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Fabienne Brutus, employée de l’ANPE publie "Chômage : des secrets bien gardés".





4 avril 2006.


Le vrai nom de Fabienne Brutus est Fabienne Brutus. Ce n’est pas un pseudonyme, comme pourraient le laisser penser les banderilles que cette jeune femme de 31 ans vient planter dans le dos de son employeur, l’ANPE. L’illustre Agence nationale pour l’emploi a déjà subi sur sa droite, jeudi 23 mars, un rapport sévère de la Cour des comptes.

Une semaine plus tard, la voilà attaquée sur sa gauche par l’une de ses propres conseillères aux airs de fillette sagement insolente, qui dégaine ce pamphlet culotté : Chômage, des secrets bien gardés. Où elle épingle gabegie, chiffres faussés, radiations abusives, paperasserie inefficace, argent public gaspillé.

 Lire : Fabienne Brutus, la pasionaria de l’ANPE par Marion Van Renterghem. www.lemonde.fr


Offres d’emploi non pourvues : une manipulation pour faire culpabiliser les chômeurs, par Fanny Doumayrou.

Unedic : un nouveau recul des droits des chômeurs, par Jean-Jacques Chavigné.

Chômage : vraie fausse baisse, par Michel Husson.


LIRE : Retrait du CPE/CNE = défense du CDI et reconquête d’un droit protecteur des salariés, par CGT - Inspecteurs du Travail.




 Photo : Jean-Christophe Polien


URL de cet article 3521
   
Contre-discours de mai de François Cusset
Bernard GENSANE
François Cusset. Contre-discours de mai. Ce qu’embaumeurs et fossoyeurs de 68 ne disent pas à ses héritiers. Actes Sud, 2008. Bizarrement, on a très peu célébré le cinquantenaire de Mai 58, la chute de la Quatrième République, le coup d’État feutré de De Gaulle, l’instauration d’une nouvelle République, donc d’un nouveau partage institutionnel du pouvoir, avec un renforcement du rôle de l’État, de sa prééminence, tout ce que les " gaullistes " libéraux d’aujourd’hui vomissent. (…)
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Si un homme blanc veut me lyncher, c’est son problème. S’il a le pouvoir de me lyncher, c’est mon problème. Le racisme n’est pas une question d’attitude ; c’est une question de pouvoir. Le racisme tire son pouvoir du capitalisme. Donc, si vous êtes antiraciste, que vous en soyez conscient ou non, vous devez être anticapitaliste. Le pouvoir du racisme, le pouvoir du sexisme, vient du capitalisme, pas d’une attitude.

Stokely Carmichael

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