Nous sommes déjà semi-esclaves et cela ne m’étonnerait guère vu l’escalade dans le déni et le déclin de toute moralité, les consciences de ceux qui pilotent sont devenues des coffres-forts. Les nôtres dorment dans le formol ou bien sont congelées donc si de la misère on peut fabriquer de la richesse , il arrivera un jour où le travail sera non
rémunéré pour bien sûr redresser l’économie...
Vidée, plus le courage de rien...