Les aveux de la néoconservatrice jettent une lumière importante sur le rôle des États-Unis en Ukraine et soulèvent des questions essentielles sur ces laboratoires qui méritent des réponses.
Le ministère russe de la défense affirme que Kiev a ordonné à des scientifiques de détruire des échantillons de peste, d'anthrax et d'autres agents pathogènes mortels.
Au commencement fut l’usage militaire. Puis d’un théâtre des opérations (Guerre de 14-18) à d’autres (conflits coloniaux dans les années 20), puis d’un type de combat à l’autre, les gaz lacrymogènes sont devenus l’arme de première intention des États dans le maintien de l’ordre établi.
Le communiqué officiel du Parti Communiste Français (voir plus bas dans son intégralité) commence ainsi : « Après le très probable bombardement chimique particulièrement ignominieux, effectué par le régime syrien sur la population de la Ghouta, les Etats-Unis, le Royaume-Uni et la France viennent de réaliser une attaque punitive contre plusieurs sites qu’ ils ont identifiés comme étant les centres de production d’armes chimiques du régime.... ».
Donc, le « régime » syrien a très probablement (ce n’est donc pas sûr) usé d’armes chimiques dont les centres de production sont (et pas « seraient ») identifiés. Et « la France » (et non le gouvernement de Macron) le « punit ».
Des militants et responsables communistes se démarquent de ce communiqué. Voir ci-après.
LGS
La destruction des armes chimiques syriennes a fait l’objet de très importantes manifestations d’intérêt au moment où la Syrie a adhéré à la Convention internationale pour la destruction des armes chimiques. Le silence sur les armes chimiques de deux pays voisins : Israël et Egypte a été à proportion de la publicité considérable faite aux armes syriennes