RSS SyndicationTwitterFacebook
Rechercher

Angleterre : un médicament innovant contre le surplus d’intelligence !

Une entreprise anglaise a lancé sur le marché un médicament innovant qui enlève jusqu’à 50 points de QI à celui qui le prend. Les inventeurs assurent que ce médicament sera utile pour ceux qui sont fatigués de l’inertie de leur entourage.

La vidéo diffusée au nom d’un neurologue identifié comme le "Cornelius Grouppe’ soutient que la majeure partie de la population de la planète ne pourra jamais arriver à être mieux prête. "Vous avez à vous changer vous-mêmes, car vous êtes minoritaires", suggère-t-elle.

L’évaluation qualitative du médicament appelé MinusQI est basée sur l’échelle de Hans J. Eysenck, l’une des plus répandues pour mesurer l’intelligence. Les gens dont le QI est supérieur à 130 * sont très malheureux de se rendre compte qu’ils sont entourés de gens en majorité bêtes et ignorants.

Il est nécessaire dès lors de diminuer volontairement son intelligence, assure le Dr. Cornelius. Le niveau optimum équivaut à un QI de 70 points. De cette façon le niveau intellectuel sera suffisant pour nouer les lacets de ses chaussures ou pour écrire une chanson dans le style rap. Deux pilules par jour peuvent abêtir un patient moyen précisément jusqu’au niveau souhaité.

Mais tous les effets de l’utilisation du MinusQI ne sont pas positifs, prévient le supposé neurologue. Il y a aussi des effets secondaires qui pourront faire devenir quelqu’un raciste, sexiste, ou extrêmement intolérant. Mais cela n’empêcherait pas, dit-il, que la vie en général s’en trouverait facilitée.

Russia Today

* Au test de la WAIS (Wechsler Adult Intelligence Scale) , l’un des plus pratiqués en France, il est nécessaire d’avoir un QI de 130 points terminer des études universitaires.

URL de cet article 19883
   
Dominique Fernandez : Ramon
Bernard GENSANE
(Paris, Grasset, 2008) La lecture des livres de Dominique Fernandez (romans, livres de voyage, photographies) m’a toujours procuré un très grand plaisir. Avec, cependant, deux petits bémols. Pour se rassurer, j’imagine, Fernandez éprouve le besoin d’en faire des kilos, d’écrire jusqu’à plus soif. Dans son très beau livre sur Tchaikovski, par exemple, s’il ne nous décrit pas trois cents rues et artères russes, il n’en décrit aucune. Dans son Ramon, il nous inflige, par le menu (c’est le cas (…)
Agrandir | voir bibliographie

 

« L’ennemi n’est pas celui qui te fait face, l’épée à la main, ça c’est l’adversaire. L’ennemi c’est celui qui est derrière toi, un couteau dans le dos ».

Thomas Sankara

© Copy Left Le Grand Soir - Diffusion autorisée et même encouragée. Merci de mentionner les sources.
L'opinion des auteurs que nous publions ne reflète pas nécessairement celle du Grand Soir

Contacts | Qui sommes-nous ? | Administrateurs : Viktor Dedaj | Maxime Vivas | Bernard Gensane
Le saviez-vous ? Le Grand Soir a vu le jour en 2002.