Quand les mensonges atteignent leur but et se pétrifient en statues difficilement démontables, la vérité, qui n’a jamais cessé d’avancer, finit par arriver.
Et donc, si le livre de Maxime Vivas (https://www.legrandsoir.info/qui-est-maxime-vivas-ce-francais-qui-denonce-des-fake-news-sur-les-ouighours-et-fait-le-bonheur-de-pekin.html) a pu faire (mars 2024) la démonstration que la campagne sur les Ouïghours est une création de la CIA, il ne pouvait intégrer le document suivant, publié en avril, et qui apporte bien des détails qui corroborent (et plutôt dix fois qu’une) ce qu’il a écrit et qui lui a tellement été reproché par la classe politico-médiatique française.
LGS
Clémentine Autain : 22 avril. « Mettre le mot sur l’horreur, c’est se donner des moyens de la combattre. A l’internement de masse des Ouïghours, aux stérilisations forcées, à leur mise en esclavage… nous devons opposer une voix ferme et haute de ses valeurs. » (sic).
C’est le deuxième article en quelques jours sur cet aventurier politique fait député par la grâce du PS.
Pourquoi, encore lui ? Parce qu’il le vaut bien.
LGS
C’est durant la Seconde guerre mondiale qu’une idée, aussi brune que les autres, monte à la tête des nazis : instrumentaliser les communautés des Etats « musulmans » de l’URSS afin que ces derniers, Tchétchènes, Kazakhs, Ouzbeks, tirent dans le dos des Soviétiques.
Pour réussir son entrée en Bourse et conquérir de nouveaux marchés, Palantir, la très opaque start-up spécialisée dans le traitement de données, se lance dans une opération transparence. En France, c’est son partenariat avec Airbus qui lui sert de vitrine.
Bien qu’ils aient été espionnés et que leur vie privée ait été violée par la société UC Global qui a pris Assange pour cible, les journalistes des principaux organes de presse américains n’ont rien dit pour protester. Entre-temps, de nouvelles preuves des liens de cette entreprise avec la CIA sont apparues.
On l’aura remarqué : dès que l’on parle de financements étrangers, une réaction pavlovienne est immédiatement activée : les yeux sont exorbités, la salive est sécrétée, les langues sont aiguisées et les claviers subissent, inexorablement, la frénésie des phalangettes. Seules les méninges restent en mode « repos ».
Le Parlement Chinois et le Comité Permanent de l’Assemblée Nationale Populaire (ANP) de Chine viennent de voter une loi sur la sécurité nationale, celle-ci est facilement consultable . Elle complète le Statut spécial qui régit Hong Kong depuis 1997.
Cette décision a immédiatement entraîné un concert de protestations. La charge a été sonnée par les Etats-Unis, qui ont été suivis immédiatement par les gouvernements occidentaux et l’Union Européenne avec la mobilisation habituelle des médias. On a accusé tour à tour Pékin « de vouloir absorber Hong Kong (sic) » : « Pékin impose au forceps la loi sur la sécurité nationale », « Pékin prend en mains la sécurité de Hong Kong. ».
Une nouvelle étude interne publiée en 2017 sur les pratiques de sécurité de l’Agence centrale de renseignement (CIA) confirme que l’agence top secrète avait développé un arsenal d’outils de cyber espionnage et n’aurait pas eu connaissance du piratage massif des données de "Vault 7" si WikiLeaks ne l’avait pas rendu public.