce n’est pour vous donner des cauchemars...
Il y a déjà quelque temps Neil Amstrong disait que quand il pianotait sur son notebook, il lui arrivait d’avoir parfois des sueurs froides en pensant au mainframe gros comme un gymnase et puissant comme une vulgaire calculette d’aujourd’hui chargé de les emmener là -bas à 300 000 Kms de notre petite planète, de les faire se poser, décoller et revenir jusqu’ici.
Ces gus là avaient un cran insensé de partir perchés en haut d’une bombe monumentale se mangeant des Gs, des vibrations et un bruit inhumain, circulant dans l’espace dans une espèce de grosse cannette de bière en alu bombardée de rayons Gammas pendant des semaines pour aller faire un picnic à une distance insensée, faire leur job et revenir pour finir à tomber comme une pierre dans le pacifique.
Qui serait donc partant pour faire ça aujourd’hui, a fortiori dans les conditions techniques de l’époque ?
Bon de toute façon le problème ne se pose plus, on n’a plus ni le fric ni la maîtrise technique pour refaire la même chose...
« Si le Président se présente devant le Peuple drapé dans la bannière étoilée, il gagnera... surtout si l’opposition donne l’impression de brandir le drapeau blanc de la défaite. Le peuple américain ne savait même pas où se trouvait l’île de la Grenade - ce n’avait aucune importance. La raison que nous avons avancée pour l’invasion - protéger les citoyens américains se trouvant sur l’île - était complètement bidon. Mais la réaction du peuple Américain a été comme prévue. Ils n’avaient pas la moindre idée de ce qui se passait, mais ils ont suivi aveuglement le Président et le Drapeau. Ils le font toujours ! ».
Irving Kristol, conseiller présidentiel, en 1986 devant l’American Enterprise Institute
Le 25 octobre 1983, alors que les États-Unis sont encore sous le choc de l’attentat de Beyrouth, Ronald Reagan ordonne l’invasion de la Grenade dans les Caraïbes où le gouvernement de Maurice Bishop a noué des liens avec Cuba. Les États-Unis, qui sont parvenus à faire croire à la communauté internationale que l’île est devenue une base soviétique abritant plus de 200 avions de combat, débarquent sans rencontrer de résistance militaire et installent un protectorat. La manoeuvre permet de redorer le blason de la Maison-Blanche.
(mise à jour le 19/02/2017) Le Grand Soir, toujours à l’écoute de ses lecteurs (réguliers, occasionnels ou accidentels) vous offre le DECODEX ALTERNATIF, un vrai DECODEX rédigé par de vrais gens dotés d’une véritable expérience. Ces analyses ne sont basées ni sur une vague impression après un survol rapide, ni sur un coup de fil à « Conspiracywatch », mais sur l’expérience de militants/bénévoles chevronnés de « l’information alternative ».
Contrairement à d’autres DECODEX de bas de gamme qui circulent sur le (...)
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Le 26 janvier 2011, la presse Cubaine a annoncé l’homologation du premier vaccin thérapeutique au monde contre les stades avancés du cancer du poumon. Vous n’en avez pas entendu parler. Soit la presse cubaine ment, soit notre presse, jouissant de sa liberté d’expression légendaire, a décidé de ne pas vous en parler. (1)
Le même jour, à l’initiative de la délégation suédoise à l’UNESCO, s’est tenu au siège de l’organisation à Paris un colloque international intitulé « Symposium international sur la liberté (...)
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Sur le site du magazine états-unien The Nation on trouve l’information suivante :
Le 27 juillet 2004, lors de la convention du Parti Démocrate qui se tenait à Boston, les trois principales chaînes de télévision hertziennes des Etats-Unis - ABC, NBC et CBS - n’ont diffusé AUCUNE information sur le déroulement de la convention ce jour-là . Pas une image, pas un seul commentaire sur un événement politique majeur à quelques mois des élections présidentielles aux Etats-Unis. Pour la première fois de (...)
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