La taxe d’habitation va manquer aux communes, c’est à dire, aux services publics locaux. Chaque fois que Macron prend une mesure "pour le pouvoir d’achat", c’est au détriment des caisses publiques, que ce soit la taxe d’habitation, les cotisations sociales ou les défiscalisations. On ne prend que dans le pot commun. Le seul tabou, c’est de faire contribuer le patronat : surtout, surtout pas d’augmentation des salaires !
En outre, la droite, peut-être grâce à l’expertise des agriculteurs, s’est aperçue qu’on peut mendier et obtenir, des aides, des subventions, des mesures de soutien, des reports, exonérations. En centres-villes, pour pallier la désertion des boutiquiers, tous tués par ou drainés vers, les zones commerciales, on offre des loyers gratuits, des ravalements de façades. L’argent public est un jeu d’enfants, mais attention pas d’assistanat aux pauvres ! A réserver aux propriétaires et aux "entrepreneurs". C’est de "l’investissement". Selon moi, c’est main basse sur la caisse !