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Argent et politique virtuels

Argent et politique virtuels

quel rapport y-a-t-il entre un bourg cévenol, les casaniers de l’apocalypse…,

Ca commence comme ça : « …Un jour de juin, à Sumène, bourg charmant lové dans l’écrin des Cévennes, 288 habitants se rendirent aux urnes et déposèrent un bulletin du Front National. » et ça continue comme ça : « …Les casaniers de l’apocalypse » ou winners se disent *élus des ou de Dieu (peuple élu, individu élu, etc.) en opposition « aux losers damnés »… de la terre !, (utopistes, gauchistes, insurgés, anarchistes, etc.)

* Ca s’appelle marquer son territoire : je déambulais tranquillement dans les allées d’une « grande surface », quand soudain surgit un "winner" (un individu travesti en mec « qui a réussit et qui veut le faire savoir à tout prix ! ») poussant un chariot débordant de marchandises, beugla en m’apercevant : « Tiens, voilà la crème ! », en me fonçant délibérément dessus avec son chariot lourdement chargé. C’est du racisme (in vivo) social !, de la ségrégation sociale !, ou je n’y connais rien !... J’esquivai la charge du bouffi d’importance, - parade qui me replongea dans ces longues années de pratique où j’enseignais gratuitement l’Aïkido, et rêvais de partager cet art de défense à mes frères et soeurs anarchistes -, et lui restituait illico son (ô combien inutile) agressivité…) le "winner" s’esbigna rapidos la queue entre les jambes, un point à zéro !….

et un couple de chercheur, Pinçon et Charlot-Pinçon, qui allume des mèches un peu partout (mais certainement pas au hasard !) pour vraisemblablement allumer de beaux feus d’artifice ?…

Après avoir ingurgité le pavé du sieur, Joseph E. Stiglitz, intitulé : « Le prix de l’inégalité » (il y a trop à en dire…, car, après nous avoir gratifié d’un autre pavé, intitulé : * « Le triomphe de la cupidité », où l’on plongeait directement dans les fosses nauséabondes de la finance (via les paradis fiscaux), dans cet autre pavé il est question de prix à payer, et par conséquent… de passage obligé par la caisse pour régler une addition !…, pas la notre, non…, mais celle des dominants, - pour faire court, et comme il l’a si bien écrit - les banquiers et les spéculateurs ; sauf que jusqu’à présent, c’est le peuple qui paie, et lui seul ! Qu’il c’est fait salement entubé, et pas qu’un peu, et dans les grandes largeurs même !...

Jusqu’à quand ? Mystère et boule de gomme…

* un rival essaie de lui voler la vedette en publiant un texte ennuyeux et très, très orienté (dans le sens du poil, bien entendu !), dans lequel ce petit, ce tout petit môssieu écrit que la France ferait exception à la règle (pensez, un "pays de hauts revenus" !…), et qu’elle serait à l’abri des inégalités (inégalités qui auraient même diminué ! Incroyable, non ?), et qui pousse la mystification jusqu’à intitulé ce tissu de mensonges : « la mondialisation de l’inégalité ». Ah, j’oubliai… encore un ou deux détails, môssieu sévissait à la banque mondiale en tant que chef économiste (ceci explique cela) et pantoufle actuellement dans une école d’économie (ce n’est pas une science exacte, loin de là  !) à Paris, se glorifiant d’être LE grand spécialiste des inégalités… (de traitements, et comme dirait l’autre (un ponte de la BCE) : « Vous n’avez pas la bonne grille de lecture, pour décoder tout ça ! ») et pour en finir avec ce piquet (pilier serait excessif) néolibéral, il écrit : « Les pages nous manquent pour discuter de la régulation qu’il serait bon d’appliquer au secteur financier », ben voyons ! Comme tout grand mégalo qui se respecte (genre roi, empereur ou Père Ubu) il cause de lui à la première personne du pluriel… merdre de merdre !...

de beaux feus d’artifice, donc…

De bien méchantes langues écrivent (c’est de bonne guerre, puisque guerre de classe il y a…) que ce brûlot ne serait pas à la hauteur et même que ce serait un « livre-règlement de compte » (contre l’ancien locataire élyséen, sarkozy, qui, soit dit en passant, a été promptement éjecté (lui et sa famille !) des palais de la république, et malgré cela, lui (en sous-main comme d’habitude) et ses "amis" essaient de nous le refourguer à tout prix, parce que les Français seraient déjà très déçu du nouveau monarque républicain ; qu’ils se rassurent une bonne fois pour toute (lui et ses "amis"), il sera encore et toujours tricard dans la maison France, comme son prédécesseur, Giscard, le fut avant lui… ), d’ailleurs, pour mieux le dézinguer, l’un des détracteurs le ré-intitule « salauds de riches » (pour paraphraser le titre d’un précédent bouquin « Le président des riches »). Et si vous n’avez pas encore compris, toujours ce même détracteur (ainsi que beaucoup d’autres petits malins qui les dézingues à tout va, des fois qu’on prendrait les Pinçon et Pinçon-Charlot, trop au sérieux) sont détenteurs de la science infuse…, eux savent tout sur tout, vous pas… tenez le vous pour dit !... et tout particulièrement en ce qui concerne * l’économie (alternative ?), c’est leur exclusivité !…, ce couple de chercheurs, de surcroît experts ! (ce n’est évidemment pas un compliment) en sociologie des classes dominantes, pousseraient un coup de gueule, mais leur virulence n’emporterait pas toujours (leur) adhésion (c’est le contraire qui aurait été étonnant). Vous avez dit économie alternative ?, à DAda sur son bidet, quand il trotte il fait des pets, proutt !, proutt, proutt !…

* Ce n’est toujours pas une science exacte, il n’est que de se remémorer la cacophonie (et l’incrédulité non-feinte) qui régnait parmi les spécialistes (médiatisés ou pas) de l’économie ; confusion survenant juste après l’éclatement de la bulle financière (que ces messieurs-dames traduise par purge) et la crise systémique monstrueuse qui s’ensuivit (en 2008 ) ; au départ, il s’agissait d’une crise du crédit bancaire, qui fut rapidement rebaptisée (pour les besoins de la cause) en crise de « Subprimes mortgage » , à cause de ces "salauds" de pauvres qui furent désignés et dénoncés comme étant (nécessairement) les vrais coupables ! Pensez donc, ces cohortes de pauvres, prétendants à la propriété sans un sou vaillant en poche !..., bandes de « va-nu pieds » ! Trop nombreux, pas ou peu organisés…, c’était pour la caste des dominants un coup extrêmement facile, et grâce à leurs relais médiatiques ils purent retourner aisément l’opinion publique… en semant le doute dans les esprits…, puis le flot d’informations continues opéra et fit le reste (pensez, ils détiennent tous les grands médias), emportant tout sur son passage, et furent rapidement oubliés, à tel point qu’ils purent tranquillement continués leurs turpitudes.

Plus sérieusement, ce livre réaffirme quelques évidences, preuves à l’appui (ça ne fait pas de mal de se répéter un tant soit peu), il y a quelques lacunes tout de même, comme celle-ci par exemple, (d’où le titre du présent article), il n’y a pas que l’argent qui soit (devenu) virtuel, la politique itou.

Les * ¡Indignados ! (et une grande partie du peuple espagnol), le peuple grec (quasiment dans son ensemble) refusent l’ersatz démocratique dit d’"alternance", ce qu’ils réclament tous c’est une démocratie réelle ;

quelle "alternance" ?

Y-a-t-il alternance entre une droite soi-disant républicaine, qui à des fins électoralistes flirte ouvertement avec le FN, pillant une partie de son programme - à l’exemple de ce courant d’extrême droite honteuse au sein de l’ump, la Droite si peu populaire - et revendique même des valeurs communes (c’est aussi le cas dans de nombreux pays européens, tout particulièrement en Hongrie, où il ne s’agit plus de simples dérives avec l’extrême-droite - même si celle-ci est banalisée - mais de revendiquer clairement son affiliation à ses thèses et même d’être en quelque sorte leur "porte-drapeau" européen), ainsi qu’aux Etats-Unis avec l’acception et l’intégration dans l’arène politique du Tea party comme partenaire tout-à -fait acceptable, voire honorable), et une social-démocratie louangeant ouvertement l’idéologie néolibérale (ou ultralibérale, c’est du pareil au même !), ils réfutent une quelconque appartenance au thèses d’extrême droite, mais adopte une idéologie économique qui s’en inspire très énergiquement.

Tous ces gens n’en peuvent plus et ne veulent plus d’un système obsolète ne représentant que lui-même, c.-à -d., une toute petite fraction de la population mondiale (c’est pour cette raison que cette minuscule fraction est foutrement efficace (et extrêmement néfaste), car elle est à la fois très solidaire de sa classe et très agissante dans la lutte qu’elle mène contre 99% de l’humanité, et aussi parce qu’elle détient presque tous les moyens, une montagne de pognon, les haut-parleurs médiatiques, une gigantesque armée de serviteurs dociles), C’est pour toutes ces mauvaises raisons que sarkozy fanfaronnait si bruyamment de son côté lors de la contre-réforme des retraites par répartition (les Français le détestait aussi pour cela, car il était évident pour eux qu’il ne pouvait y avoir de courage à servir les intérêts d’oppresseurs ?), se ventant même d’être seul contre tous (alors qu’il savait pertinemment que des moyens énormes étaient mis à sa disposition pour écraser et humilier le peuple français - pas seulement le Medef, mais aussi la commission européenne, les Etats-Unis, etc. )

* Quand ils lèvent les mains en l’air, on a vaguement l’impression d’un braquage ; le peuple espagnol se fait braquer par le gang Rajoy (pro-franquiste en diable…, et il ne s’en cache pas le bougre !..., ni son appartenance à la tendance Goldman Sachs, vous savez, ce fameux gang de pilleurs internationaux, qui prétend étendre ad aeternam sa dictature économico-idéologique au monde, bien connu de tous les peuples de la terre), quand celui-ci parle de rétablir l’ordre (nous savons tous parfaitement de quoi il en retourne ! lui aussi d’ailleurs, car quand son chef de la "sécurité" - sécurité ? en tout cas pas pour le peuple espagnol ! - envoi un SMS intimant à ses troupes l’ordre de cogner fort !... on ne peut être plus clair sur leur conception de la "démocratie"). Démocratie répètent-ils tous en choeur ? En tout cas pas la leur puisque réservée exclusivement à l’oligarchie, (oligarchie ou élite, ultra minoritaire de dominants), démocratie privatisée par et pour eux…, où seule la caste des dominants accumule quasiment tous les pouvoirs et tous les droits, y compris celui de détourner la loi… (par exemple en l’interprétant à son avantage…), ou pour imposer aux peuples - c.-à -d. au reste de l’humanité - la doctrine et l’idéologie dominante ; tous les moyens sont bons pour y parvenir (dont le plus efficace d’entre eux est très certainement la division…), avec une telle masse de moyens, on est même étonné qu’ils n’y soient pas parvenus beaucoup plus tôt. Mais malgré l’apparente victoire, nous sommes beaucoup plus nombreux qu’eux, des milliards de fois plus nombreux, et mathématiquement ils ne pourront pas nous échapper…, Vengeance !

supprimer l’oligarchie politique en supprimant *le cumul des mandats

* et pas seulement le cumul des mandats, on peut y ajouter la limitation à un seul mandat électif à vie pour tout prétendant à une élection, la révocabilité immédiate de l’élu (c.-à -d. automatique, et quel que soit le mandat qui lui aura été confié), s’il est incontestablement prouvé qu’il est impliqué lui et son entourage directement ou indirectement dans une ou des malversations, fraudes, et toutes autres turpitudes… ceci éclaircirait les rangs du personnel politique ! fini « la noblesse d’Etat » (excellente expression tirée de l’ouvrage en question : « l’argent sans foi ni loi », ce n’est évidemment pas la seule, il y a des tas d’exemples sémantiques, rhétoriques ou de phraséologie tirées du catéchisme néolibéral) et les dynasties politicardes… l’instruction civique devant être revitalisée (dès l’école primaire), on croirait entendre les conseils de l’ami Cornélius Castoriadis, que j’écoute avec beaucoup d’attention, lors de ses interviews et ses nombreuses interventions radiophoniques.

Certes, mais quand ils préconisent l’inscription automatique sur les listes électorales ou encore de rendre le vote obligatoire, bien que leurs intentions paraissent respectables, et qu’il s’agit d’empêcher les professionnels de la politique (trop souvent complices ou initiateurs de turpitudes diverses et variées) de faire carrière afin de restituer au peuple ce qui lui revient de plein droit, le pouvoir, et pour que ledit pouvoir soit réellement représentatif, je crois malgré tout qu’il y a bien d’autres moyens d’y parvenir.

Comme l’abstention ou le boycotte massif des bureaux de vote, * pour rendre caduque ce système électif de démocratie représentative (si peu), ces actions politiques me paraissent tout aussi appropriées. Et si on désire vraiment que le peuple s’approprie à nouveau le pouvoir, c.-à -d., qu’il décide réellement sans passer par le mauvais vouloir de pseudo-représentants, décrétons immédiatement que toutes décisions importantes soient prisent en concertation et uniquement collectivement (tous ensemble, tous ensemble, ouais, ouais…) et non plus par le biais d’un groupe de soi-disant représentants… Les chefs, guides suprême ou autres, on n’en veut plus… ! Qu’ils aillent au diable !

* que toute élection ne totalisant pas un certain quorum (par exemple, 30, 35 ou 40% de bulletins exprimés) soit automatiquement invalidée, et que la soi-disant "représentation nationale" soit dissoute !
Tout le monde sait depuis belle lurette que les votes blancs ne sont jamais comptabilisés dans les résultats électoraux, que le cumul des mandats et l’un des moyens utilisé par le personnel politique pour confisquer le pouvoir au peuple, sans parler évidemment du taux d’abstention (bien que celui-ci soit en constante augmentation à chaque "rendez-vous" électoral), comme le disait si bien, Barbier de sévices, (démocrate aux normes de Sciences-Po, c.-à -d., toujours du côté du manche !), « les abstentionnistes, ça ne comptent pas ! », bien vu l’aveugle !, mais les Barbiers and C°, d’ici peu, ça ne comptera pas beaucoup non plus !...

Allez…, portez-vous bien et à bientôt sans doute ? sergio

PS : Dans l’ouvrage cité plus haut, « L’argent sans foi ni loi », il y a de la lecture pour « les défaitistes râleurs en couillons réformistes », notamment pour les bouchés à l’émeri qui n’aurait rien compris à l’importance du référendum populaire de 2005 et au déni de démocratie qui s’ensuivit (déni ? c’est un euphémisme !), un vrai régal ! (avec cette recommandation essentielle, l’abrogation de l’article 123 du traité de Lisbonne (l’abrogation pure et simple de ce traité m’irait comme un gang !), cet article stipule qu’ « il est interdit à la Banque centrale européenne (BCE) et aux banques centrales des Etats membres d’accorder des découverts ou tout autre type de crédit institutions, organes ou organismes de l’Union, aux administrations centrales, aux autorités régionales, aux autres autorités publiques, aux autres organismes ou entreprises publics des Etats membres : l’acquisition directe, auprès d’eux, par la Banque centrale européenne ou les banques centrales nationales des instruments de leur dette est également interdite » et c’est à cause de la collusion entre l’ump (la droite républicaine, dans le sens où l’entende les adeptes du Tea party) et le ps (la social-démocratie à la Blair, Zapatero ou Schröder, grands adorateurs de la realpolitik), nous n’en serions certainement pas là aujourd’hui !..., des dizaine de milliers d’emploi détruits, l’augmentation impitoyable de la précarité en Europe, etc., etc., ressasser ou radoter, sans doute…, mais en ce qui concerne l’évocation de ce maudit traité européen (et le mépris affiché par le personnel politique envers le peuple français et les résultats du référendum populaire, tout à fait légitime et totalement démocratique) ce n’est certainement pas le cas… à bon entendeur !

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