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Quand Nicolas Crésus casse sa tirelire perso, il faut l’annoncer !

25 milliards d’euros pour les banques.

Telle est l’annonce télévisuelle du 05/02/09, suivie par 15 millions de Français qui n’y ont rien appris de plus qu’ils ne savaient déjà et qui ce faisant ont conforté Crésus dans sa popularité.

J’ai personnellement boycotté, préférant jouer à la crapette, et vous ?

Les Français divisés sur l’intervention de Nicolas Sarkozy (20 minutes - créé le 07.02.09 à 10h16)

SONDAGE - Selon les études le taux de satisfaction passe de 36% à 53%. Qui croire ?

Ainsi selon le très sérieux CSA, 52% des Français n’ont pas trouvé convaincant le chef de l’Etat contre 36%. La politique de Nicolas Sarkozy est jugée « pas cohérente » pour 51% des personnes interrogées, « pas juste » pour 56% et « pas efficace » pour 59%. L’enquête a été réalisée par téléphone le 6 février auprès de 960 personnes âgées de 18 ans et plus, et publiée samedi matin dans « Le Parisien ».

En revanche, pour l’institut OpinionWay, cher au « Figaro » qui publie le sondage, 53% des français sont satisfaits de l’intervention de Nicolas Sarkozy, et seuls 46% d’entre eux ne l’ont pas trouvé « convaincants ». L’enquête a été réalisée en ligne les 5 et 6 février auprès d’un échantillon de 968 personnes âgées de 18 ans et plus.

Fallait-il réellement faire partie du fan-club télévisuel du guignol, pour arriver à ce résultat et surtout pour constater que rien, ne changerait.

Il fait ce qu’il veut, quand il veut et tant pis pour nous si ce n’est pas ce que nous voulons et souhaitons.

L’état va aider les banques à hauteur d’un « prêt » de 25 milliards d’euros qui lui rapporteront 1,4 milliards d’intérêts (soit un taux de 5,6%).

L’Etat devient banquier des banques.

D’où vient cet argent ? (Ce serait un emprunt fait sur les places mondiales d’emprunt, au taux de 2,8% - « l’Humanité » du 07/02/09. Mais qui va réussir à consentir des emprunts à un pays qui voit une perte de 50% de sa valeur, sans compter l’accroissement de la dette publique, et à quelles garanties seront ainsi faits ces emprunts ?)

A quoi vont être utilisés ces 25 milliards ?

A quoi ont servi les 300 milliards alloués en Novembre 2008, aux mêmes banques pour aider les entreprises et qu’en a-t-il été fait réellement ?

Le nouveau plan d’aide confirme que le premier n’a nullement atteint ses objectifs. Et pour cause.

Et avec près de 15 fois moins, on prétend régler la récession qui est là , que dire la récession alors que nous ne sommes qu’au constat officiel de l’existence d’une possible crise financière (qui si dieu lui prête vie deviendra crise économique et peut-être si nous sommes méritants, récession - dixit notre argentière suprême)

Pour mémoire

Le CAC40 n’est pas la globalité de la Bourse, mais est le fleuron représentatif des 39 plus grosses sociétés réparties en 19 catégories d’activités.

L’état y est actionnaire de 5 sociétés (Air France à 15,70% - EDF à 87,30% - France Télécom à 26,30% - GDF Suez à 35,70% et Renault à 15,01%).

Les sociétés du CAC40 (comme les autres) ne créent pas la cotation de leurs titres. Ce sont les diverses communications qu’elles font de leur activité (bénéfice ou perte, avancées technologiques, OPA sur d’autres,….) qui séduisent ou non les actionnaires (qui sont, en final, les seuls acteurs des cotations par leurs achats ou ventes de titres)

Quand on parle de perte de Capitalisation boursière, cela ne veut pas dire que l’entité économique (et /ou les actionnaires) a perdu réellement cet argent (il ne le perd que s’il vend ses titres et actions). Mais la société se trouve gênée dans la structure de son bilan au niveau des capitaux propres (qui englobent effectivement la valeur totale représentée par ses titres et son résultat d’exercice, en perte ou bénéfice), ce qui pour les années suivantes va la pénaliser pour ses investissements (locaux, machines, en personnels, ….) et aura donc une sérieuse incidence sur le personnel…..

L’analyse des 5 activités répertoriées dans la catégorie « Finance » (AXA - BNP - Crédit Agricole - Dexia - Société Génèrale) du CAC40 est assez significative.

En effet l’étude successive de la capitalisation nous fait découvrir des choses surprenantes.

(dans l’ordre, pour chaque période, après le nom est indiqué : le montant en milliards d’euros de l’évolution de la capitalisation, son pourcentage)
Entre le 02/01/08 et le 21/11/08

· CAC40, -664, -49,84% ;
· Activité « finance », -155, -63,24% ;
· dont BNP, -34, - 51,04% ;
· Activité « Véhicules », -39, -76,96% ;
· dont Renault, -23, -84,65% ;
· Etat, -88, -35,98% ;

J’ai pris la BNP dans la catégorie « Finance » parce qu’elle « avoue » une perte de 350 millions MADOFF (la valeur la plus en difficulté est Dexia qui perd en tout et en final 85,66% de sa capitalisation)

Souvenez vous, mi Novembre de l’annonce de l’aide de l’état de 300 milliards d’euros, auprès des banques, pour soutenir l’activité économique (alors qu’il semblerait que cette somme, colossale pour des caisses réputées vides, n’ai servi qu’à aider les banques à éponger leurs pertes de capitalisation (et nous verrons plus tard, leurs pertes MADOFF, qui en cumulé s’élèveraient à 364 millions, pour ces 5 sociétés de la branche « Finance », mais la réalité risque d’être beaucoup plus importante).

D’où sortaient ces 300 milliards ?

Quelle conditions ont accompagné leur octroi et selon quelle répartition ?
Quelle était leur destination première et réelle ?
Quelle a été leur utilisation réelle ?
Quels contrôles d’utilisation ont été mis en place ?

Ces 300 milliards ont été suivis, par l’annonce en décembre d’un plan de relance de 25 milliards d’Euros, pour soutenir les activités économiques (plurielles cette fois-ci). Ce plan vient d’être approuvé, début Février 2009 par le parlement (le Parlement a-t-il eu son mot à dire pour les 300 milliards précédents ?)

Entre le 02/01/08 et le 31/12/08

(dans l’ordre, pour chaque période, après le nom est indiqué : le montant en milliards d’euros de l’évolution de la capitalisation, son pourcentage)
· CAC40, -592, -44,43% ;
· Activité « finance », -148, -58,94% ;
· dont BNP, -39, - 58,84% ;
· Activité « Véhicules », -37, -73,28% ;
· dont Renault, -22, -80,99% ;
· Etat, -83, -33,93% ;

Alors que le CAC40 (diminution de sa perte de capitalisation de 10%), l’Etat (diminution de sa perte de capitalisation de 6%), et activité « Véhicules » (diminution de sa perte de capitalisation de 5%) semblent vouloir se doper à la hausse, force est de constater que la catégorie « Finance » (aggravation de ses pertes de capitalisation de 37%), dont la BNP aggrave sa situation de 32%, continue sa descente aux Enfers des paradis fiscaux.

Il est vrai qu’entre temps, la révélation de l’escroquerie MADOFF et la « participation » de l’engagement, par les banques, de l’argent qui apparemment semble être celui de leurs clients (gros et/ou petits) qui se trouve dans son giron (comptes épargne, livrets, comptes courants……) ont fait leur timide apparition.

La philosophie de la Banque n’est - elle pas « faisons de l’argent avec chaque centime qui se trouve sur nos comptes, enfin les comptes de nos clients que nous gérons »

Il est à craindre que les 634 millions reconnus aujourd’hui - dont 350 pour la BNP- soient très rapidement revus à la hausse.
Mais connaîtrons nous un jour l’ampleur réelle du désastre ?

Où se ressent l’effet des 300 milliards injectés précédemment ?
Comment peut-on accepter que des états majors de banques puissent rester en place après pareil écueil et constat que des financiers « de haut vol », en terme de compétences, aient pu jouer l’argent ne leur appartenant pas dans des placements à très hauts rendements et donc très hauts risques.

Au passage les précédents bénéfices engrangés leur restent acquis, définitivement et les pertes seront épongées par les con-tribuables

Les banques semblent s’être servies pour « compenser » en priorité leurs pertes de capitalisation…… et celles liées à MADOFF

Et malgré tout les bénéfices sont au rendez vous

· CAC40, 94 ;
· Activité « finance », 12 ;
· dont BNP, 4 ;
· Activité « Véhicules », 4 ;
· dont Renault, 2 ;
· Etat, 6.

Vont-ils servir à renflouer la perte de capitalisation, permettre d’octroyer de super bonus aux dirigeants, des dividendes aux actionnaires, améliorer le sort des salariés, éviter les licenciements, ….. ?

Il faut savoir que 5 patrons du CAC40 se partagent 13 millions d’euros de revenus annuels, les revenus les plus élevés étant de 4,20 et 4,06 millions d’Euros (combien de SMIG annuels ?)
Il est vrai qu’il est difficilement acceptable pour le Medef et pour ces patrons d’entendre parler de plafonnement de revenus à 400 000 euros annuels, comme l’a osé Barack Obama aux USA.

Il est démontré que le président « …. s’inquiète plus de la rémunération des traders (qui sont pourtant en plein dans la « culture du résultat ») que de celle des patrons de banque … » - Le patron du Crédit Agricole perçoit 1,9 millions d’euros - (ou d’autres activités du CAC40). Le Monde du 07/02/09
Mais peut-être que là -bas, il y a une réelle volonté d’enrayer la récession, que l’on ne retrouve pas en France

Quand la parisot dit « touchez pas au grisbi » selon « Marianne » du 07 au 13/02/09

Tout cela fait que, très rapidement, sur le marché vont se retrouver entre 2,5 et 3 millions de chômeurs en plus des 2 millions « officiellement » reconnus (et chacun sait que ce chiffre de 2 millions n’est pas le reflet de la réalité du monde des « sans-emplois »), car malgré les bénéfices annoncés, des entreprises comme Arcelormittal prévoit de licencier malgré environ 9 000 salariès tout en annonçant 8 milliards de bénéfice.

Entre le 02/01/08 et le 02/02/09

(dans l’ordre, pour chaque période, après le nom est indiqué : le montant en milliards d’euros de l’évolution de la capitalisation, son pourcentage)
· CAC40, -660, -49,59% ;
· Activité « finance », -160, -63,92% ;
· dont BNP, -42, - 62,72% ;
· Activité « Véhicules », -39, -77,38% ;
· dont Renault, -23, -84,81% ;
· Etat, -96, -39,32%.

Le CAC40, l’activité « Finance » , l’activité « Véhicules » et la participation de l’Etat après avoir eu des velléités de reprise, ont a nouveau sombré….

Renault après l’effet d’annonce de la « prime à la casse » de 1000 €, entre Novembre et Décembre 2008, a repris du poil de la bête, replonge à nouveau avec un taux de perte de 85% de son titre…. Du jamais vu.

Le titre était à 92,40 € (le 02/01/07) et il est maintenant à 14,54 € au 02/02/09 !

Dans la même période les principaux indices boursiers mondiaux accusaient une baisse de valeur de :

D.J (USA) -36,57% ; Nikkei (Japon) -46,95% ; Dax (Allemagne) -46,30% - FTSE (Angleterre) -35,39% et notre CAC40 (France) -49,59% (bon dernier de la classe….. désolant pour celui qui veut être le premier partout) « petit »)

Il semble difficile de redresser la barre et à moins de nationaliser les industries automobiles, les banques et surtout de changer complètement les staffs des directions d’entreprises qui ont démontré leurs incompétences, en leur reprenant au passage les accumulations de biens qu’ils ont pu organiser pour eux, ces deux branches d’activité (comme d’ailleurs secteurs d’activité, en grande difficultés et entre autres, celles qui ont perdu plus de 50% de leur capitalisation : Transports, équipements, métallurgie, techniques de l’information, distribution, minéraux dont Lafarge), on va plonger dans un marasme d’une telle ampleur que la crise de 1929 sera une rigolade comparée à celle de 2009.

Sarko à défaut de se casser pour incompétences, casse sa tirelire perso (semble-t-il) !

Il a été dit devant 14,5 millions d’inconditionnels du grand dictateur, dans les réponses à la crise : « …25 milliards aux banques, sans que cela coûte un centime aux Français !.... »
(« Les réponses à la crise » : le Progrès P2 -06/02/09)
Alors là je dis « chapeau ».

Pour que cela soit vrai, compte tenu que depuis 18 mois on nous rabâche que les caisses de l’Etat (c’est à dire notre portefeuille Français) sont vides, (ce qui n’a pas empêché de sortit 300 milliards d’Euros et donc les a rendues encore « plus vides que vides »), il n’y a qu’une seule solution.

Que notre cher président, casse sa tirelire personnelle pour aider les banques à aider les entreprises et les particuliers.
Ce qui revient à dire qu’il a en 18 mois amassé, grâce aux augmentations de revenus et avantages liés à la fonction, 25 milliards d’Euros…. Bigre 1,389 milliards « économisés » par mois !

Un peu inquiétant

Certes les revenus du couple présidentiel s’enrichissent de la vente des disques de Carla, mais quand même, il semble y avoir une démesure dans l’économie mensuelle réalisée.

Le choix est simple,

- où cela va coûter aux Français (en plus de la compensation de la perte pour les collectivités locales de la taxe professionnelle qui incombait aux entreprises et qui sera inévitablement financée par les citoyens sous forme d’un impôt nouveau à définir - encore un transfert de financement du patronat aux citoyens) et alors on est devant un mensonge supplémentaire, public.

- ou c’est la cassette personnelle présidentielle qui va s’en charger (et là des questions surviennent sur la constitution de cette cassette.

N’aurait-il pas été plus simple d’allouer ces 25 milliards directement à ceux concernés, sans passer par la casse banque qui elle va « prêter » de l’argent prêté à un taux supérieur à 5,60% et va donc se sucrer au passage et c’est quoiqu’on en dise le « con-tribuable » qui de toute façon paiera l’addition en payant l’intérêt de 5,60% plus la petite commission du banquier qui va ainsi encore s’enrichir.

Je trouve qu’il faut être cynique pour oser dire que le con-tribuable ne sera pas taxé par cette aide « miraculeuse » sortie on ne sait d’où (et là est la question épineuse) et surtout prendre les téléspectateurs qui ont sacrifié leur soirée pour entendre cela, pour des CONS et des moins que rien.

Ceux qui ont boycotté ont au moins cette satisfaction de pouvoir se dire, « je ne fais pas partie de ces con-sentants inconditionnels….. », maigre consolation, car ils feront partie, malgré tout, de la cohorte des cons qui seront astreints au remboursement national.

Quel est le nom de ce nouvel impôt déguisé qui taxera d’au moins 5,6% ceux qui en auront besoin et qui de plus devront présenter des « garanties »

Comment peut-on être à la fois « ouvert sur le social, mais ferme sur les réformes et les salaires » ?

Quand on sait que les salaires (pouvoir d’achat) et la modification des réformes sont les bases du social.
De qui se moque t-on ?

Qui est le con de qui ? (car c’est bien connu, on est toujours le con de quelqu’un)

A l’avenir utilisez à fond l’arme du boycott télévisuel, tant que vous le pouvez et que l’Adolf de service ne nous contraint pas encore à des défilés monstres, au pas cadencé, à la lumière des flambeaux pour des retraites sympathiques à la gloire de celui qui fait « fureur » dans les salles de rédaction télévisuelles et sur les plateaux, face à des journalistes hargneux et mordants qui ne cherchent qu’à lui faire mordre la poussière.

Si uniquement les encartés UMP sont, par ordre scotchés devant leur écran, le doigt sur la couture du pantalon, reconnaissez que ce sera un flop.

Quelques pistes à approfondir

Voir aussi « les gains gonflés de la relance » - « Libération » des 7 et 08/02/09.

Quand les salariés, réclament une promesse, dans la rue le 29/01/09, « le pouvoir d’achat », l’Elysée leur répond « la priorité est de faire de la pédagogie » - « les échos » des 06 et 07/02/09. Qui peut nous expliquer comment accommoder la pédagogie pour le rendre consommable ?

A méditer….

Quelques sorties de personnalités autorisées en matière financière et prévisionnelle :

15 Mai 2008 : D. Strauss Kahn, patron du FMI, assure « le pire est derrière nous », après la faillite de deux fonds d’investissements de la banque Bear Stearns (18/08/07)
« Je pensais qu’après l’été 2008, la crise américaine serait digérée. Et puis la faillite de la banque Lehman a tout changé….. » Christian Noyer, gouverneur de la banque de France
Et c’est eux qui faisaient la pluie et le beau temps boursier et financier …… et ils continuent et continuerons.

Et pendant ce temps, on constate :

· le plan délation de Besson, vis à vis de l’immigration clandestine…. (nous voici revenus aux heures sombres de l’époque de Vichy, où l’on dénonçait les juifs…. pour divers avantages durables, eux). Et pourtant Besson est « Pupille de la Nation », son père est « Mort pour la France », qui l’eut cru ! Mais de quelle France s’agissait-il ? Certainement pas celle actuelle.

· Le rebond des ventes d’armes (tiens ça existe encore ces trucs ! A quoi ça peut servir)

· Prime au mérite du médecin (encore une « culture du résultat »)

. Après les préfets, les chefs de flics, les représentants de commerce et bientôt les parlementaires, c’est au tour des médecins.

· Déficit commercial record en 2008, 56 milliards d’euros (heureusement que les 6, 4 milliards de vente d’armes l’enrayent)

· Paris finalise sa pleine réintégration dans l’OTAN (Il se revendiquait pourtant de de Gaulle)

· Le directeur de cabinet de « MAMy blues » au ministère des bleus, sur le départ… pour « faute ».

· Installation d’un bataillon allemand en Alsace (l’erreur qu’il ne fallait pas faire, ou à tout le moins tant qu’un acteur direct, ancien combattant, ou indirect, « Pupille de la Nation » étaient encore en vie. Le pardon ne veut pas dire acceptation d’une réoccupation fut-elle « pacifique »). A quand un bataillon italien, serbe, hongrois ? Sont-ce les forces de l "Axe que l’on invite si gentiment à réoccuper….. ?

· L’Algérie ne croit plus aux promesses (« le monde diplomatique » de février 2009). Heureusement que les Français y croient encore, depuis 2007 et un certain show télévisuel du 05/02/09

· « Etat des lieux des libertés publiques », sur 4 pages (voir les 18 lois sur la « sécurité » depuis 2001). « Le monde » 05/02/09. « Quand la sécurité est la première des libertés ! », j’en ai froid dans le dos et vous ? La liste des libertés est plus restreinte que celle des « restrictions des libertés » !

Kelly-Eric Guillon
« sous-Pupille de la Nation de 4éme Catégorie de 39/45 »
Fils posthume d’un « Mort pour la France », mais certainement celle d’avant Sarkozy.

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