Je reviens d’un séjour d’une semaine dans cette île minuscule qui s’appelle Cuba. Elle fait souvent parler d’elle, cette perle des Antilles. Dernièrement, ce fut pour des raisons qu’elle aurait préférées autres : les cyclones qui ont ravagé le pays de bord en bord (d’une mer à l’autre, pour reprendre une expression familière d’ici) et deux fois plutôt qu’une, semant la désolation et la consternation un peu partout et retardant certainement de plusieurs mois tout l’élan entrepris il y a peu pour augmenter significativement la production agricole.