RSS SyndicationTwitterFacebook
Rechercher

Video : La faisabilité politique de l’ajustement

Lorsque Xavier DARCOS, ministre de l’éducation nationale, annonce la mise en place des heures de soutien, suite à la suppression du samedi matin, c’est pour « ceux qui en ont le plus besoin, ces 15 % d’élèves qui sont en grande difficulté… ». On connaît la suite : la suppression programmée de 3000 postes de RASED (Réseaux d’Aides Spécialisées aux Enfants en Difficulté)…

Sans parler des autres réformes en cours ou à venir... Mais tout ne se joue pas ici… Selon Eddy KHALDI, auteur avec Muriel FITOUSSI, d’un ouvrage « Main basse sur l’école publique », la lente casse de l’école est programmée depuis un certain temps…

Ils se sont penchés sur la généalogie des idées qui marquent ce gouvernement, en matière d’éducation nationale. Celles-ci vont puiser dans un vivier idéologiquement marqué, qui emprunte aussi bien au Club de l’Horloge (extrême-droite) qu’à l’Opus Dei.

Pour en arriver à la conclusion suivante : une marchandisation rampante devenue aujourd’hui franchement galopante…

OUI, Darcos veut et peut démanteler l’école publique…

Un film de 22 minutes qui fait le point sur les récentes mobilisations d’octobre, à la lumière des révélations d’Eddy KHALDI...

Un film fait par des parents d’élèves pour les parents d’élèves et les enseignants…

http://www.dailymotion.com/video/x7b1sa_la-faisabilite-politique-de-lajuste_news

URL de cet article 7387
   
Même Thème
En conscience je refuse d’obéir. Résistance pédagogique pour l’avenir de l’école, Alain Refalo
Alain REFALO
Le manifeste des enseignants désobéisseurs : un ouvrage qui dénonce la déconstruction de l’école de la République. « Car d’autres enseignants (…) ont décidé de relever ce défi de la lutte contre la déconstruction de l’école publique. Ils sont entrés en résistance, sans se payer de mots inutiles. Une résistance radicale, mais responsable. Une résistance transparente et assumée. Pour que le dernier mot de l’histoire n’ait pas la couleur de la désespérance. » Des îlots de résistance - (…)
Agrandir | voir bibliographie

 

Le déficit de l’Etat était l’objet même de spéculations. A la fin de chaque année, nouveau déficit. Au bout de quatre ou cinq ans, nouvel emprunt. Or chaque emprunt fournissait à l’aristocratie une nouvelle occasion de rançonner l’Etat, qui, maintenu artificiellement au bord de la banqueroute, était obligé de traiter avec les banquiers dans des conditions toujours plus défavorables.

Karl Marx
La lutte des classes en France. 1850

© Copy Left Le Grand Soir - Diffusion autorisée et même encouragée. Merci de mentionner les sources.
L'opinion des auteurs que nous publions ne reflète pas nécessairement celle du Grand Soir

Contacts | Qui sommes-nous ? | Administrateurs : Viktor Dedaj | Maxime Vivas | Bernard Gensane
Le saviez-vous ? Le Grand Soir a vu le jour en 2002.