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Sarkozy, l’ami des USA et d’Israël ... il en fait trop... par Jean-Claude Meyer.


14 septembre 2006.


Sarkozy, aux USA, a déclaré : "Israël est la victime. Il doit tout faire pour éviter de passer pour l’agresseur."

Pauvre Nicolas ! Il en fait trop.Il vend la mèche !

Ou bien Israël est la victime et ça sauterait (sans ceinture explosive) aux yeux. Victime par essence, ISRAEL EST LA VICTIME. L’être même d’Israël résiderait en sa victimisation.

Les autres victimes ne sont pas des victimes (les 1042 Libanais, dont un tiers d’enfants, par exemple, les Palestiniens qui meurent tous les jours).

Israël a déposé le label VICTIME. Et tous ceux qui usurperont ce label seront poursuivis pour faux et usage de faux.

Mais alors, pourquoi Sarko juge-t-il bon d’ajouter son conseil ? Si Israël doit tout faire pour éviter de passer pour l’agresseur, c’est que le risque existe ?

Qu’est ce qui peut bien donner à Sarko cette impression ? Aurait-il un doute ? Israël ne serait pas LA VICTIME  ?

On conseille à Israël de se méfier de cet ami...

Jean Claude Meyer
http://schlomoh.blog.lemonde.fr



Sarkozy - Liban : "De combien de temps l’Etat d’Israël a-t-il besoin pour terminer le travail ?", par Xavier Ternisien.


Création d’ une structure pour les parlementaires européens amis d’Israël, par Yossi Lempkovicz.

Politique convergente : faucons étasuniens et israéliens, par Rita Di Leo.




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Guide du Paris rebelle
Ignacio RAMONET, Ramon CHAO
Mot de l’éditeur Organisé par arrondissement - chacun d’eux précédé d’un plan -, ce guide est une invitation à la découverte de personnages célèbres ou anonymes, français ou étrangers, que l’on peut qualifier de rebelles, tant par leur art, leur engagement social ou encore leur choix de vie. Depuis la Révolution française, Paris est la scène des manifestations populaires, des insurrections et des émeutes collectives. Toutes ayant eu un écho universel : la révolution de 1830, celle de (…)
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Le fait est que les slogans du type "soutenons nos soldats" n’ont aucun sens... Et c’est tout l’objectif d’une bonne propagande. Il vous faut créer un slogan auquel personne ne s’oppose, et tout le monde y adhérera. Personne ne sait ce qu’il veut dire parce qu’il ne veut rien dire. Son importance réside dans le fait qu’il détourne l’attention d’une question qu’il aurait fallu poser : soutenez-vous notre politique ? Mais ça c’est une question qu’on n’a pas le droit de poser.

Noam Chomsky

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