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L’incroyable évolution des témoignages bidonnés...

Qui sont les ennemis des Tibétains, des Ouïghours et de tout le peuple chinois ? (Deuxième partie)

Les amis d’un peuple sont ceux qui sympathisent avec ses efforts visant à se forger un avenir meilleur et qui soutiennent son combat pour assurer une vie en paix et en sécurité à ses enfants. Les ennemis d’un peuple sont ceux qui, prétendument pour son propre bien, lui infligent des sanctions afin de l’appauvrir, de l’affamer, de le priver de soins médicaux. Ceux qui veulent lui imposer leur volonté et leur propre système de « valeurs ».

Les musulmans du Xinjiang réduits au silence et les victimes ignorées... dans nos médias !

Le nom de Nijat Muhtar vous est-il familier ? Non ? Mais peut-être avez-vous entendu parler de Mamatreyim Narsirdin ? Non plus ? Alors, qu’en est-il d’Elijan Anayat, de Zulhayat Ismayil ou de Muhtram Sherip ? Encore des noms qui ne vous disent strictement rien ?

Ils auraient pourtant très bien pu (ou dû ?) apparaître dans nos médias, et les personnes qui portent ces noms auraient pu (ou dû ?) y avoir droit à la parole. Car dans une conférence de presse à laquelle ont assisté, le 11 janvier 2021 à Pékin, bon nombre de médias internationaux 1), ces personnes ont fourni des informations détaillées sur la situation au Xinjiang, leur terre natale, ou raconté leurs expériences personnelles.

Mais jamais, en aucun cas, nos médias ne songeraient à leur donner la parole. Bien qu’il ne se passe pratiquement pas un jour sans que ces médias parlent de la situation au Xinjiang telle que l’opinion publique occidentale est censée la voir.

« Pendant ce temps, les plateformes de médias sociaux comme Twitter et Facebook ont suspendu les comptes d’éminents Ouïghours et d’autres musulmans chinois qui offraient une perspective alternative sur le conflit. Dans les médias occidentaux, un seul point de vue est autorisé : celui qui sert les intérêts de Washington et de sa nouvelle guerre froide », constate le journaliste américain indépendant Ben Norton (The Intercept, The Grayzone). Dans un article bien recherché et bien documenté 3) il vient de critiquer le New York Times pour avoir ouvert ses colonnes à une « collègue » qui provient de l’Epoch Times, le périodique de la secte d’extrême droite Falun Gong, et qui accuse la Chine de « génocide » au Xinjiang. Ben Norton écrit : « Il est remarquable que le Times ait été si disposé à accueillir la hargne accusatrice d’une experte américaine ayant un huitième de sang ouïgour [c’est en cela que consiste sa seule « expertise », vu qu’elle n’a jamais mis les pieds en Chine !], alors qu’il ignore délibérément et fait taire les nombreux Ouïgours nés et élevés dans la province chinoise du Xinjiang, qui soutiennent le Parti communiste chinois et les politiques de développement du gouvernement. Cette attitude est de facto similaire à sa confiance disproportionnée dans les déclarations des exilés libéraux et islamistes de Syrie, alors qu’il refuse de publier les déclarations des membres de la majorité loyaliste du pays vivant en Syrie. »

Et ainsi, les noms et les visages d’autres personnes se sont gravés dans nos esprits, à force de leurs apparitions récurrentes, en photo dans nos journaux et magazines ou en chair et en os sur nos plateaux de télé : Tursunay Ziyawudun, Sayragul Sautbay, Mihrigul Tursun 4), Gulbahar et Gulhumar Haitiwaji ...

Mais revenons d’abord à ces « musulmans du Xinjiang » qu’on n’a pas envie de nous présenter et qu’on veut absolument réduire au silence. Qui sont ceux que j’ai nommés pour avoir participé à la deuxième conférence de presse sur le Xinjiang le 11 janvier ?

Nijat Muhtar, d’ethnie ouïghoure, et Mamatreyim Narsirdin, d’ethnie kirghize, ont témoigné devant les médias internationaux pour raconter leurs expériences personnelles, l’un en tant que stagiaire diplômé du Centre d’éducation et de formation professionnelle du comté de Yopurgha, préfecture de Kashgar, et l’autre en tant qu’ouvrier dans une entreprise qui produit des appareils électriques à Cixi, dans la province du Zhejiang. Leur vécu dément ou du moins relativise fortement les histoires d’internement et de travail forcé qui circulent en Occident.

Elijan Anayat et Zulhayat Ismayil, eux, sont des porte-paroles du Gouvernement de la Région Autonome ouïghoure du Xinjiang. Quant à Muhtram Sherip, il est l’imam de la mosquée Yang Hang à Urumqi.

La simple existence de ces personnes rend caduc le discours anticommuniste qui voudrait assimiler les Centres d’enseignement et de formation professionnelle du Xinjiang aux camps de concentration nazis et le Gouvernement de la République populaire de Chine au « Troisième Reich » allemand. Les nazis auraient-ils invité à des conférences de presse pour donner la parole à des « sous-hommes » juifs, « tsiganes » ou slaves ? Est-ce que des personnalités appartenant à ces groupes ont dirigé l’un ou l’autre Gau (province) du Reich ? Est-ce que des individus catégorisés comme des « sous-hommes » ont fait partie des cercles dirigeants du parti nazi ?

Un Ouïghour comme Shohrat Zakir pourrait-il être président de la Région autonome ouïghoure du Xinjiang et membre du Comité central du Parti communiste chinois 5) si la Chine était en train de discriminer systématiquement, d’opprimer, de massacrer et d’éliminer ses Ouïghours, que dis-je : toutes ses « minorités musulmanes » sur la base de leur seule appartenance ethnique ?

À la conférence de presse du 11 janvier 6), Xu Guixiang, directeur adjoint du département de la communication du PCC du Xinjiang, a montré sur la base des données statistiques que le « génocide » ouïghour est une pure invention, étant donné que « le taux de croissance de la population ouïghoure est beaucoup plus élevé que la moyenne du Xinjiang et de la population han au cours de la même période ». Il a cependant confirmé une baisse récente des naissances, due au « contrôle légal des naissances non programmées basé sur la politique de planning familial », mais due aussi à « la réduction de la pauvreté », à l’essor économique et à l’amélioration des « conditions de vie dans la région pauvre du sud du Xinjiang ». Suite à « l’accélération marquée du processus d’urbanisation » et « à l’amélioration considérable du niveau d’éducation et de la qualité culturelle des personnes de tous les groupes ethniques », il y a un « changement de mentalité » : les gens « choisissent de leur propre chef de se marier tardivement et de donner naissance tardivement afin d’avoir des naissances moins nombreuses. » C’est d’ailleurs une évolution qu’on a pu observer dans d’autres régions du monde, sauf qu’en Chine, les progrès se font souvent plus vite qu’ailleurs...

Lin Fangfei, professeure associée de politique et d’administration publique à l’Université du Xinjiang, a ajouté que pendant la période de 2010 à 2018, le nombre total de résidents du Xinjiang est passé de 21,815 millions à 24,867 millions, soit une augmentation de 3,051 millions et un taux de croissance de 13,99 %. Parmi eux, la population des minorités ethniques est passée de 12,985 millions à 15,860 millions, soit une augmentation de 2,874 millions et un taux d’accroissement de 22,24 %, tandis que la population des Ouïgours est passée de 10,171 millions à 12,718 millions, soit une augmentation de 2,546 millions et un taux de croissance de 25,04 %.

En réponse à une question de CNN, le porte-parole du gouvernement de la région autonome du Xinjiang, Elijan Anayat, a précisé qu’il n’y a pas eu de soi-disant « camps de concentration » au Xinjiang et que les mesures de déradicalisation pratiquées dans les centres d’enseignement et de formation professionnels du Xinjiang étaient en fait comparables au Desistance and Disengagement Programme (DDP) du Royaume-Uni et aux centres de déradicalisation en France. 7) Il a aussi insisté sur le fait que « tous les stagiaires ont obtenu leur diplôme en octobre 2019 et ont obtenu un emploi stable avec l’aide du gouvernement ».

Il a réfuté concrètement des prétendus « témoignages » de « victimes » des « camps » du Xinjiang. Parmi les exemples évoqués, le cas de Sayragul Sawuytbaya est particulièrement intéressant. Le secrétaire d’État américain Pompeo a salué la façon dont cette femme a « courageusement témoigné sur les camps d’internement du Xinjiang » et lui a remis « le Prix international du courage féminin 2020 ». En fait, selon Elijan Anayat, Sayragul Sawuytbaya est recherchée en Chine pour fraude à l’emprunt et pour passage illégal de la frontière. Elle est accusée d’avoir fait, en juin 2015 et en décembre 2016, une demande de prêt de 470 000 yuans auprès d’une coopérative de crédit rurale de la ville de Chahanwusu, sur la base d’un contrat d’achat de maison préfabriquée, en produisant des faux documents de garantie avec la fausse signature d’un garant. Selon le porte parole du gouvernement régional, elle « doit toujours à présent 398 000 yuans. »

Muhtram Sherip qui est le Secrétaire général adjoint de l’Association islamique de la région autonome, a abordé la question de la pratique religieuse quotidienne des musulmans au Xinjiang en prenant l’exemple de la mosquée Yanghang d’Urumqi, érigée en 1897, où il a été imam pendant neuf ans. Elle dispose d’une salle de prière assez grande pour accueillir 2000 fidèles en même temps. « Chaque jour, les musulmans ouïgours, kazakhs et huis vivant à proximité viennent à la mosquée de Yanghang pour leurs cinq prières quotidiennes ». Selon les informations qu’il a données, la région autonome compte dix établissements d’enseignement supérieur de l’Islam. Le Xinjiang Islamic College et ses huit branches comptent actuellement 3 000 étudiants. En 2019, plus de 600 étudiants y ont obtenu un diplôme, et 1 000 nouveaux étudiants ont été inscrits. En 2020, 1 280 étudiants ont obtenu leur diplôme et il y a eu 1 102 nouveaux inscrits.

Peut-on se fier aux témoignages ?

Wikipédia consacre un article aux « récits d’enlèvement par des extraterrestres (également appelés abduction dans les milieux ufologiques) », indiquant que « des milliers de personnes, principalement aux États-Unis, ont prétendu avoir été enlevées par des extraterrestres » et que certains de ces témoignages sont remarquables par leur apparente « sincérité ». 8)

Est-ce qu’il faut les croire pour autant ?

En outre, 18 % des Américains disent avoir déjà rencontré un fantôme. 9) Ça fait un sacré nombre de « témoins », bien plus de 50 millions rien qu’aux USA, prêts à « prouver » l’apparition de revenants, de spectres, de Poltergeist ou l’existence d’ectoplasmes qui, elle aussi est « relatée par de nombreux témoins dignes de foi ». Jamais démontrés scientifiquement (et pour cause), ces « apparitions de fantômes » qui ne sont connues que « par les récits du ou des témoins » sont pourtant « souvent repris d’ouvrage en ouvrage sans vérification. » 10)

Il ne viendrait à l’idée de personne (ou presque) de voir en de tels « ouvrages » les fruits d’une vraie recherche scientifique et dans les articles de la presse à scandale racontant les apparitions de fantômes ou de soucoupes volantes les modèles d’un journalisme sérieux. Mais de toute évidence, ce qui vaut pour les fantômes et les extraterrestres ne vaut pas pour les fantasmagoriques « camps de concentration » au Xinjiang, pour la « destruction de la culture ouïghoure », pour les « travailleurs esclaves », pour les « stérilisations forcées » (par des stérilets !?), pour l’ « éradication d’un peuple », pour les « prélèvements forcés d’organes halal » ou pour les « viols de masse » au Xinjiang chinois.

Au contraire, quand il s’agit de calomnier un « rival systémique », on est tout à fait enclin à faire confiance à quelques douzaines de témoins douteux, à un menteur notoire comme Mike Pompeo (« J’ai été directeur de la CIA et nous avons menti, triché, volé ») ou, dans toutes les publications aussi bien journalistiques que « scientifiques » (!), à un illuminé comme Adrian Zenz, auteur d’un livre de science (fiction) chrétienne à l’américaine qui traite de « La Bataille finale et [de] l’Entrée dans le Royaume Millénaire » et répond à la question pressante de savoir comment nous pourrons « Régner avec le Christ : Ce que cela signifie et comment nous pouvons nous y préparer. » 11)

Faux témoignages, articles mal recherchés, « infos » copiés-collés, manipulations, interviews complices...

« L’intéressée est ouïghoure, de confession musulmane, et sa communauté est persécutée en Chine » 12) a-t-on pu lire au sujet de Gulbahar Haitiwaji et de sa « communauté » dans nos médias, mais aussi : « L’ironie de tout cela, c’est que ma femme n’est même pas musulmane, dit Kerim. Elle s’est convertie au christianisme il y a plusieurs années déjà. » 13)

Oups ! Au moins un de ces journalistes n’a pas bien fait son travail. Ces deux citations nous montrent déjà à quel sérieux, à quelle éthique, à quelle quête de la vérité on a affaire de la part d’un journalisme mainstream qui mérite de plus en plus l’attribut « dépravé ».

L’interview de Gulbahar Haitiwaji par la journaliste vedette Léa Salamé en est un autre exemple parfait. Voilà une journaliste complaisante et servile à souhait qui, au lieu de poser ne fût-ce qu’une seule question critique, raconte elle-même la version de son interlocutrice et lui envoie des mots-clés fixés d’avance, puis se contente d’acquiescer ou de répéter ses allégations. 14) Entre cette prestation et un journalisme respectable, c’est-à-dire critique, objectif et véridique, il y a des années-lumière.

Mais évidemment il faut éviter de creuser trop pour ne pas mettre ces faux témoins dans l’embarras. Car déjà sans un interrogatoire serré, ils ou elles s’enlisent dans leurs contradictions. C’est le cas, par exemple, de Sayragul Sautbaya dont le récit n’a pas cessé d’évoluer au fil des interviews successifs. Au début, elle a affirmé avoir été une instructrice travaillant dans un camp de rééducation. Plus tard, elle affirme avoir été détenue. Maintenant, elle prétend avoir été témoin de tortures, de violences et de viols de masse. Lors d’entretiens antérieurs, elle avait pourtant insisté sur le fait qu’elle n’avait observé aucune violence.

La même évolution peut être constatée dans le témoignage de Tursunay Ziawudun. Elle déclare maintenant que les prisonnières auraient été retirées des cellules « chaque nuit » pour être violées par un ou plusieurs Chinois masqués et qu’elle-même aurait été torturée puis violée par deux ou trois hommes à trois reprises. Dans sa première interview au bureau de l’organisation kazakhe Atajurt 15) à Almaty, au Kazakhstan, le 15 octobre 2019, il n’a pas été question de viol, de violences ou de mauvais traitements. Un résumé en anglais de l’interview est disponible ici.

Le site américain Moon of Alabama 16) souligne : « Comme dans le cas de Sayragul Sautbay, ce n’est que quelques mois après avoir reçu l’encadrement approprié que Tursunay Ziawudun fait les déclarations scandaleuses de viol. La BBC sait que ces affirmations sont probablement fausses comme elle le note soigneusement :

"Il est impossible de vérifier complètement le récit de Ziawudun en raison des sévères restrictions que la Chine impose aux journalistes dans le pays, mais les documents de voyage et les dossiers d’immigration qu’elle a fournis à la BBC corroborent la chronologie de son histoire."

Les faits corroborent en effet le calendrier, mais ils ne corroborent aucune des autres affirmations de Ziawudun.

Il y a beaucoup plus de détails dans l’histoire de la BBC de Tursunay Ziawudun qui diffèrent de ses déclarations précédentes. Ses "boucles d’oreilles ont été arrachées" là où auparavant "la police a dit aux femmes d’enlever leurs colliers et boucles d’oreilles". Dans l’interview de BuzzFeed, elle a déclaré : "Je n’ai pas été battue, ni maltraitée." Dans son récit ultérieur à la BBC, elle est « lourdement battue ». Mais encore : « Certaines parties de ce qu’elle dit à la BBC semblent provenir d’un mauvais script porno : "Non seulement ils te violent, mais ils mordent aussi sur tout ton corps, tu ne sais pas s’ils sont des humains ou des animaux", dit-elle, pressant un mouchoir sur ses yeux pour arrêter ses larmes et s’interrompant pendant un long moment pour se ressaisir. "Ils n’ont épargné aucune partie du corps, ils ont mordu partout laissant des marques horribles. C’était dégoûtant à regarder." » 17)

Les « chiens de garde » 18) se soucient peu des contradictions dans le récit d’un témoin et ne font preuve d’aucun souci de vérification, y compris là où ils ne peuvent pas rendre les « restrictions » chinoises responsables de leur étonnant manque de curiosité. Gulbahar Haitiwaji est-elle « musulmane » ou bien « chrétienne », une victime complètement innocente, apolitique et au-dessus de tout soupçon en ce qui concerne des activités illégales, ou bien la complice et épouse d’un meneur séparatiste exilé (« ... à l’époque, mon mari était le vice-président de l’Association des Ouïghours de France ») et d’une fille impliquée dans un mouvement extrémiste (sur une photo, la fille « brandit un drapeau du Turkestan oriental [ancienne république autoproclamée basée sur le territoire de l’actuel Xinjiang] ». 19) En tout cas, « depuis qu’elle a retrouvé la liberté, elle mène une lutte sans relâche pour défendre la communauté ouïghoure » 20) et elle multiplie les prises de position politiques qui la situent à l’extrême droite de l’échiquier politique.

(À suivre...)

Albert ETTINGER

EN COMPLEMENT

LIRE ce livre écrit après deux voyages sur place d’un auteur représentant LGS au Xinjiang. Il apporte des exemples d’autres faux témoignages.

Notes

1) La chaîne américaine CNN, US Bloomberg news, Sky news, la chaîne publique japonaise NHK, l’australienne SBS, la chaîne brésilienne Globo, les agences de presse EFE (espagnole), MENA (égyptienne), AP (pakistanaise), ANTANA (indonésienne)

2) https://www.youtube.com/watch?v=rhx5bn4r-e4&feature=share&fbclid=IwAR2tdz76mzWGxyxpQs-lCIjDrcD-EQHUCnhsz0jvsit65uDCx3FPHPrGHl0

3) https://thegrayzone.com/2021/01/28/ny-times-uighur-china-genocide-falun-gong/

4) Voir mon article sur http://tibetdoc.org/index.php/politique/chine-en-general/532-la-chine-dans-le-collimateur-du-soft-power-americain-4e-partie-mensonges-et-faux-temoignage

5) https://fr.wikipedia.org/wiki/Shohrat_Zakir

6) https://www.fmprc.gov.cn/mfa_eng/wjbxw/t1846454.shtml

7) Voir, par exemple, https://homeofficemedia.blog.gov.uk/2019/11/05/fact-sheet-desistance-and-disengagement-programme/ et https://www.vie-publique.fr/rapport/36770-deradicalisation-et-reinsertion-des-djihadistes

8) https://fr.wikipedia.org/wiki/R%C3%A9cits_d%27enl%C3%A8vement_par_les_extraterrestres - Notre mise en évidence

9) https://fr.wikipedia.org/wiki/Fant%C3%B4me#Croyance_aux_fant%C3%B4mes

10) https://fr.wikipedia.org/wiki/Fant%C3%B4me#Croyance_aux_fant%C3%B4mes

11) Notre traduction des titres des chapitres 13 et 14 de son livre Worthy To Escape

12) https://www.francetvinfo.fr/monde/chine/chine-le-temoignage-precieux-de-gulbahar-haitiwaji-une-femme-ouighoure-enfermee-dans-un-centre-de-reeducation_4253575.html

13) “The irony of all this is that my wife isn’t even a Muslim,” says Kerim. “She converted to Christianity several years ago...“ https://bitterwinter.org/uyghur-woman-plea-for-her-mothers-release/

14) https://www.franceinter.fr/emissions/l-invite-de-7h50/l-invite-de-7h50-11-janvier-2021

15) Depuis, le Kazakhstan a mis fin aux activités de cette ONG au financements obscurs, et son fondateur Serikzhan Bilash s’est enfui en Turquie. – Pour ce qui est du rôle des ONG de « défense des droits de l’homme » en général, je recommande vivement Ouïghours, Amnesty ou la Chine : qui ment ?, l’entretien de Michel Collon (Michel Midi) avec Emmanuel Wathelet https://www.youtube.com/watch?v=VBo9GR3Jk0Y

16) Le nom du site se réfère à une chanson de L’Opéra de quat’sous de Bert Brecht/Kurt Weill.

17) https://www.moonofalabama.org/2021/02/they-dont-only-rape-but-also-bite-all-over-your-body-horror-stories-told-by-chinese-defectors-contin.html

18) Voir : https://www.youtube.com/watch?v=lszB9lFNcHI

19) https://asialyst.com/fr/2021/01/12/rescapee-du-goulag-chinois-gulbuhar-haitiwaji-temoignage-livre-ouighours-france/

20) https://www.francetvinfo.fr/monde/chine/chine-le-temoignage-precieux-de-gulbahar-haitiwaji-une-femme-ouighoure-enfermee-dans-un-centre-de-reeducation_4253575.html

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