RSS SyndicationTwitterFacebook
Rechercher

Nations Unies : Antonio avec les collapsos ?!

Nos propos légèrement humoristiques se veulent une réponse à l'égard des déclarations de Son Excellence Antonio Guterres, Secrétaire général des Nations Unies sur le dérèglement climatique qualifié d'effondrement climatique. Nous reconnaissons pleinement que notre ton « humoristique » peut sembler inapproprié au regard d'un sujet aussi sérieux et crucial pour l'avenir de notre planète. Il est primordial pour nous d’assurer Monsieur le Secrétaire Général, que notre intention n'est en aucun cas de minimiser l'importance de cette crise mondiale, mais plutôt d'exprimer nos préoccupations et frustrations de manière plus légère.

Monsieur Antonio Guterres, secrétaire général des Nations Unies, a récemment frappé fort dans son dernier communiqué daté du 6 septembre 2023, en déclarant : "Attention tout le monde, l’effondrement climatique est déjà en cours !" Autant dire qu’Antonio Guterres était quelque peu choqué par les informations venant de l’Organisation météorologique internationale (OMI). Mais soyons honnêtes, ses déclarations peuvent faire dresser les poils de tout le monde. Utiliser le terme "effondrement climatique" risque de plomber davantage le moral et de décourager complètement. Ne serait-il pas préférable de réfléchir à deux fois avant de balancer des prévisions aussi catastrophiques ?

Le problème avec les prédictions apocalyptiques réside dans le fait qu’elles donnent plutôt envie de se cacher sous la couette que de prendre des mesures concrètes. Le changement climatique étant déjà assez angoissant, autant essayer de mobiliser les troupes de manière plus positive. Oui, il est grand temps de passer à l’action et de sauver notre planète, mais cela ne signifie pas que nous devons sacrifier notre bonne humeur. Au contraire, une approche mariant sérieux et humour serait peut-être la clé pour sensibiliser les gens sans les plonger dans une dépression collective.

Cher Monsieur Antonio Guterres, grand leader des Nations Unies, nous vous apprécions beaucoup, mais la prochaine fois, essayez de nous sortir une bonne blague pour détendre l’atmosphère, d’accord ? Parce que, soyons réalistes, une bonne dose de rire est sûrement la meilleure façon de rassembler les gens et de les motiver à lutter contre le changement climatique. Ne dit-on pas que le rire est le meilleur remède contre tous les maux ? Alors, oublions un instant les visions apocalyptiques et faisons place à une touche de légèreté. Parce que la bataille pour un avenir meilleur ne peut pas être menée avec des visages longs et des cœurs lourds. Reprenons l’exemple de Monsieur Antonio Guterres et injectons une dose d’humour dans cette lutte urgente. Quoi de mieux qu’une bonne blague ou une anecdote déjantée pour mettre du baume au cœur tout en sensibilisant les gens à la protection de notre précieuse planète ?

Monsieur Antonio Guterres, la prochaine fois que vous nous prédisez une apocalypse climatique, assurez-vous d’accompagner vos mots d’un sourire malicieux. Montrez-nous que vous pouvez également illuminer nos journées avec une bonne dose de rire. Car, après tout, ensemble, nous pouvons changer le monde tout en gardant notre joie de vivre et notre capacité à rire dans les moments les plus sombres.

Mobilisons-nous, agissons avec sérieux, mais surtout, ne perdons jamais de vue notre sens de l’humour.

Monsieur Guterres, vous avez réussi à faire passer votre message, maintenant montrez-nous que vous pouvez également illuminer nos journées avec une bonne dose d’actions, parce que la lutte contre le changement climatique est essentielle.

Alors, tous ensemble, engageons-nous à sauver notre planète tout en gardant le sens de l’humour bien affûté ! Après tout, qu’est-ce qu’on dit ? Rions pour réduire notre empreinte carbone et transformons le sombre avenir en un avenir plus lumineux grâce à nos sourires éblouissants.

Alors, mes chers amis, préparons nos blagues les plus drôles, nos anecdotes les plus farfelues et notre esprit le plus vif. Mettons notre sens de l’humour au service de la cause climatique et montrons au monde entier que sauver notre planète peut être aussi amusant que de regarder un marathon de comédies.

Rendons cette lutte contre le changement climatique aussi joyeuse qu’un festival de la bonne humeur où les rires et les applaudissements se mêlent aux actions concrètes.

Rire ensemble, c’est la meilleure façon de faire face au changement climatique ! Même si la situation peut sembler sombre, rien ne nous empêche de trouver des raisons de rire. Après tout, l’humour est une arme puissante contre les problèmes de notre époque.

Imaginez-vous en train de rire de la façon dont les pingouins se dandinent sur la banquise qui fond à toute vitesse. Ou encore, d’imaginer un ours polaire avec des lunettes de soleil se prélassant sur une bouée licorne dans un océan de plastique.

Le rire ne résout pas directement le problème du changement climatique, c’est vrai. Mais il peut nous aider à rester positifs et à aborder ces défis avec plus de légèreté. En cultivant la joie, nous nous donnons la force de continuer à lutter. De plus, l’humour peut être un moyen efficace de sensibiliser les autres à l’urgence climatique. Imaginons une marche pour le climat où les pancartes seraient toutes accompagnées de jeux de mots hilarants. Cela attirerait certainement l’attention des tous les citoyens et citoyennes et susciterait leur intérêt.

En riant ensemble, nous créons également une communauté solidaire qui peut soutenir et encourager les actions positives. Le changement climatique est un défi mondial qui nécessite une collaboration étroite. En partageant des rires et de la joie, nous créons un lien entre nous et nous encourageons à agir.

Alors, ne laissons pas le changement climatique nous plonger dans la morosité. Rions ensemble et contribuons à ce mouvement de joie et de solidarité pour un monde plus souriant. Parce que, après tout, le rire est le meilleur remède, même contre le réchauffement climatique !

En somme, la réflexion et la sagesse nous permettent de mieux comprendre notre relation avec la planète et les conséquences de nos actions. L’humour peut être un moyen efficace de communiquer ces idées de manière accessible, mais il doit toujours être soutenu par un véritable engagement envers la protection de l’environnement. La combinaison de ces deux approches peut jouer un rôle crucial dans la mobilisation en faveur de la préservation de notre planète.

Pour finir, nous pouvons dire que l’humour peut être un outil puissant pour rendre les discours sur la protection de la planète plus accessibles et engageants. Avec un peu de créativité, il est possible d’utiliser l’humour pour sensibiliser un large public et encourager le changement de comportement en faveur de l’environnement.

Et voilà les amis, je referme cet article sur une citation pleine d’esprit d’Anatole France, qui nous rappelle que l’humour est l’épice de la sagesse, même si on évite d’en faire fondre un bon vieux morceau de fromage suisse ! En réalité, l’humour est notre allié fantastique dans notre quête pour sauver notre planète en apportant une note de légèreté et de joie à notre exploration du monde, aussi rafraîchissante qu’une bonne glace à la vanille lors des vagues de chaleur. Non à l’effondrement et la peur, oui à une communication convaincante et réjouissante.

Mustapha Stambouli, Ing ENIT/EPFL et ancien conseiller technique auprès des agences du système des Nations Unies.

»» https://mustapha-stambouli.blogspot...
URL de cet article 38896
   
La Colombie [sans Ingrid ni Pablo] – Un récit de voyage
Cédric Rutter
On ne peut pas évoquer la Colombie sans penser à Ingrid Betancourt ou à Pablo Escobar. Pourtant, les interlocuteurs rencontrés par Cédric Rutter au cours de son voyage n’ont jamais parlé d’eux. Ce pays ne se limite pas au trafic de drogue et à la guérilla des Farc. Cette zone stratégique et magnifique, porte de l’Amérique du sud entre deux océans, abrite des communautés et des individus en demande de paix dans une démocratie fragile. Ils ont tant à enseigner et à dire. L’auteur les a écoutés (…)
Agrandir | voir bibliographie

 

Si j’étais le président, je pourrais arrêter le terrorisme contre les Etats-Unis en quelques jours. Définitivement. D’abord je demanderais pardon - très publiquement et très sincèrement - à tous les veuves et orphelins, les victimes de tortures et les pauvres, et les millions et millions d’autres victimes de l’Impérialisme Américain. Puis j’annoncerais la fin des interventions des Etats-Unis à travers le monde et j’informerais Israël qu’il n’est plus le 51ème Etat de l’Union mais - bizarrement - un pays étranger. Je réduirais alors le budget militaire d’au moins 90% et consacrerais les économies réalisées à indemniser nos victimes et à réparer les dégâts provoqués par nos bombardements. Il y aurait suffisamment d’argent. Savez-vous à combien s’élève le budget militaire pour une année ? Une seule année. A plus de 20.000 dollars par heure depuis la naissance de Jésus Christ.

Voilà ce que je ferais au cours de mes trois premiers jours à la Maison Blanche.

Le quatrième jour, je serais assassiné.

William Blum

© Copy Left Le Grand Soir - Diffusion autorisée et même encouragée. Merci de mentionner les sources.
L'opinion des auteurs que nous publions ne reflète pas nécessairement celle du Grand Soir

Contacts | Qui sommes-nous ? | Administrateurs : Viktor Dedaj | Maxime Vivas | Bernard Gensane
Le saviez-vous ? Le Grand Soir a vu le jour en 2002.