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Le Grand Soir ETAIT un peu chez lui à la fête de l’Humanité.

LGS était présent à l’inauguration de l’espace ALBA-TCP (Alliance bolivarienne des peuples de notre Amérique-Traité de Commerce des Peuples) en présence des ambassadeurs du Venezuela, de l’Equateur, de Cuba et de Bolivie, de Pierre Laurent et de Jean-Luc Mélenchon qui a fait un discours enflammé. Dans le public, entre autres, Jacques Nikonoff, Maurice Lemoine et plein de gens à qui on serre la main.

LGS a signé à l’espace de Cuba-Si dans la fumée de cigares et les effluves de rhum et près de Wolinski qui nous a piqué plein de lecteurs potentiels. Pfff !

Maxime Vivas s’est payé une entorse au pouce à force de signer ses livres et surtout celui sur le dalaï-lama que l’Humanité avait eu la bonne idée de chroniquer deux jours avant la fête.

Viktor Dedaj a signé partout où il pouvait s’asseoir derrière une table et il a rencontré des lecteurs du GS à la pelle, surpris de le voir sourire rire et discuter comme quelqu’un de gentil (quasiment zen) et même déambuler sans gardes du corps (authentique !).

Le dimanche à 17 H30 au stand du Venezuela pour le débat sur "Les médias et le Venezuela" animé par "Ignacio RAMONET, président de Mémoires de luttes et directeur du Monde diplomatique en espagnol, Maxime Vivas a dit plein de mal des médias d’opposition vénézuéliens, de certains médias français, de RSF (c’est son dossier attitré au GS) avant de filer se réfugier à Toulouse ("Sur son tas de compost" comme a dit un chef bouddhiste parisien), laissant Viktor Dedaj prendre la relève devant un public de lecteurs et de futurs lecteurs du GS.

A part ça, des contacts nombreux, de nouveaux amis, un avocat près à défendre LGS contre le fâcheux qui nous poursuit et, tenez-vous bien, pas un seul coup de manches de pioches sur la tête alors qu’un informateur infiltré nous avait signalé la présence sur la fête d’adeptes de ceux qui préconisèrent cette méthode pédagogique pour faire évoluer LGS dans le bons sens.

Quoi d’autre ? Des moules-frites entre amis et famille, des empanadas et des arepas, des hot-dogs moutardés, mollo sur l’alcool, des embrassades et des discussions.

Un bon week-end, quoi.

URL de cet article 14546
   
Roberto Saviano. Gomorra. Dans l’empire de la camorra. Gallimard, 2007.
Bernard GENSANE
Il n’est pas inutile, dans le contexte de la crise du capitalisme qui affecte les peuples aujourd’hui, de revenir sur le livre de Roberto Saviano. Napolitain lui-même, Saviano, dont on sait qu’il fait désormais l’objet d’un contrat de mort, a trouvé dans son ouvrage la bonne distance pour parler de la mafia napolitaine. Il l’observe quasiment de l’intérieur pour décrire ses méfaits (je ne reviendrai pas ici sur la violence inouïe des moeurs mafieuses, des impensables tortures corporelles, (…)
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« (...) on a accusé les communistes de vouloir abolir la patrie, la nationalité. Les ouvriers n’ont pas de patrie. On ne peut leur ravir ce qu’ils n’ont pas. Comme le prolétariat de chaque pays doit en premier lieu conquérir le pouvoir politique, s’ériger en classe dirigeante de la nation, devenir lui-même la nation, il est encore par là national, quoique nullement au sens bourgeois du mot. »

Karl Marx, Friedrich Engels
Manifeste du Parti Communiste (1848)

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