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Thème : Posada Carriles (Luis)

Terrorisme : lettre de juillet à Obama

Jacqueline ROUSSIE
Monsieur le Président, Une découverte macabre a été faite il y a deux mois dans la commune argentine de Virreyesú. Les ossements humains, retrouvés dans un baril de ciment, ont été identifiés. Il s’agit des restes du diplomate cubain Jesús Cejas Arias, disparu en août 1976 sous la dictature de Jorge Varela. Cet homme avait disparu en même temps que son collègue Galañena Hernández. Les restes de Galañela Hernández avaient été retrouvés et identifiés en 2012. Ils se trouvaient aussi dans un baril de ciment. Ces deux jeunes diplomates Cubains de 22 et 26 ans avaient été séquestrés dans le centre clandestin de l’Opération Condor de Buenos Aires, Automotores Orletti. Votre concitoyen Guillermo Novo Sampol, membre de la sinistre organisation CORU créée par Orlando Bosch, était venu spécialement des Etats-Unis pour participer à un interrogatoire musclé de ces deux Cubains. Tortures, assassinats, la suite, nous la connaissons, hélas. Galañena Hernández Jesús Cejas Arias Orlando Bosch (…) Lire la suite »
États-Unis - Cuba

Après le scandale des « Cinq », la farce Posada Carriles

Maurice LEMOINE
De nationalité cubano-vénézuélienne, Luis Posada Carriles n'est pas citoyen américain. Il a bien été résident permanent aux Etats-Unis en 1962, mais il a perdu ce statut pour avoir passé plus d'une année hors du pays. Il ne peut donc y rentrer légalement. C'est pourtant avec l'objectif de passer ses vieux jours au « pays de la liberté » que, en mars 2005, il laisse derrière lui le Guatemala, traverse le Belize et se dirige vers Cancún, dans l'Etat mexicain de Quintana Roo. Jusqu'à son arrivée dans cette ville balnéaire, il a été aidé et assisté par des trafiquants de drogue appartenant au cartel centraméricain que dirige le mafieux Otto Herrera Garcà­a. A Cancún, Juan Carlos Riverol, alias « le prof », prend le relais. Lié à un groupe de « narcos » d'origine cubano-américaine - Les Marielitos - Riverol s'enrichit sur le dos de Cubains sans visas désireux de gagner les Etats-Unis en évitant les 145 kilomètres du détroit de Floride, infesté de requins... et de garde-côtes américains. (…) Lire la suite »

Etats-Unis : Le terroriste notoire Luis Posada Carriles est acquitté de toutes les charges qui pesaient sur lui

Radio havana Cuba
El Paso, Texas, 9 avril (RHC) - Le terroriste notoire Luis Posada Carriles a été acquitté par la Cour Fédérale d'El Paso, au Texas, des 11 charges pour parjure, fraude et obstruction de justice. La juge Kathleeen Cardone a reçu une note du jury qui avait délibéré en privé lui faisant savoir que les membres étaient parvenus à un verdict unanime : déclarer innocent ce terroriste notoire. Il n'était pas jugé pour terrorisme mais pour avoir menti aux autorités d'immigration des Etats-Unis au sujet de son entrée illégale dans ce pays. Dans des déclarations faites par téléphone depuis El Paso , Maître Pertierra avocat étasunien d'origine cubaine chargé de la demande d'extradition présentée par le Venezuela contre Posada Carriles a signalé qu'il reste encore en suspens à Caracas les 73 charges pour homicide qualifié pour la destruction en plein vol d'un avion cubain de passagers le 6 octobre 1976. « La République Bolivarienne du Venezuela continuera à lutter pour que justice soit (…) Lire la suite »
"Justice américaine" à Miami.

De quoi a peur le clan Posada Carriles ?

Sébastien MADAU

Le 10 janvier prochain, Luis Posada Carriles, terroriste considéré comme un héros par les organisations d’extrême-droite cubano-américaines implantées à Miami, comparaîtra enfin devant la justice américaine (1). La défense du terroriste refuse que la justice américaine utilise des témoignages et des documents en provenance de Cuba.

Mais en Floride, c'est un sentiment d'inquiétude qui règne. Comme si le procès allait dévoiler plus d'éléments que prévu. En effet, la défense de Luis Posada Carriles dénonce d'abord le fait que la juge Kathleen Cardone ait accepté comme évidences les documents que Cuba a remis au ministère public (3), soit 6300 pages sur la vague d'attentats commis dans des hôtels cubains en 1997 et 1998. Lors de son passage dans l'émission anticastriste A Mano limpia (Canal 41 / America TV), Arturo Hernandez, l'avocat de Posada Carriles, a également dénoncé le fait que le FBI avait souhaité interroger le terroriste Francisco Chavez Abarca, condamné en décembre par la justice cubaine à 30 ans de prison pour avoir posé des bombes dans ces hôtels cubains. Depuis, on a appris que la juge a refusé que la justice américaine puisse rencontrer deux terroristes emprisonnés à Cuba, dont Chavez Abarca, au motif que la demande est arrivée (étrangement) trop tardivement. Mais là aussi, que craignait (…) Lire la suite »

POSADA CARRILES : Cinq années à camoufler des décennies de terreur

Jean-Guy ALLARD
Il y a eu cinq ans déjà ce 15 juin que le Venezuela a sollicité au gouvernement des Etats-Unis l'extradition du terroriste international Luis Posada Carriles, peu après sa détention le 17 mai 2005 à Miami, état de la Floride. Bernardo à lvarez, ambassadeur de la République Bolivarienne du Venezuela à Washington a alors rappelé comment il avait demandé successivement, le 10 et le 13 juin, par des notes diplomatiques, tant l'arrestation que l'éventuelle remise de ce fugitif de la justice vénézuélienne, responsable de la destruction en plein vol d'un avion cubain qui a provoqué la mort de ses 73 occupants. Présente à la même conférence de presse, la vice-ministre des Affaires étrangères Delsy Rodrà­guez, a déclaré que « le compte à rebours de l'extradition de Posada Carriles a commencé » et a signalé que le dossier déposé comptait 500 pages où étaient documentés chaque aspect de la présence de Posada Carriles au Venezuela. L'avocat au dossier, José Pertierra, a ajouté qu'une telle (…) Lire la suite »
Un document déclassifié le révèle

Le « très bon ami » de Posada au FBI a enquêté sur les attentats de La Havane

Jean-Guy ALLARD
L'agent du FBI George Kiszynski, que Luis Posada Carriles a qualifié de « très bon ami » dans son entrevue du New York Times, a enquêté sur les attentats que ce terroriste international a avoué avoir provoqué à La Havane, en 1997, confirme un rapport officiel de la police fédérale nord-américaine déclassifié le 18 mai dernier. Le document de trois pages a été déposé comme un élément de preuve de plus, auprès du tribunal de El Paso, qui doit juger Posada sous divers chefs d'accusation, à une date toujours indéterminée. Rédigées le 13 novembre 1998, les deux premières pages du document déclassifié rapportent que le 17 juin antérieur « un examen sur le terrain de quatre détonateurs électriques A été réalisé à La Havane, Cuba » et donnent les « spécifications des spécimens examinés », de marque DuPont et e fabrication étasunienne. La troisième page - une lettre adressée explicitement au chef du FBI de Miami - se rapporte à trois échantillons d'explosifs examinés, en précisant que (…) Lire la suite »

AFFAIRE POSADA : Le procès, cette fois, est fixé au 11 janvier de l’an prochain

Jean-Guy ALLARD
Dure leçon pour qui continue à avoir foi dans le système judiciaire nord-américain : le procès de l'assassin, tortionnaire et terroriste international Luis Posada Carriles, dont les États-Unis prétendent ignorer le passé criminel, a maintenant été fixé au 11 janvier 2011, ce qui ne garantit en rien qu'il aura lieu. La juge Kathleen Cardone du Tribunal de El Paso, Texas, qui s'est toujours fait un plaisir de reporter cette affaire, a affirmé qu'elle ne tolérera aucune autre diversion ni n'ordonnera un autre report. Posada fait face à des accusations de fraude migratoire et de faux témoignage. La date a été annoncée au cours d'une audience à laquelle n'a pas assisté le vieil assassin en raison de « problèmes de santé » qui ne l'ont cependant pas empêché de « marcher » récemment à Miami aux côtés de la chanteuse Gloria Estefan, s'entretenir avec elle et de manger dans un luxueux restaurant de cette même ville. Au cours des différentes procédures qu'il a dû affronter au Panama (…) Lire la suite »

Le "cancer" de Posada Carriles : qui se paie la tête de qui ?

Jean-Guy ALLARD
Au cours de la dernière décennie, le terroriste international Luis Posada Carriles, a eu recours de façon systématique, à son état de santé, présumément mauvais, pour justifier le traitement privilégié que seuls ses liens avec la CIA expliquent et tenter d'échapper aux sanctions que ses victimes réclament. Depuis son arrestation au Panama, en 2000, quand il a tenté de placer 30 kilos d'explosifs militaires C4 dans un amphithéâtre où allait parler le leader cubain Fidel Castro, les avocats de Posada ont constamment cité et utilisé devant les tribunaux la longue liste de ses prétendus maux qui vont d'un cancer de la peau, au diabète et à l'arthrite. Alors qu'une cour du Texas vient de l'autoriser à comparaitre par téléphone « pour raisons de santé », aucune de ses prétendues maladies n'ont fait obstacle à sa récente participation à un rassemblement organisé par la chanteuse Gloria Estefan. Posada a été arrêté à Panama le 17 novembre 2000 avec un groupe de complices alors qu'il (…) Lire la suite »
La farce de El Paso continue

La CIA parvient à maintenir son agent hors de portée

Jean-Guy ALLARD
Le téléroman de dernière catégorie que s'est inventé la CIA pour maintenir en liberté son agent Luis Posada Carriles malgré ses crimes terroristes et confondre le public nord-américain, se poursuit allègrement : la juge Kathleen Cardone, de El Paso, Texas, chargée de l'affaire, a concédé au gouvernement des États-Unis un nouveau délai, cette fois jusqu'au 2 juin 2010. L'ordonnance de la cour a été signée par la juge texane le 12 avril mais n'a été connue jusqu'au dimanche 25 quand le président de l'Assamblée nationale de Cuba, interrogé par la presse à sa sortie du bureau de scrutin des élections municipales, a souligné que les cinq Cubains prisonniers aux États-Unis pour avoir infiltré des groupes terroristes de Miami sont privés d'exercer leur droit de vote. Selon Prensa Latina, Ricardo Alarcón de Quesada a alors révélé que pendant ce temps "on continue à reporter, grâce à des ententes entre le ministère public et le tribunal, le procès du terroriste Luis (…) Lire la suite »

L’impunité accordée par le gouvernement des États-Unis aux terroristes est un acte d’arrogance

Jean-Guy ALLARD
12e ANNIVERSAIRE DE L'ATTENTAT DU COPACABANA L'impunité accordée par le gouvernement des États-Unis aux terroristes est un acte d'arrogance Selon Livio Di Celmo, frère du jeune italien assassiné à La Havane en 1997 Jean-Guy Allard Face aux procédures dilatoires qui convertissent l'affaire Luis Posada Carriles en un « cirque », Livio di Celmo, le frère du jeune touriste italo-canadien assassiné le 4 septembre 1997 par un mercenaire à la solde de ce terroriste international, propose la mise en marche d'une recherche globale d'information qui permette l'inculpation des véritables responsables de telles injustices. « Rien ne changera tant qu'il n'y aura pas un véritable nettoyage des forces du mal incrustées dans le Gouvernement des États-Unis », raconte Livio di Celmo en entrevue depuis le Canada où il réside. « Nous devons faire face à la réalité telle qu'elle est. Le gouvernement américain, comme beaucoup d'autres sur cette planète, a dans ses structures une légion de (…) Lire la suite »