Roger Martin est un ami précieux et courageux. Il a des convictions et il les défend. Naguère, des fascistes musculeux, chassant en meute, ont voulu lui faire entrer dans le crâne (et dans les dents) l’idée qu’il se trompait de combat. Mais il persiste.
De retour de la fête de l’Humanité où il signait ses livres, il analyse avec lucidité le comportement de la presse face à cet événement et, plus surprenant, face à celui de Valérie Trierweiler.
De la belle ouvrage, pleine de surprises !
LGS
PS. Notez que la misérable photo du logo trouvée dans le Nouvel Obs pour commenter la fête 2014, date de... 2013. http://tempsreel.nouvelobs.com/societe/20140912.AFP5885/la-fete-de-l-huma-sous-le-signe-de-la-riposte-a-gauche.html?xtor=RSS-138
Je suis lecteur de l'édition en ligne d'un journal de gauche. Il m'arrive souvent d'y prélever un article pour le proposer à un autre site de gauche qui souvent le publie à son tour.
Journaux, télés, les idéologues libéraux sortent l’artillerie lourde, maniant slogans bidon et enquêtes biaisées. Cible préférée : la CGT. Objectif clair : alors que monte la colère sociale, dresser l’opinion publique contre les éventuels empêcheurs de « réformer » en rond.
L’Humanité a publié au fil des années plusieurs entretiens avec André Carrel, qui fut l’un des principaux responsables de la Libération de Paris. Jusqu’en avril 1945 il participe à la nouvelle administration de la Capitale. Il entre à l’Humanité à la fin de l’année 1946, avant de devenir rédacteur en chef de L’Humanité Dimanche de 1957 à 1981. Il est décédé le 17 décembre 2011. A l’occasion du 69ème anniversaire de la libération de Paris, son témoignage nous est précieux.
L’Humanité.fr a rendu compte de l’hommage du FN à Pierre Mauroy dans un article qui, s’il n’a pas varié, a vu son titre évoluer au fil des heures.
D’abord : « L’hommage unanime de la classe politique à Pierre Mauroy » est devenu celui de « nombreux responsables politiques... », pour se fixer (peut-être ?) sur « Vagues de réactions... »
Une réponse objective a un article subjectif paru dans les pages du journal L’Humanité du 1er mars 2013...
Une barricade n’a que deux côtés, et dans la lutte des classes, c’est l’enfer des pauvres qui fait le paradis des riches, d’où notre volonté de supprimer les classes pour n’en faire qu’une, celle des travailleurs pour que tous vivent sans être ni pauvres ni riches, mais libérés de l’exploitation capitaliste. Ce n’est pas ce qui est dit dans l’Huma !