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La monstralisation 2

Un accord mammouth

Les États-Unis tiennent à redéfinir les règles commerciales avec les pays d’Asie pour freiner l’influence de la Chine dans cette partie du monde. « Si nous ne le faisons pas, la Chine le fera, et l’Amérique sera écartée », a dit Barack Obama dans une entrevue récente au Wall Street Journal. L’Asie devrait regrouper les deux tiers de la population du monde en 2030 et produire la moitié de la richesse mondiale en 2050. Douze pays participent aux négociations. En plus des États-Unis et du Canada, il y a l’Australie, Brunei, le Chili, le Japon, la Malaisie, le Mexique, la Nouvelle-Zélande, le Pérou, Singapour et le Vietnam. Cyberpresse 

C’est fou ce qu’on peut voir loin quand on a été des dirigés par des aveugles à cannes blanches et des chiens de guerre économique. C’était pas assez gros comme ça, il faut engrosser le nombre de marchands jusqu’à l’agonie triste de l’individu. Au final, on est "commercés" comme des outils de mondialisation, ou de libre-échange, par une tribu de cravatés qui carburent au "BIG", à se fourrer de l’argent dans les narines. On dirait des bébés qui ont été sevrés par des banques.

Sapristi ! Mary Shelley et son Frankenstein peuvent aller se faire voir à Holly Wood ! Le monstre qu’on nous prépare est inutile pour le citoyen. On se fout de 2050. Personne ne peut prévoir ce qui se passera en 2050. La ligne du bonheur en attente du grand show de "Je serai heureux demain" s’allonge. C’est comme se faire friser avec 3000 bigoudis. Ça frise davantage sur la même tête ? Ah ! bon. Aussi bien s’informer auprès de son coiffeur. Parlant chienéma, il peut au moins lire votre avenir dans vos pellicules.

Mais bon ! Faut être sérieux comme des papes en train de faire faillite because trop en manque d’ agenouillés. Mais on est encore plus à genoux devant la rat-caille qui se fait des projections jusqu’à ce qu’ils meurent étouffés par leur nœud papillon. Ça fait British et High Class. Et intelligent... Le concept "is in your head".

Dites-vous que le libre-échange avec des milliards de vendeurs-acheteurs c’est pour le peuple. Vous êtes religiosés bis. Avec la cérémonie à l’eau Naya embouteillé parfois en Afrique, mais défendu d’en boire quand il s’en échappe des usines.

You may say I’am a dreamer... John L. 

Tout le monde rêve d’un monde meilleur. Pas une "banque meilleure". Les amérindiens avaient bien compris leur rapport à la Terre et à la Vie. En ce sens, ils étaient plus utiles que la formule d’Einstein. Quand tu te lèves le matin, tu ne te demande pas à quelle vitesse voyage la lumière et le reste... Non ! Tu demandes comment va être ta journée. Et dans le panier du bonheur, on t’annonce une voiture "autoconductrice". Tu peux fermer les yeux, la programmer, et elle te conduira là où tu veux aller.

C’est charmant !

Mais ça ne résout pas le problème de la pauvreté dans le monde. Ni la souffrance des guerres allumées par les pays qui fabriquent des armes. Ni - SURTOUT - le grand déménagement des humains cherchant la paix. La vie et le plaisir de vivre. C’est le droit le plus fondamental. Le reste ressemble à cet Hitler qui avait créé des lois pour protéger les animaux, qui avalait au moins 28 comprimés par jour, dont des amphétamines.

Dans la grande fenêtre du futur, le monde est en mode kaput. Affolé, déchiré, appauvri, perdu, toujours plus pauvre, toujours moins heureux, encore moins simple. Mais, oui mais, on a tous le droit dans les pays "développés" d’avaler des médicaments dudit "drugstore" pour se retrousser un peu.

C’est charmant !

Heil Banskter ! 

On dit qu’Hitler avait été sauvé de la noyade à 4 ans par un prêtre... Je ne sais pas comment le prêtre il a été reçu par "dieu" qui connaît tout, mais il a dû passer par le purgatoire. La question à se poser : jusqu’où faut-il être "bon" ? Snif ! On est tentés... Sauver un pauvre petit bonhomme en train de se noyer. Un futur peintre. Un futur peintre comme un futur bienfaiteur de l’humanité présument visionnaire.

Un jour, si vous voyez un de ces visionnaires-banksters en train de se noyer, envoyez-lui trois caisses d’eau Naya - ou autre marque - afin qu’il puisse poursuivre ses meetings dans l’eau-delà.

Et le plus vite possible afin qu’il ne bousille pas notre vie ici bas...

Gaëtan Pelletier, Juillet 2050

 

 

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Cuba, Fidel et le Che - ou l’aventure du socialisme
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Voilà notre livre, il est enfin sorti de l’imprimerie, tout chaud comme un petit pain… Il faut que je vous explique de quoi il s’agit, comment se le procurer s’il vous intéresse et comment organiser des débats autour si bien sûr vous êtes en mesure de le faire… Danielle Bleitrach D’abord sachez que ce livre inaugure une collection du temps des cerises, collection qui portera le nom "aventure du socialisme" Je reviendrai sur cette idée du socialisme comme aventure. L’idée (…)
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"L’Occident a dominé le monde non pas par la supériorité de ses idées, de ses valeurs ou de sa religion mais par sa supériorité à recourir méthodiquement à la violence. Les occidentaux l’oublient souvent, les autres ne l’oublient jamais."

Samuel P. Huntington

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