Outre son aplomb lorsqu’il déclare à mots à peine couverts que l’oligarchie ne paiera rien et que l’état, comprendre le peuple, paiera tout, ce qui m’a le plus frappé, c’est le ton adopté. Paternel, infantilisant, comme un adulte lisant un conte (n’oublions pas qu’il lit sur les prompteurs) à un enfant afin que celui-ci s’endorme.
Le mépris du peuple est dans ses gènes, il le transpire et c’est bien la seule chose qui, non pas ruisselle de son règne, ce serait par trop poétique, mais suinte, dégouline, dégueule par toutes les bouches qui s’offusquent du peuple qui se débat.
Faisons que son siège, celui de ses maîtres et de ses zélateurs devienne éjectable.
Longue vie aux Gilets Jaunes !