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Sarkozy : mainmise sur la presse tricolore, Ian Hamel.








Le Matin, Paris, 27 janvier 2007.


Liaison dangereuse


Depuis 2002, Nicolas Sarkozy a placé des hommes à lui dans presque toutes les rédactions parisiennes, dans la presse écrite comme dans la presse audiovisuelle


(...) Ministre de l’Intérieur, à la tête de deux services secrets, la DST et les Renseignements généraux (RG), Nicolas Sarkozy est un homme tout-puissant. Alors que ses « amis » journalistes sont abreuvés de scoops sur la délinquance ou sur le terrorisme, les autres rédacteurs se retrouvent au pain sec : les policiers ne leur parlent plus.

Pire, ils découvrent que les Renseignements généraux ne font pas seulement des enquêtes sur les collaborateurs de Ségolène Royal, la candidate socialiste, comme Bruno Rebelle, ancien directeur de Greenpeace. Mais qu’à l’occasion, ils s’intéressent aussi à la vie privée des rédacteurs un peu trop à gauche. « Un proche de Sarkozy vous appelle au téléphone et lâche le nom de votre maîtresse, menaçant de le faire savoir à votre épouse si vous ne devenez pas davantage conciliant avec le candidat de l’UMP », s’étrangle un journaliste du Figaro. (...)

- Lire l’ article : www.lematin.ch




Nicolas Sarkozy ou la collusion avec les grands patrons (de presse), par NonASarko.


Qui veut travailler plus ? Sarkozy-pipeau, Hervé Nathan.


Sarkozy - Liban : "De combien de temps l’Etat d’Israël a-t-il besoin pour terminer le travail ?"


Sans casque, ni bouclier : témoignage d’un ex-officier de police, par Regarde à vue.






 Dessin : Cardon, Le Canard enchainé 31 janvier 2007, vu ici : http://sarkozynews.canalblog.com


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Rien ne fait plus de mal aux travailleurs que la collaboration de classes. Elle les désarme dans la défense de leurs intérêts et provoque la division. La lutte de classes, au contraire, est la base de l’unité, son motif le plus puissant. C’est pour la mener avec succès en rassemblant l’ensemble des travailleurs que fut fondée la CGT. Or la lutte de classes n’est pas une invention, c’est un fait. Il ne suffit pas de la nier pour qu’elle cesse :
renoncer à la mener équivaut pour la classe ouvrière à se livrer pieds et poings liés à l’exploitation et à l’écrasement.

H. Krazucki
ancien secrétaire général de la CGT

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