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Le Mexique et Cuba célèbrent un an de coopération médicale

Depuis un an, 806 médecins cubains membres des célèbres brigades Henry Reeve médecins cubains procurent des soins médicaux « dans les régions les plus reculées » du Mexique, occupant « des postes laissés vacants pendant des années » par les praticiens locaux.

L’expérience est un succès et vient d’être renouvelée pour une année de plus. Alors que le Mexique avait déjà bénéficié d’un premier contingent de 160 professionnels de santé cubains, en 2020, pour faire face à la pandémie de Covid, voilà maintenant douze mois que le pays accueille 806 médecins membres des fameuses brigades Henry Reeve.

« Durant cette année, plus de 665 000 consultations spécialisées ont été réalisées} }} », a déclaré mardi Zoé Robledo, directeur de l’Institut mexicain de sécurité sociale. « Ainsi que 23 492 interventions chirurgicales et 592 études endoscopiques. Elles n’auraient pas pu être réalisées sans la participation du personnel de l’île. Ces personnes sauvent des vies} }} », a-t-il ajouté. Déployés dans 16 des 32 États que compte le pays, les médecins cubains procurent des soins médicaux « dans les régions les plus reculées du pays », occupant « des postes laissés vacants pendant des années » par les praticiens locaux. Zoé Robledo a indiqué que l’élargissement du programme était à l’étude.

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Croire que la révolution sociale soit concevable... sans explosions révolutionnaires d’une partie de la petite bourgeoisie avec tous ses préjugés, sans mouvement des masses prolétariennes et semi-prolétariennes politiquement inconscientes contre le joug seigneurial, clérical, monarchique, national, etc., c’est répudier la révolution sociale. C’est s’imaginer qu’une armée prendra position en un lieu donné et dira "Nous sommes pour le socialisme", et qu’une autre, en un autre lieu, dira "Nous sommes pour l’impérialisme", et que ce sera alors la révolution sociale !

Quiconque attend une révolution sociale “pure” ne vivra jamais assez longtemps pour la voir. Il n’est qu’un révolutionnaire en paroles qui ne comprend rien à ce qu’est une véritable révolution.

Lénine
dans "Bilan d’une discussion sur le droit des nations", 1916,
Oeuvres tome 22

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