Dans la perspective des élections du 9 juin – qui en Belgique seront non seulement européennes, mais aussi nationales et régionales – Amnesty International a lancé une vidéo humoristique dans laquelle les présidents de parti, figurés en pâte à modeler, s’engagent à faire exactement le contraire de ce qu’ils ont toujours fait (1). Ainsi, par exemple, le président du MR (ex parti libéral) s’engage à respecter le droit de manifester, le président des Engagés (ex parti social-chrétien) s’engage à prolonger le délai rendant possible une IVG, le Président du PS s’engage à ne plus exporter d’armes wallonnes, etc. Quant au Président du PTB (Parti du Travail de Belgique), il s’engage à dénoncer les crimes dont seraient victimes les Ouïghours.
Alfred de Zayas a été secrétaire du Comité des Droits de l’Homme de l’ONU, directeur du bureau des requêtes au Haut Commissariat des Droits de l’Homme de l’ONU, et expert indépendant auprès des Nations Unis pour la promotion d’un ordre international démocratique et équitable. C’est un avocat et professeur universitaire reconnu pour la rigueur de son travail.
Dans cette interview exclusive, Mr De Zayas revient sur les avancées et les limites du système de protection des droits de l’Homme de l’ONU et analyse pour nous les "mesures coercitives unilatérales" -les sanctions économique et le blocus financier- que les États-Unis et leurs alliés déploient contre certains pays afin de renverser leurs gouvernants (Russie, Iran, Venezuela, Cuba,...). Ils n’hésitent pas à les qualifier de "crimes contre l’Humanité".
Par cette lettre, j'exprime ma condamnation sans équivoque d'Amnesty International au sujet de son rôle de déstabilisation au Nicaragua, la pays dans lequel je suis né.
Un nouveau rapport d’Amnesty International affirme que le gouvernement syrien a fait pendre entre 5 000 et 13 000 prisonniers dans une prison militaire en Syrie. La preuve de cette allégation est fragile, basée sur ce qu’ont entendu dire des personnes anonymes qui ne vivent pas en Syrie. Les chiffres eux-mêmes sont des extrapolations qu’aucun scientifique ou tribunal n’accepterait jamais. Il s’agit d’un reportage romancé digne de la presse à sensation, depuis son titre « Abattoir humain » jusqu’à son dernier paragraphe.
Ceci est le texte écrit de mon éditorial du 5 décembre 2016 dans le cadre d’une émission culturelle d’une heure que j’anime tous les lundis sur Radio Mon Païs à Toulouse (1).
Là, je parle de Danielle Mitterrand, de Ségolène Royal, de Zoe Valdes, de Jacobo Machover, de faux dissidents, des médias, d’Amnesty International et des méthodes de fabrication des campagnes anticubaines.
Pour finir, je raconte pourquoi Jacobo Machover, ayant eu l’imprudence de faire une conférence à Toulouse, a décidé de ne plus mettre les pieds dans « la Capitale de l’Espagne républicaine ».
Le 29 juin l'aéroport d'Istanbul fut l'objet d'un sanglant attentat perpétré par trois kamikazes, dont un tchétchène, évidemment réfugié politique en Autriche, souvent arrêtés dans différents pays européens, toujours relâché sous la pression conjointe de groupes nationalistes locaux, d'Amnesty International et de la Cour européenne des droits de l'homme qui refusait son extradition vers la Russie. Il serait peut être temps de demander des comptes à ces organismes dont les intérêts conjoncturels rejoignent ceux de terroristes et prennent le parti de les protéger de la justice.
Amnesty International a rendu public aujourd’hui un plan d’action censé faire face aux catastrophes humanitaires qui se déroulent aux portes de l’Europe, en pleine Méditerranée.