Nicolas Maduro, comme Elias Jaua, comme Tareck el Aissami, comme une foule d’autres au Vénézuéla, et comme les présidents d’autres pays d’Amérique Latine qui ont échappé aux tentatives de meurtre émanant des USA et de leurs alliés (dont la France, ne l’oublions pas), malgré leur tristesse personnelle et le manque durement ressenti au niveau politique d’un orateur comme Hugo Chavez, ne laisseront pas l’Amérique Latine se faire à nouveau broyer par les serres des prédateurs fous.
Rafael Correa, Raul Castro, Evo Morales, Daniel Ortega, eux aussi, ont fait la preuve de leur courage, de leur force, et de leur détermination et, eux aussi, paient quotidiennement le prix de leur dévouement à la population de leur pays. Oui, Messieurs les banquiers, ils paient et ne s’enrichissent pas matériellement ! Vous ne pouvez peut-être pas comprendre...
Pour rire (jaune) : en Février dernier, il émanait des USA, par la bouche de Wendy Sherman, des "voeux de prompt rétablissement" de crocodile à Hugo Chavez "Attendons de voir ce qui se passe. Tous espèrent qu’il se rétablira et que la vie continuera (...) C’est un sujet d’ordre privé et je n’en sais pas plus que vous (...) Cependant, nous avons des points de vue différents sur ce que devrait être le futur du Vénézuéla."
"Différents" dit-elle... Certainement ! Fort différents de l’esclavage généralisé, comme autrefois, mais avec les techniques d’aujourd’hui ! Il y avait déjà l’hypocrisie et le mensonge, la torture et l’intimidation, mais aujourd’hui, il y a aussi la géolocalisation à quelques mètres près, les puces RFID, les drogues psychotropes, et un développement bien plus perfectionné de l’armement de l’esclavagiste, médias compris. En fait, ce n’est pas une "différence", c’est un combat contre !