Rosa Moussaoui
Le 2 décembre, Alexis Tsipras, à Athènes, s’engageait « à en finir sans attendre avec le plan de l’Union européenne et du FMI ». Photo : Petros Giannakouris/AP
Adossé à un travail sérieux de chiffrage des dépenses et des recettes (13,5 milliards d'euros annuels), le programme économique de Syriza dessine, selon les termes d'Alexis Tsipras, une "sortie de crise fondée sur l'idée de progrès et de justice". Il implique l'effacement de la dette jugée illégitime.