La déclaration du prince héritier saoudien, Mohammed ben Salmane, sur le « droit » d’Israël à son « Etat-nation » ne constitue pas une surprise. Elle entre de plain-pied avec la politique inaugurée par le roi Salmane Al Saoud depuis son avènement à la tête du Royaume wahhabite.
Sept ans ! La guerre de Syrie entre aujourd’hui dans son huitième épisode, avec sa cohorte de drames, de morts et ses victimes collatérales. Sept ans après la tragédie syrienne, d’aucuns en sont encore à se demander le pourquoi de ce conflit.
Le secrétaire général de l’ONU, Antonio Guterres, s’est trouvé dans la posture de faire la manche « A vot’ bon cœur m’sieurs-dames » pour avoir des dons – nous allions écrire des aumônes – en aide aux millions de Palestiniens, soudain dépossédés du peu que les Nations unies pouvaient leur procurer pour leur survie.
Le Pentagone a-t-il ouvert la boîte de Pandore ? Tout le laisse croire si l’on excipe des réactions indignées de la Russie et de la Chine, notamment. Ainsi, le rapport du Pentagone sur la nouvelle « Posture nucléaire » des Etats-Unis a jeté un pavé dans la mare ravivant les tensions sur un vecteur sensible, celui de l’armement atomique.
Trump reconnaît Jérusalem en tant que « capitale » d’Israël. O.K.! Il vient d’en prendre la décision. Cela résout-il, ou va-t-il résoudre, pour autant, un contentieux vieux de 70 ans ? Certes non, loin s’en faut !