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Tunisie : Stoppons la mascarade de ce pouvoir …

Marzouki, machine à discourir, s’est montré démagogue, populiste s’accrochant à une parole en déphasage avec le pays réel et sa paupérisation.

Comment peut-on expliquer l’absence du gourou et de son « substitut » des « festivités » organisées à Bouzid pour commémorer le 17 décembre ? Comment Marzouki et Ben Jaafar se sont-ils fait piéger en ramassant la colère et les pierres des bouzidiens ? Pourquoi les services de renseignement de l’intérieur ont-ils omis d’informer les deux premiers responsables du pays des risques de dérapage de la part des populations ? Comment Marzouki et MBJ vont-ils interpréter cette agression-humiliation grave, jamais enregistrée dans notre pays ? Si cet évènement aussi explicite désavouant le pouvoir actuel n’infléchit pas sa pratique et sa « politique », grand est le risque d’un vide au niveau des institutions de l’Etat de droit. Marzouki et MBJ doivent démissionner pour sauver l’Etat car discrédités voire « grillés ». Ils ne représentent personne sauf eux-mêmes. Deux personnages pitoyables voire méprisables par leur acharnement à s’agripper au pouvoir alors que le peuple les rejette … par des jets de pierres.

Marzouki, machine à discourir, s’est montré démagogue, populiste s’accrochant à une parole en déphasage avec le pays réel et sa paupérisation.

Comment expliquer l’absence massive des hauts dignitaires des islamistes à cette manifestation ? Est-ce l’aveu non-dit de leur non participation à la « révolte » populaire -et partant de leur récupération de celle-ci en accaparant le pouvoir.

Qu’ils partent tous, qu’ils quittent la scène ! Que cette pièce de théâtre comico-tragique prenne fin et que de nouveau l’Etat de droit retrouve sa légitimité grâce au peuple souverain.

Mustapha STAMBOULI

URL de cet article 18706
   
Donde Estan ? ; Terreurs et disparitions au Pérou (1980-2000)
Daniel Dupuis
La pratique des arrestations illégales, des tortures et des exécutions en dehors de tout procès régulier puis de la dissimulation des dépouilles (d’où le terme de « disparus ») est tristement célèbre en Amérique latine où les dictatures ( l’Argentine de la junte militaire, le Paraguay dirigé par le général Alfredo Stroessner, le Chili tenu par Augusto Pinochet...) y ont eu recours. De 1980 à 2000, sous un régime pourtant démocratique, l’armée du Pérou n’a pas hésité à recourir à la terreur (…)
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Le Capital a horreur de l’absence de profit. Quand il flaire un bénéfice raisonnable, le Capital devient hardi. A 20%, il devient enthousiaste. A 50%, il est téméraire ; à 100%, il foule aux pieds toutes les lois humaines et à 300%, il ne recule devant aucun crime.

Karl Marx, Le Capital, chapitre 22

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