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Solidarité Ukraine : Supprimons les bistrots

Bistrot étant un mot d'origine russe, je propose par osmose avec le bataillon Azov et autres Bandéristes ukrainiens, de supprimer le mot de notre usage. C'est avec de belles petites idées comme celle-ci que la paix avancera.

Quoi qu’il m’en coûte, par solidarité avec le bataillon Azov, avec celui des ouailles du nazi ukrainien Stepan Bandera – le tueur d’environ 100 000 morts, des juifs et des communistes qui étaient parfois les deux, au tournant de 1943 - solidaire aussi avec un comique, désormais troupier (Zelensky qui n’a caché que 40 millions de dollars sur son compte dans des îles chaudes), je lance une pétition pour que soit interdit l’usage du mot « bistrot », et même « bistro ». Pas question de reculer là-dessus, la marche arrière je la réserve aux militaires. Eux qui n’occupent pas de champs de bataille mais les plateaux de télévision. Ce qui est moins dangereux pour ces experts en expertise, la retraite étant leur première nature. Cette explication-digression achevée, j’en reviens au but initial de ma supplique : l’interdiction des bistrots. Savez-vous, amis qui adorez le bataillon Azov, que ce mot est russe ? Enfin je veux dire r....car nommer la chose est aujourd’hui pécher. Un mot-crime (pas Crimée) qui peut, si vous le prononcez, provoquer votre disparition de Twitter et Facebook plus vite que Perrichon a failli choir dans la Mer de Glace.

Avec pour unique guide la science, la vérité de l’histoire et de la raison ultra pure, ce n’est pas par simple lubie que je demande l’interdiction du bistro. Comme un ivrogne à la recherche de son temps perdu au comptoir ou en quête de repentir. Une plaque commémorative existe pour soutenir ma demande. Elle est pitonnée à la façade d’un établissement sis 6 place du Tertre à Paris, un lieu d’histoire baptisé « A la Mère Catherine ». Gravé dans un marbre qu’utilise encore BHL pour ses édits, il est ici écrit : « En 1814, les Cosaques (donc des R....) occupant Paris, (je souffre à ce cruel rappel) descendaient de cheval et se précipitaient dans les tavernes en hurlant « bystro » ». Ce mot étant dit sur le ton peu commode de ceux dont on voit bien qu’ils ont l’habitude de dévorer les petits enfants. Vous avez dit « Bystro » ? Comme c’est Khazar ! Derrière le comptoir le taulier comprenait aisément le sens de ce mot comminatoire, plus rapidement qu’en usant d’une méthode Assimil : « Bystro », en r..., veut dire « vite ». Les sauvages avaient donc soif et voulaient boire à la sauvette pour éviter le knout de leurs chefs aux aguets.

Voilà donc d’où nous vient l’urgence d’effacer le bistrot de nos yeux, de notre langue. Je vous entends répliquer « mais que faire ? ». Je ne vous laisse pas seuls, pas d’abandon en rase compagne comme le disait si justement le mari de la femme à barbe, et je vous propose que tous nos troquets portent désormais, en abrégé, le patronyme d’Ursula von der Leyen, cette impératrice qui, avec tant d’application, conduit l’Europe vers sa destruction. Plutôt que « bistrot » je mets sur la table « Vonderleienne ». Certes pour qui n’est pas Prussien le néologisme n’est pas facile en bouche. Avec mes amis nous vous proposons donc le raccourci -sans guillotine- de « Vonder ». Un mot qui tombe pile. Un bistrot plein deviendrait alors un « vonder full ». Ce qui causerait un vif plaisir à nos maîtres de Washington pour qui Paris n’est pas capitale, mais Capitole.

Jacques-Marie BOURGET

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