De plus, le mot antisémitisme, déjà, est une erreur dans sa définition du Larousse : les sémites sont ceux qui parlent les langues sémites, soit grosso modo le sud-ouest de l’Asie (Liban, Syrie, Irak, Jordanie, Palestine, Arabie, Yemen....) alors que des chercheurs juifs ont démontré que c’est bien au Yemen (où l’a retrouvé des ruines très parlantes) qu’avait existé ce pays de Canaan, "là où coulent le lait et le miel". Pas en Palestine. Si l’on y regarde bien, ce vocable "les juifs" utilisé dans le nouveau testament recouvre une toute petite fraction de la population, celle qui était à la fois riche et influente par ses dons pour le commerce, et extrémiste dans ses déclarations : les Pharisiens. A côté d’eux vivaient aussi des Sadducéens (probablement disciples d’un certain Çaddok), les Esséniens dont la Bible ne parle pas, et sans doute d’autres. Sans compter ceux qui se contentaient d’être là à vivre tranquillement leur vie, comme les pêcheurs du lac de Tibériade.
Ces précisions données, voir des personnes insister pour mettre dans le même panier deux mots vraiment différents relève de la manipulation, de la méchanceté et de buts manifestement peu recommandables. Cela devient "de la politique" dans son acception la plus glauque.